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dernières paroles

La douleur de l'homme et l'injustice constante qui sourd du monde... mon propre corps et ma propre pensée m'empêchent de transporter ma maison dans les étoiles.

Auteur: Garcia Lorca Federico

Info:

[ incarnation ]

 

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écriture

S'il est vrai que je suis poète par la grâce de Dieu - ou du Diable -, je le suis aussi par la grâce de la technique et de l'effort.

Auteur: Garcia Lorca Federico

Info: Darmangeat

[ talent ] [ travail ]

 

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amour

Dans ce monde, moi je suis et serai toujours du côté des pauvres. Je serai toujours du côté de ceux qui n'ont rien et à qui on refuse jusqu'à la tranquillité de ce rien.

Auteur: Garcia Lorca Federico

Info:

[ humble ]

 

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femmes-hommes

LA MÈRE : Tu sais ce que c'est le mariage, petite ?
LA FIANCÉE : Je le sais.
LA MÈRE : C'est un homme, des enfants, et un mur épais de deux mètres entre toi et tout le reste.

Auteur: Garcia Lorca Federico

Info: Les noces de sang, p.169, Livre de poche, no996

[ mariés ]

 

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poème

Je veux pleurer parce que ça me plait, comme pleurent les enfants du dernier banc, car je ne suis pas un poète, ni un homme, ni une feuille, mais un pouls blessé qui tourne autour des choses de l'autre.

Auteur: Garcia Lorca Federico

Info: Federico, Poème double du lac edem

[ perdu ] [ impuissance ]

 

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astre nocturne

Au-dessus de Paris la lune est violette. Elle devient jaune dans les villes mortes. Il y a une lune verte dans toutes les légendes. Lune de toile d’araignée et de verrière brisée, et par-dessus les déserts elle est profonde et sanglante. Mais la lune blanche, la seule vraie lune, brille sur les calmes cimetières de villages.

Auteur: Garcia Lorca Federico

Info: Poème "Couleurs"

[ lumière ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

incompréhensible

Federico Garcia Lorca n'a pas été fusillé; on l'a assassiné. Naturellement, personne ne pouvait imaginer qu'on le tuerait un jour. De tous les poètes d'Espagne, il était le plus aimé, le plus choyé et le plus enfant par sa merveilleuse allégresse. Qui aurait pu croire qu'il y aurait sur cette terre et sur sa terre, des monstres capables d'un forfait aussi inexplicable.

Auteur: Neruda Pablo

Info:

[ guerre civile ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

grâce

Quand il en parlait, Daniel avait le duende, cette fulgurance créatrice chère à Lorca qu'on trouvait parfois dans la passe d'un torero, la voix d'une chanteuse ou la transe d'une danseuse de flamenco. Ce duende qui "renvoie muses et anges / comme des chiens savants dans la fange", Rubén le retrouvait dans les poèmes de son père, feux et lumières qui avaient ébloui son enfance.

Auteur: Férey Caryl

Info: Mapuche. Chap 3, p 47

[ passion transmise ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

intraduisible

Duende - C'est, en particulier pour le Flamenco, le mystérieux pouvoir qu'une oeuvre d'art peut exercer profondément sur une personne. Le poète Federico Garcia Lorca reprit la phrase de Goethe pour le definir comme "ce mystérieux pouvoir que l'on ressent tous, mais qu'aucun philosophe ne peut expliquer". C'est un concept proche du "syndrome de Stendhal" français. Plus généralement peut être traduit par : ce qui nous touche, dans une forme artistique, ou autre.

Auteur: Internet

Info: De l'espagnol, lutin, elfe, farfadet

[ langage ] [ vocabulaire ] [ précision ] [ musique ]

 

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crépuscule

Le cri laisse dans le vent 

une ombre de cyprès. 



(Laissez moi dans ce champ, pleurer.)



Tout s’est brisé dans le monde

il ne reste que le silence. 



(Laissez moi dans ce champ, pleurer.)



L’horizon sans lumière est mordu de brasiers. 



(Je vous ai déjà dit de me laisser dans ce champ, pleurer.)

Auteur: Garcia Lorca Federico

Info: Poésies II (1921-1927) : Chansons, Poèmes du Cante Jondo, Romancero gitan “AÏE!"

[ flamenco ] [ poème ] [ chant profond ]

 

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Ajouté à la BD par miguel