Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 11
Temps de recherche: 0.0295s

cancres

Les amazones étaient comme les femmes, mais encore plus méchantes.

Auteur: Internet

Info: Perles d'élèves

[ Grèce antique ]

 

Commentaires: 0

insulte

Les Crétois sont toujours menteurs, de méchantes bêtes, des ventres paresseux.

Auteur: Épiménide de Knossos Le Crétois

Info:

[ Grèce antique ]

 

Commentaires: 0

femmes-par-hommes

Il y a moins de méchantes que de méchants, mais elles le sont davantage.

Auteur: Duval Jacques

Info:

[ haine ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

tact

En avalant les méchantes paroles qu'on ne profère pas, on ne s'est jamais abîmé l'estomac.

Auteur: Churchill Winston

Info:

[ réserve ]

 

Commentaires: 0

gentleman

En ravalant des paroles méchantes sans les avoir dites, personne ne s'est jamais abîmé l'estomac.

Auteur: Churchill Winston

Info:

 

Commentaires: 0

gamin

Peu bavard, l'enfant royal passait tout le jour assis au milieu de la case ; quand sa mère sortait, il se traînait à quatre pattes pour fureter dans les calebasses à la recherche de nourriture. Il était très gourmand. Les méchantes langues commençaient à jaser : quel enfant à trois ans n'a fait ses premiers pas ? quel enfant à trois ans ne fait le désespoir de ses parents par ses caprices, ses sautes d'humeur ? quel enfant à trois ans ne fait la joie des siens par ses maladresses de langage ?

Auteur: Djibril Tamsir Niane

Info: Soundjata

[ héritier ] [ suspicion ]

 

Commentaires: 0

insulte

Les agents immobiliers, on ne peut vivre avec eux, on ne peut pas vivre avec eux. Le premier signe de ces purulentes et méchantes taches apparut au environ de 1894. Avec leurs clefs cliquetantes, leurs méchants costumes, barbes en bataille, moustaches et lunettes teintés, les agents immobiliers vinrent sur terre causant perturbation et désespoir. Si tu les juges et les tues, tu es mis en prison : si tu essayes de leur parler tu vomis. Il n'y a qu'une chose plus mauvaise qu'un agent immobilier : un agent immobilier. Aimez les, détestez les, mais vous seriez fou de ne pas les détester.

Auteur: Fry Stephen

Info:

[ dénigrement ] [ vacherie ]

 

Commentaires: 0

femmes-hommes

[...] ma voisine, qui était fille-mère, m'a racontée combien les religieuses étaient méchantes pour son accouchement. Alors qu'elle geignait doucement, elles lui ont rétorqué : "Vous avez bien ri avec votre amoureux ? Et bien pleurez maintenant."
- Ouah, les salopes !
- Oh, mais elles n'étaient pas les seules à penser ainsi ! Dans l'esprit des gens de notre époque il n'y avait que la femme qui " fautait"... Comme disait ma grand-mère : "Les hommes gardent les pieds blancs !"
- Curieux comme expression.
- Nous avions une voisine qui n'avait que des garçons, elle narguait les mères du quartier, chaque dimanche, en les avertissant :" Rentrez vos poules... Moi, je lâche mes coqs !"

Auteur: Dufour Colette

Info: Voulez-vous danser grand-mère ?

[ mâles-femelles ]

 

Commentaires: 0

sensualité

[…] Pour ta langue mouvante, J’invente des morsures et des égratignures, pour ta nuque et tes épaules, des caresses exaspérantes, pour tes seins pointés d’une étoile sombre. Sur ton corps entier je me vengerai de mon amour et du supplice qui me torture en ton absence.
Je sais les plus méchantes paroles […] et je te les dirai doucement, tout près, une fois retrouvée la place la plus douce et la plus intime de ton corps, une fois que mes doigts t’auront reprise, pendant la caresse, je te les dirai, et tu souffriras une volupté merveilleuse de mes injures et de ma possession mêlées ensemble dans ta chair, et puis je glisserai le long de toi, je mettrai mes doigts à tes côtes, afin de mieux sentir le frisson que je te donne, et collant ma bouche douloureuse à force de désir à ta bouche odorante et miraculeuse, je commencerai le baiser que tu préfères et te fait le mieux gémir.
Je te creuserai d’abord, et te lécherai en mesure avec ma langue, afin de te prendre très profondément, et quand tu commenceras à tressaillir, alors mes ongles commenceront à griffer tes côtes frémissantes, et du crieras de douleur. Cependant, ne pouvant m’en vouloir, tu te donneras davantage… Alors commencera le vrai plaisir, la vraie jouissance, car je te mordrai, mon amour, comme un enfant qui tète et mord le sein de sa mère. Tu sentiras mes dents dans ta chair secrète, fauve et soumise, ma bouche enfoncée, et chaque fois ma langue te consolera de la morsure, et tu oublieras le mal pour me remercier.
()

Auteur: Havet Mireille

Info: Journal 2, 26.12.19, p. 96-97. Claire Paulhan éditeur. Merci à Marthe Compain et à son travail de Doctorat : Le journal intime de Mireille Havet: entre écriture de soi et grand œuvre

[ sexe ] [ cunnilingus ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

déclaration d'amour

Poussant la porte en toi,  je suis entré

Agir, je viens

Je suis là

Je te soutiens

Tu n'es plus à l'abandon

Tu n'es plus en difficulté

Ficelles déliées, tes difficultés tombent

Le cauchemar d'où tu revins hagarde n'est plus

Je t'épaule

Tu poses avec moi

Le pied sur le premier degré de l'escalier sans fin

Qui te porte

Qui te monte

Qui t'accomplit



Je t'apaise

Je fais des nappes de paix en toi

Je fais du bien à l'enfant de ton rêve

Afflux

Afflux en palmes sur le cercle des images de l'apeurée

Afflux sur les neiges de sa pâleur

Afflux sur son âtre.... et le feu s'y ranime



AGIR, JE VIENS

Tes pensées d'élan sont soutenues

Tes pensées d'échec sont affaiblies

J'ai ma force dans ton corps, insinuée

...et ton visage, perdant ses rides, est rafraîchi

La maladie ne trouve plus son trajet en toi

La fièvre t'abandonne



La paix des voûtes

La paix des prairies refleurissantes

La paix rentre en toi



Au nom du nombre le plus élevé, je t'aide

Comme une fumerolle

S'envole tout le pesant de dessus tes épaules accablées

Les têtes méchantes d'autour de toi

Observatrices vipérines des misères des faibles

Ne te voient plus

Ne sont plus



Equipage de renfort

En mystère et en ligne profonde

Comme un sillage sous-marin

Comme un chant grave

Je viens

Ce chant te prend

Ce chant te soulève

Ce chant est animé de beaucoup de ruisseaux

Ce chant est nourri par un Niagara calmé

Ce chant est tout entier pour toi



Plus de tenailles

Plus d'ombres noires

Plus de craintes

Il n'y en a plus trace

Il n'y a plus à en avoir

Où était peine, est ouate

Où était éparpillement, est soudure

Où était infection, est sang nouveau

Où étaient les verrous est l'océan ouvert

L'océan porteur et la plénitude de toi

Intacte, comme un œuf d'ivoire.



J'ai lavé le visage de ton avenir

Auteur: Michaux Henri

Info: Face aux verrous. AGIR, JE VIENS

[ poème ]

 

Commentaires: 0