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femmes-par-homme

La haine des femmes ressemble à une variation sur le thème de la haine de l'intelligence.

Auteur: Onfray Michel

Info: Traité d'athéologie

[ éloge ] [ admirées ] [ louées ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

envie

Louée sois-tu, Déesse Concupiscence, toi qui incite les nantis à commettre des actions interdites, qui les fait errer dans des impasses.

Auteur: Panchatantra

Info:

[ jalousie ]

 

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Ajouté à la BD par Neshouma

responsabilité

Il n’y eut jamais, il n’y aura jamais, et il n’y a pas maintenant une personne qui soit totalement blâmée ou totalement louée.

Auteur: Bouddha

Info: Dans le "Dhammapada" traduit par le centre des études dharmiques de Gretz, page 137

[ équité ] [ fatalité ] [ indifférence ] [ impossible ] [ perfection ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

femmes-hommes

Il faut que je t'explique...Ton grand père, il voit les choses et il a conscience de les voir. Ta mémé, elle, elle les vit. Tout simplement. Ce qu'elle dit ne vient jamais des livres mais de ce qu'elle a recueilli quand elle était louée dans les fermes et de ce qu'elle a appris dans le village.

Auteur: Sabatier Robert

Info: Les Noisettes sauvages

 

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musique

... de temps à autre c'est comme si une partie du cosmos et quelque chose de grand te tombait dessus, comme avec "Hôtel California" ...une maison de plage louée à Malibu... les portes grandes ouvertes sur une journée spectaculaire de juillet 1975... la peau humide... à penser que le monde est probablement un endroit merveilleux... avec une 12 cordes acoustique... les accords sont sortis naturellement.

Auteur: Felder Don

Info:

[ création ] [ guitare ] [ tube ]

 

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déclaration d'amour

Je T'aime de deux amours : l'un, tout entier d'aimer,
L'autre, pour ce que Tu es digne d'être aimé.

Le premier, c'est le souci de me souvenir de Toi,
De me dépouiller de tout ce qui est autre que Toi.

Le second, c'est l'enlèvement de tes voiles
Afin que je Te voie.

De l'un ni de l'autre, je ne veux être louée,
Mais pour l'un et pour l'autre, louange à Toi !

Auteur: Rabi`ah al-`Adawiyah

Info: Les Chants de la recluse

[ bipolarité ] [ poème ]

 

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hommes-femmes

Vous croyez qu’en agissant ainsi vous aidez leurs épouses, leurs filles et leurs sœurs ? Elles sont toutes destinées à être louées, encensées en public et rabaissées dans le privé. Les allégez-vous du poids de leur vie quotidienne ? Soulagez-vous leur esprit épuisé par la monotonie de leurs tâches triviales et par l’obligation de mettre au pas leur corps qui galopait, leur cœur qui avait appris à voler et leur âme qui s’amusait à des cabrioles ? Or plus l’homme agit au gré de ses caprices, plus il est considéré, plus il nous écrase, plus il semble généreux. Et puis il court à sa perte, plus il conquiert. Les femmes, en revanche, doivent composer avec un corps qui porte depuis toujours inscrit en lui des échéances, des prescriptions et toutes sortes de mesures de précaution. En vous faisant payer, vous croyez vraiment les défendre ? Vous ne faites que renforcer les barreaux de leur cage ; vous leur assignez une valeur marchande et les réduisez à une réalité purement tangible et contrôlable.

Auteur: Masino Paola

Info: Dans "La Massaia", page 152

[ femme-par-femme ] [ ménagère ] [ inégalité ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

rendement financier

L'argent travaille lui aussi, comme tout le monde. Et quand il ne travaille plus, converti en biens immobiliers et revenus locatifs, il garantit l'avenir, sans quoi on nage dans l'incertitude comme les parents de Pierre. Et comme eux on sera réduit à la conjurer dans la bouffe, l'alcool, le Xanax et les crédits revolving, merci bien. On parle de Pierre comme s'il était là, c'est parfaitement désobligeant, oui. L'équilibre de Pierre, pour ne pas dire sa félicité, repose sur la prévision. Entre autres petits placements sans risque dans de jeunes entreprises du big data, ils disposent avec Reine de deux studettes dans le arrondissement louées sans risque à des locataires eux-mêmes entretenus par leurs propriétaires de parents. Ajoutés à cela, deux appartements à Saint-Jean-CapFerrat, loi Pinel, assureront des revenus locatifs en cas non pas de licenciement mais de réflexion, envie de liberté, nécessité d'émigration. La France pourrait devenir insupportable, décevante au moins, l'histoire l'a montré. Enfin, un compte est approvisionné dans le cas plus que probable où la mère de Pierre, fantasque retraitée de l'enseignement primaire, témoignerait d'une soudaine perte d'autonomie et voudrait vivre chez son fils. Pierre a évalué le coût de six ans de pension complète en maison de repos. Il a placé le total à taux fixe et depuis il respire. Ils ne partent pas en vacances tous les quatre matins, inutile. Pierre est suffisamment détendu à l'idée que sa mère ne viendra pas tacher le chesterfield.

Auteur: Pourchet Maria

Info: Les impatients, Page 50, Gallimard, 2019

[ obsession ] [ fric ] [ calcul ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

couchant

Pirate et Osbie Feel sont étendus sur le toit de l'immeuble, un magnifique coucher de soleil traverse et dessine la rivière sinueuse, impérial serpent, une multitude d'usines, d'appartements, de parcs, de tours et de façades enfumées, un ciel incandescent qui se déverse sur les kilomètres de rues profondes, l'encombrement des toits et les ondulations de la Tamise, y mettant une tension drastique d'orange brûlée pour rappeler au visiteur sa fugacité mortelle, pour sceller ou cacher toutes portes et fenêtres visibles à ses yeux, qui ne cherchent qu'un peu de compagnie, un mot ou deux dans la rue avant de monter vers l'odeur de savon de la chambre louée et les carrés corail du coucher de soleil sur le plancher - une lumière antique, intériorisée, combustible consommé dans l'holocauste hivernal programmé, les formes plus lointaines parmi les brins ou les feuilles de fumée sont maintenant elles-mêmes de parfaites ruines carbonisées, les fenêtres plus proches, frappées un instant par le soleil, ne réfléchissent plus rien mais contiennent la même lumière destructrice,  intense décoloration qui ne permet aucune promesse de retour, une lumière qui rouille les voitures du gouvernement sur les trottoirs, qui vernit les derniers visages se pressant devant les magasins dans le froid comme si une vaste sirène avait finalement retenti,  une lumière qui fait que les innombrables rues se transforment en canaux froids déserts, et qui, avec les étourneaux de Londres, emplit tout, les oiseaux convergent par millions vers des piédestaux de pierre embrumés, vers les endroits qui se vident et vers un grand sommeil collectif. Ils convergent en anneaux, des anneaux concentriques sur les écrans radar. Les opérateurs les appellent des "anges".  

Auteur: Pynchon Thomas

Info: Gravity's Rainbow, trad Mg

[ soir ] [ cépuscule ]

 
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Ajouté à la BD par miguel