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personnage

Il avait le visage aussi rond qu'un enjoliveur de roue, des oreilles proéminentes et son crane chauve était entouré d'un duvet cotonneux qui lui descendait sur le visage pour se déployer en une moustache et une barbe luxuriantes mais qui jaunissaient.

Auteur: Box Charles James CJ

Info: Joe Pickett, tome 4 : Sanglants trophées

[ poils ]

 

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infra-monde

Quel mortel n’avait un jour soupçonné, sous la fine couche de poésie et de beauté, sous la luxuriante nature et le foisonnement de la vie, sous les plaisirs des sens, derrière le joli ciel bleu d’une après-midi d’été, non pas la mort, mais bien pire ?

Auteur: Lucazeau Romain

Info: La Nuit du faune

[ horrible ] [ infernal ] [ hors vie ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

suffisance

Les yeux brillants, tout son corps ouvert à une sensation de bien-être qui paraissait se confondre avec la vitalité du jardin luxuriant et plein de lumière, il se sentait heureux. Mais d'un bonheur agressif et cruel, comme désireux de se mesurer avec le malheur de autres.

Auteur: Moravia Alberto

Info: Le Conformiste

[ arrogance ] [ contentement ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

rapports humains

J’imagine son espace mental comme une très grande maison aérée, avec plafonds de trois mètres de hauteur et parquet ciré, un piano à queue et de grandes fenêtres ouvertes sur un jardin luxuriant. Quelque chose de bien plus confortable que le taudis aux persiennes duquel j’observe le monde.

Auteur: Lindenberg Hugo

Info: Un jour ce sera vide, p 143

[ projection ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

rationalisme

J'ai transformé mon cerveau en une machine performante et ce que j'ai gagné en rigueur, je l'ai perdu en créativité. [...]mes chemins de pensée se sont rigidifiés avec le temps, comme si mon crâne avait d'abord était rempli d'une sorte de jungle luxuriante, et qu'on l'avait défrichée au bulldozer pour y faire passer des autoroutes.

Auteur: Lacroix Alexandre

Info: L'homme qui aimait trop travailler

[ fermeture ] [ vieillir ]

 

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nature

Le spectacle de toutes ces libellules est apaisant, comme le marais l'est toujours, et il me vient à l'esprit que souvent, ce sont les deux pôles des extrêmes qui nous rassérènent. La paix peut nous être rendue par l'austérité, et pourtant nous pouvons aussi être réconfortés par la munificence absolue : l'étal de fruits avec ses myriades de couleurs vibrantes, de riches parfums, de chairs tendres, le fumoir plein de ses viandes exposées, le bûcher débordant de rondins, l'immense jardin dans sa diversité luxuriante...

Auteur: Bass Rick

Info: Le journal des cinq saisons

[ méditation ]

 

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sensualité

La chair, ce n’est pas seulement mais c’est aussi la chair emportée par l’ivresse de l’amour.

Ne craignons pas la chair enivrée des amants. Jouissons-en.

Célébrons la chair extasiée qui à une autre chair s’accroche et à une autre âme se suspend.

Dans nul autre domaine, ni de la réalité ni de la fantaisie, il ne se passe rien de pareil. Seulement dans l’amour et la volupté. Ce n’est que là que, emportés de caresses et bercés de transports, l’esprit et la chair s’entrelacent jusqu’à se confondre presque. Ce n’est que dans le luxurieux et luxuriant, dans le sacré amour. 

Auteur: Portella Javier

Info: Les esclaves heureux de la liberté, éditions David Reinharc, 2012

[ libido plaisir ] [ amour physique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

femmes-par-femme

Ce que sait toute femme et qu'aucun homme ne pourra jamais comprendre, c'est que même s'il rapporte tout ce qui est marqué sur la liste, il n'aura encore pas ce qu'il faut. Pourquoi ? Parce que la femme croit sincèrement que si elle était allée au supermarché, elle aurait fait un meilleur choix : un poulet plus dodu, venant d'un pâturage français luxuriant, des yaourts plus crémeux, la variété exacte de salade dont elle avait rêvé et dont le nom lui avait échappé. [...] Quand une femme achète un article ne figurant pas sur la liste et qui se révèle immangeable, ça s'appelle "une expérience". Quand un homme fait la même chose, c'est de "l'argent gaspillé".

Auteur: Pearson Allison

Info: Je ne sais pas comment elle fait

[ emplettes ] [ commissions ] [ femmes-hommes ]

 

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visuel

Dans notre jardin, il y avait un pavillon vermoulu et abandonné. Je l’aimais pour ses fenêtres polychromes. Quand je passais, à l’intérieur, de vitrail en vitrail, je me métamorphosais ; je me colorais comme le paysage qui, tantôt flamboyant, tantôt empoussiéré, tantôt étouffé comme un feu sous la braise et tantôt luxuriant, occupait la fenêtre. C’était la même expérience que pendant l’aquarelle, lorsque les choses ouvraient leur giron dès que je m’en emparais dans un nuage humide. Il en allait de même avec les bulles de savon. Je voyageais à l’intérieur d’elles à travers la pièce et je me mêlais au jeu de couleurs du dôme jusqu’à ce qu’il éclate. Dans le ciel, avec un bijou, dans un livre, je me perdais dans les couleurs. Les enfants trouvent leur butin sur tous les chemins.

Auteur: Benjamin Walter

Info: "Les couleurs"

[ fusion ] [ rêves d'enfance ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

nature

Ils poussèrent plus au nord, à travers les bouquets de pins d’Oregon et quelques rares clairières envahies d’épineux. Ils traversèrent une zone déboisée. Sur leur gauche, les sommets de la ligne de partage des Rocheuses flottaient dans le lointain. Ils longèrent une corniche hérissée de granit. Sur les rochers, le lichen était d’un orange éclatant, et pour la première fois, il aperçut les prairies luxuriantes de North Park en contre-bas, comme un rêve d’océan bleu-vert, ou la robe même dont l’été venait de se dépouiller. Avec les Neversummer Mountains se profilant à l’horizon, Mike se dit que c’était le plus beau coin qu’il ait jamais vu. Il envia les hommes dont c’était le travail de rentrer tous ces foins. […]

Caracolant dans les hautes herbes au crépuscule, leurs épis caressant le ventre et les flancs de sa monture, la pointe de ses bottes déjà trempée, Mike était heureux.

Auteur: Galvin James

Info: Clôturer le ciel

[ émerveillement ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste