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télépathie

Si les gens lisaient dans les pensées les uns des autres, il n'y aurait plus de rapports possibles.

Auteur: Capek Karel

Info: La fabrique d'absolu

[ communication ]

 

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femmes-hommes

Les garçons et les filles étaient partout séparés. Les garçons, êtres bruyants, sans larmes, toujours prêts à lancer quelque chose, cailloux, marrons, pétards, boules de neige dure, disaient des gros mots, lisaient Tarzan et Bibi Fricotin. Les filles, qui en avaient peur, étaient enjointes de ne pas les imiter, de préférer les jeux calmes, la ronde, la marelle, la bague d'or.

Auteur: Ernaux Annie

Info: Les années

[ enfance ]

 

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femmes-hommes

Pour sa part, il trouvait cela plutôt touchant, des femmes qui voulaient rencontrer des hommes pour parler des livres qu’elles avaient lus. C’était la première fois qu’il entendait parler d’un pareil phénomène. Une plateforme de rencontres, en somme ?
Apparier les gens sur la base des romans qu’ils ont aimés ! Mais ces pauvrettes, est-ce qu’elles en trouvaient, des hommes qui lisaient ? Il en doutait fort.

Auteur: Irving John

Info: Avenue des mystères

[ lecture ]

 

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goûts littéraires

Dès que les garçons eurent pris la rue de Clonliffe, ils commencèrent à parler de livres et d'écrivains, à dire quels livres ils lisaient et combien de livres il y avait dans la bibliothèque de leurs parents. Stephen les écoutait avec étonnement, car Boland était un cancre et Nash était le plus fainéant de la classe. En fait, après avoir parlé un moment de leurs auteurs préférés, Nash déclara que, selon lui, le Capitaine Marryat (*) était le plus grand écrivain.

Auteur: Joyce James

Info: in "Dedalus" - ma traduction - (*) Frederick Marryat, est un capitaine de navire et un romancier anglais. Contemporain et connaissance de l'écrivain Charles Dickens, il est considéré aujourd'hui comme l'un des pionniers du roman maritime

[ jeunesse ] [ ignorance ]

 

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Ajouté à la BD par Benslama

savoir hors-sol

Il ouvrit les yeux et vit Bongo-Shaftsbury absorbé dans un livre : "La Démocratie industrielle" de Sidney J. Webb. Porpentine haussa les épaules. Autrefois ses pairs devenaient des pros en pratiquant. On apprenait ce qu'il y avait à savoir d'un code en le craquant, d'un officier des douanes en lui échappant, d'un adversaire en le tuant. Maintenant les nouveaux lisaient des livres : des jeunes gars, pleins de théorie et (ainsi en avait-il décidé) aucune foi en quoi que ce soit, sinon en leur propre machinerie interne.

Auteur: Pynchon Thomas

Info: In "Slow Learner", éd. Vintage, p. 123 - ma traduction

[ générations ] [ méthodes ] [ espionnage ] [ formation professionnelle ] [ théorie-pratique ]

 

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Ajouté à la BD par Benslama

femmes-par-homme

Un jour, pensa-t-il, s'il la gardait, il devrait lui apprendre à lire. Il avait récemment découvert qu'il pouvait durer deux fois plus longtemps si l'une de ses jeunes conquêtes lisait le Saint Livre pendant qu'il la prenait par-derrière. Preston adorait la façon dont elles haletaient sur les textes sacrés, la façon dont elles commençaient à bafouiller, à arquer le dos et à lutter pour ne pas se tromper de ligne - car il pouvait se fâcher vraiment quand elles lisaient mal - juste avant que son "bâton" n'explose.

Auteur: Pollock Donald Ray

Info: Le Diable, tout le temps

[ objet sexuel ] [ lecture fétichiste ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

médias

Dans une ferme au fond de la vallée, des gens assis dans la pièce commune lisaient le journal. Ils ne manifestaient aucune émotion particulière pendant leur lecture. Cependant, ils étaient en train d'apprendre des horreurs capables de racornir l'âme d'un démon. C'étaient des gens à l'air quelconque. Ils lisaient pour se délasser avant d'aller au lit. C'était là leur façon de vivre. On leur disait qu'une seule bombe peut tuer cent mille personnes, et ils bâillaient et se délassaient avant d'aller au lit. Combien de neiges et de printemps reste-t-il pour le monde des hommes ?

Auteur: Patchen Kenneth

Info: A demain, mon amour..

[ lecture ] [ abrutissement ]

 

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voyou

La nuit était splendide. Ailleurs que dans cette ruelle, des hommes et des femmes baisaient, mangeaient, prenaient un bain, dormaient, lisaient leur journal, engueulaient leurs gosses ou faisaient d’autres choses normales.
Eclairés par la lune, nous nous mîmes en garde, et c’est alors qu’une pensée me traversa l’esprit : Je préférais mille fois voir deux mecs se foutre sur la gueule plutôt que d’être l’un d’eux.
Pour autant, je n’avais pas peur, j’étais trop soûl pour craindre quoi que ce fût. Je ressentais juste de la lassitude, du genre Merde, je remets ça sans savoir pourquoi. Sans doute, me dis-je, est-ce pour faire quelque chose, comme d’étaler du beurre de cacahouète sur une tranche de pain.

Auteur: Bukowski Charles

Info: Dans "Un carnet taché de vin", page 330

[ sacré-profane ] [ marginal ] [ absurdité ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

lire

C'était le temps où les gens lisaient, dans les métros, les rues, les plages et les lits, les salles de bain et les cuisines, les gens apportaient des livres dans les parcs, les jardins, les piscines, les salles d'attente, les bus, les trains, les avions, ils lisaient dans les fauteuils, les canapés, les salons, les hôtels, les cafés et les bars, les villes et les villages, l'été comme l'hiver.

Le soir ou le matin, en mangeant, en se couchant, en se levant, avec une tasse de thé ou un verre de vin, au coin du feu, lorsque le jour déclinait.

Les gens lisaient partout, à chaque moment de leur journée, à chaque heure de la vie, pour se raconter une autre histoire, pour fuir le réel ou le vivre plus intensément, pour comprendre les hommes ou pour les détester, ou simplement pour passer le temps...

Auteur: Abecassis Eliette

Info: Nos rendez-vous

[ lecture ] [ avant Internet ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

rencontre

Leurs yeux se rencontrèrent, elles échangèrent un sourire et elles surent; toutes les deux.
Elles surent, mais pas au sens de savoir ceci ou cela. Ce n'était pas non plus qu'elles lisaient dans l'avenir et devinaient ce qu'il leur réservait, ni qu'elles savaient ce que le Destin déciderait pour elles, pour Ganesh, pour Londres, pour les enfants qu'elles auraient ou n'auraient pas, et pour tout le reste. Elles savaient, tout simplement. Elles se reconnaissaient. Se connaissaient. Comme si une petite étincelle chez Trixie reconnaissait une petite étincelle chez Saroj, et que ces deux petites étincelles brillantes sautaient de joie et s'élançaient l'une vers l'autre en disant : "Salut, me voilà ! Je t'attendais depuis toujours." C'est ainsi que commencent les vraies amitiés, ces amitiés rares et authentiques qui résistent au temps. Trixie poussa un glapissement. ... Elles applaudirent, se frappèrent mutuellement dans les mains et s'embrassèrent en riant aux éclats. Un cri de guerre venait de naître.

Auteur: Maas Sharon

Info: Noces indiennes

[ complicité ]

 

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