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pessimisme

La vie à deux suppose une telle dose de renoncements quotidiens qu’elle laisse loin derrière elle les macérations des ascètes et les prouesses des anachorètes.

Auteur: La Soudière Vincent

Info: Brisants

[ union ]

 

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arôme

Quel fut le premier parfum moderne ? C'est sans doute l'eau de la rine de Hongrie, en 1370. Elle découlait directement de la découverte de l'éthanol, puisqu'il s'agissait à l'origine d'une macération alcoolique de romarin.

Auteur: Salesse Roland

Info: Faut-il sentir bon pour séduire, 120 clés pour comprendre les odeurs

[ historique ]

 

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amour

Et comme les pélicans gardent la nourriture

Dans le jabot pour leurs nouveau-nés

Ainsi la divinité tient sur sa langue

Cette macération de larmes joyeuses.

Tu la recevras à l'heure où ton vouloir d'aimer

Sera plus fort que ta nuit.


Auteur: Kiropol Miron

Info: Le pont de l'Epée : Dieu me doit cette perte, p 63

[ dépassement ] [ poème ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

dermatologie

Les plis sont des endroits très particuliers de l’épiderme, car ces petites niches sombres et mal ventilées abritent de nombreux germes cutanés. Les aisselles, le dessous des seins, le pli fessier, les plis de l’aine et parfois même, si l’on a de généreuses poignées d’amour, les plis du ventre, voire du dos, présentent des conditions idéales pour les agents pathogènes : humidité, chaleur et peu de lumière. Dans cette douillette atmosphère du genre tas de compost, on vit sans gêne et on se reproduit sans façon (…)

Auteur: Adler Yael

Info: Dans ma peau

[ macération ] [ hygiène ]

 

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placebo

Verrues : un sparadrap sinon rien !
Les verrues virales finissent toujours par disparaître et les traitements agressifs font souvent plus de mal que de bien.
Une récente étude américaine relatée dans le Journal international de médecine (JIM) montre que la pose de sparadraps sur les verrues ferait aussi bien que les traitements actuellement proposés, sans effet secondaire. Ses auteurs concluent qu'une "occlusion laissée en place pendant 7 jours" et renouvelée au bout de quelques semaines constitue "une solution anodine qui mérite d'être essayée avant d'avoir recours à des traitements inconfortables et douloureux. Ou après l'échec de ces derniers". Un message qui ravit le Pr Claudine Blanchet-Bardon, la vice-présidente du syndicat national des dermato-vénérologues.
Les verrues virales sont dues à des papillomavirus (HPV). Certaines sont en relief et elles siègent surtout sur le dos des mains et les genoux. Elles peuvent également se développer autour des ongles, le plus souvent chez les enfants qui s'arrachent les peaux. En général, elles ne sont pas douloureuses à la différence des verrues enchâssées dans la peau épaisse de la plante des pieds et qui font très mal à la pression. "Les HPV sont présents partout, aussi bien sur les parquets des domiciles qu'au bord des piscines ou encore sur les tatamis de judo", rappelle le Pr Blanchet-Bardon. Personne n'échappe donc à leur rencontre. Mais c'est vers l'âge de 8 à 10 ans que le risque de souffrir de ce problème est le plus important. Il diminue ensuite avec l'âge, ce qui indiquerait la formation d'une immunisation progressive.
Ne rien faire
Côté traitement, la dermatologue est formelle : en l'absence de douleur, il ne faut rien faire. "Chez les gens dont le système immunitaire fonctionne normalement, les verrues ont une durée de vie de 3 mois à 3 ans et elles finissent toujours par disparaître", rappelle-t-elle. "C'est ce qui explique les succès des rebouteux. Moi, je propose à mes jeunes patients de dessiner tous les soirs leurs verrues et de leur donner l'ordre de partir (avec parfois un traitement local léger en plus). Et ça marche ! Mais je pourrais aussi bien leur conseiller d'enterrer un oignon sous un chêne par une nuit sans lune"...
Le traitement des verrues banales répond, pour cette spécialiste, à une forte pression sociale. Les gens n'admettent pas que l'on ne fasse rien. Pour elle, seuls les produits kératolytiques, qui dissolvent la kératine, la partie cornée de la peau, ont un intérêt. Quant à la présence de sparadraps, elle entraîne des modifications de la couche cornée de la peau et les virus HPV n'apprécient ni l'augmentation de la température locale, ni la macération. Pour les verrues plantaires, qui sont douloureuses, il faut gratter le cal qui se forme localement et essayer d'extraire la verrue avec ces fameux kératolytiques.
Torture
Concernant les autres traitements, Claudine Blanchet-Bardon est très sévère : "La cryothérapie est une torture pour les enfants. Le produit à - 172 °C fait très mal, en particulier sur le bout des doigts, et il n'est pas rare de voir un rebond : la verrue traitée disparaît et autour se forme une couronne des nouvelles petites verrues. Mais le pire est la même thérapie vendue en pharmacie. Cet ersatz d'azote liquide, mal utilisé par les mamans, peut provoquer des nécroses cutanées que nous devons traiter à l'hôpital. Employé pour les verrues du tour de l'ongle, ce produit agressif risque de détruire une partie de la matrice et créer des anomalies définitives des ongles." Enfin, la spécialiste met en garde contre la chirurgie des verrues plantaires - qui peut laisser des cicatrices douloureuses à vie - et les lasers. Alors vive les pansements !

Auteur: Le Point.fr

Info: 16/11/2011

[ médecine ]

 

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