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sincérité

Etale ton tapis et je lirai dans ton coeur.

Auteur: Proverbe du Turkménistan

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humour

Je lirai bien tout Trotsky mais y'a pas assez de neige.

Auteur: Internet

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[ absurde ] [ jeu de mots ]

 

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lecture

Si je perdais ma bibliothèque, j'aurais toujours le métro et l'autobus. Un billet le matin, un billet le soir et je lirais les visages.

Auteur: Jouhandeau Marcel

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inédit

Si je perdais ma bibliothèque, j'aurais toujours le métro et l'autobus. Un billet le matin, un billet le soir et je lirais les visages.

Auteur: Jouhandeau Marcel

Info:

[ lecture ] [ physionomie ] [ découverte ]

 

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superficiel

Tu me fais penser à quelqu'un qui ne lirait que le premier chapitre de chaque livre. Tu ne découvres jamais ce qui se passe ensuite.

Auteur: Kureishi Hanif

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équité

Une justice infaillible et sûre, une justice qui lirait dans les consciences, une justice telle que le châtiment suivrait infailliblement la faute, y a-t-il un homme, un seul, qui la désire au fond de son coeur ?

Auteur: Gourmont Rémy de

Info: Épilogues, 1, Mercure de France 1921<janvier 1898, p.190>

 

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imagination

Gilles comprit alors que chaque roman qu'il lirait l'aiderait à comprendre la vie, lui-même, les siens, les autres, le monde, le passé et le présent, une expérience similaire à celle de la peau; et chaque événement de sa vie lui permettrait de la même manière d'éclairer chacune de ses lectures. En découvrant cette circulation continue entre la vie et les livres, il trouva la clé qui donnait un sens à la littérature; (...)

Auteur: Seigle Jean-Luc

Info: En vieillissant les hommes pleurent

[ unicité ]

 

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couple

...parce que les sens suivent l'intelligence et inversement, il me semble qu'on tombe amoureux parce qu'avec le temps on se lasse de soi-même et on veut entrer dans un autre. On veut entrer en un "autre" inconnu pour le connaître, le faire sien, comme un livre, un paysage. Et puis quand on l'a absorbé, qu'on s'est nourri de lui jusqu'à ce qu'il soit devenu une part de nous-même, on recommence à s'ennuyer. Tu lirais toujours le même livre toi ?

Auteur: Sapienza Goliarda

Info: L'art de la joie

[ routine ] [ motivation ] [ ennui ]

 

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nuit

Ils étaient une fois de plus sur la terrasse. L'été tirait presque à sa fin. Les moissons avaient été bonnes, la récolte des olives et des amandes aussi. Comme toujours, la vieille préparait son tagine pendant que le Vieux fumait et sirotait du thé. Et, comme toujours en été, l'espace était splendide. Des milliards d'étoiles illuminaient le firmament. De temps à autre, une météorite fendait l'atmosphère en un trait rouge qui s'évanouissait rapidement. " Dieu est en train de lapider le Diable... ", Disaient les Anciens à la vue de ces phénomènes cosmiques. Bouchaïb ne croyait pas à cela. Il connaissait bien l'astronomie. Il avait lu tant et tant de livres qu'il eût écrit lui-même si le sort ne s'en était mêlé... Mais il ne regrettait rien. Ses poésies berbères qu'on lirait peut-être un jour étaient son unique plaisir. Mais qui s'occupait de la poésie berbère ?

Auteur: Khair-Eddine Mohammed

Info: Il était une fois un vieux couple heureux

[ réflexion ]

 

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adieu

En supposant qu’il y ait quelqu’un pour t’écouter et que tu meures cette nuit ?

On m’entendrait mourir.

Pas de dernières paroles ?

Les dernières paroles ne sont que des mots.

Dis-les-moi, modèle de ta propre genèse sinistre qu’interprète une flamme sous une cloche de verre.

Je dirais que je n’ai pas été malheureux.

Tu ne possèdes rien.

Les derniers seront peut-être les premiers.

En es-tu sûr ?

Non.

De quoi es-tu sûr ?

Je suis sûr que le dernier comme le premier souffrent de la même manière. Pari passu.

De la même manière ?

Ce n’est pas seulement dans les ténèbres de la mort que toutes les âmes ne sont qu’une seule et même âme.

De quoi te repentirais-tu ?

De rien.

De rien ?

D’une chose ? J’ai parlé avec amertume de ma vie et j’ai dit que je prendrais ma propre défense contre l’infamie de l’oubli et contre sa monstrueuse absence de visage et que je dresserais une stèle dans le vide même sur laquelle tous liraient mon nom. Cette vanité je l’abjure tout entière.


Auteur: McCarthy Cormac

Info: Suttree p 542

[ confession ] [ épitaphe ] [ disparition ]

 

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Ajouté à la BD par Plouin