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musique

C'est deux jeunes de Belfast qui sont en voyage de noces à Paris. Une nuit, ils marchent sur les Champs-Elysées quand, tout à coup, surgissent quatre voitures de police, trois camions de pompiers et deux ambulances, toutes sirènes hurlantes. Le mari prend alors sa jeune femme par la main et lui dit : "Tu entends, ma chérie, ils jouent notre chanson..."

Auteur: Chalandon Sorj

Info: Retour à Killybegs

[ révolte ]

 

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risquer

Si tu as peur de te faire mal, tu augmentes les chances, justement, de te faire mal. Regarde les funambules, tu crois qu'ils pensent au fait qu'ils vont peut-être tomber lorsqu'ils marchent sur la corde raide ? Non, ils acceptent ce risque, et goûtent le plaisir que braver le danger leur procure. Si tu passes ta vie à faire attention de ne rien te casser, tu vas terriblement t'ennuyer, tu sais...

Auteur: Malzieu Mathias

Info: La Mécanique du Coeur, p.62, J'ai lu n°8898, 2007

[ vivre ]

 

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solitude

- Tu crois qu'il a pire sentiment au monde, Aaron ? Quand les gens te regardent sans te voir ? Je crois qu'il n'y a rien de plus douloureux et pourtant tout le monde le fait. Regarde par la fenêtre, Aaron. Regarde tous ces gens qui marchent tête baissée sans regarder personne. Tu sais pourquoi ? Ce n'est pas vraiment parce qu'ils n'ont pas envie de voir les autres, mais parce qu'ils ont peur que personne ne les voie.

Auteur: Kay Terry

Info: Le kidnapping d'Aaron Greene

[ foule ]

 

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médias

Grâce à la presse quotidienne, le dernier imbécile peut éprouver quelque chose de la plus haute jouissance de l'homme d'action. Tous les matins, en beurrant ses tartines, il croit que les faits marchent à sa rencontre, que l'immense tragédie du monde s'accorde au rythme de sa chétive pensée, remplit l'étroite mesure de son rêve. Presque à chaque heure, si l'on tient compte de la longitude, des milliers d'idiots prononcent en cent langues la phrase de toutes les impuissances : "Je l'avais bien dit."

Auteur: Bernanos Georges

Info: Journal de la guerre d'Espagne, Essais et écrits de combats I, la Pléiade, Gallimard 1971, 7, 5.2 1937 p.1443

[ dénigrés ]

 

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mystère

Les vraies questions sont celles qui s'imposent à notre conscience, qu'on les aime ou pas, celle qui vous font vibrer l'esprit, celles qu'il nous faut accepter comme telles, en découvrant qu'elles sont toujours plus présentes. Les vraies questions refusent d'être apaisées. Elles arrivent dans nos vies aux moments où on les aimerait ailleurs. Ce sont les questions qui trouvent le plus fréquemment avec des réponses qui ne marchent pas, celles qui révèlent leur vraie nature lentement, à contre-coeur, le plus souvent contre notre volonté.

Auteur: Bengis Ingrid

Info:

[ incertitude ] [ récurrence ]

 

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gamins

"Les enfants ne marchent pas, jamais : ils courent." Et si vous les regardez vraiment, ils ont tellement de sève ascendante en eux, ils sont tellement et animaux et buissons à la fois, et pierre en éruption qu'ils ne courent pas sans bondir en même temps, comme si leur propre pied était trop impétueux pour ne pas les enlever du sol. Si la gravité n'existait pas, en tous les sens du terme, on attacherait nos gosses avec des ficelles pour ne pas aller les chercher chaque soir dans le ciel.

Auteur: Damasio Alain

Info: Les Furtifs

[ turbulents ] [ remuants ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

échiquier

Aucun autre maître n'a cette terrifiante volonté de gagner. A la table il distille le danger, et même ses plus dangereux adversaires ont tendance à se paralyser, comme des lapins quand ils sentent une panthère. Même ses faiblesses sont dangereuses. Avec les blanc son jeu d'ouverture est prévisible - vous pouvez vous y préparer très précisément - mais si fort que vos plans ne marchent presque jamais. En milieu de partie sa précision et son invention sont fabuleuses, et, en fin de partie vous ne pouvez simplement pas le battre.

Auteur: Hübner Robert

Info: à propos de Bobby Fischer

[ éloge ]

 

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corps-esprit

Le corps et l’esprit ne marchent pas l’un sans l’autre : la pensée devient émotion qui devient sensation qui devient sens qui devient chair. Mais pendant la majeure partie de ma vie, j’ai été sans racines, sans amarres, un fantôme. Un être de pensée, sans corps. J’ai été cette personne constituée d’une sensibilité artistique et de chagrin. J’ai cru que mon esprit était primordial et mon corps secondaire - le premier un instrument compliqué, le second un simple véhicule. Ma chair n’a pas compté dans la formation de mon identité.

Auteur: Abby Geni

Info: Farallon Islands

[ indissociables ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

femmes-hommes

Connais les femmes. Deviens un homme. Aie des maîtresses.
Ce pluriel te surprend ? Tu croyais que l'amour, c'est l'amour de quelqu'un ?
Attends ! Attends !
Apprends d'abord à distinguer les voix encore mélangées de ton coeur et de ton désir.
Beaucoup d'amants confondent l'amour et le plaisir et ressemblent aux voyageurs qui s'imaginent qu'ils aiment une ville parce qu'ils y ont bien déjeuné.
Les sens, qui marchent les premiers, entraînent le coeur avec eux dans des contrées où le pauvret n'avait que faire et le laissent s'y débrouiller.
Instruis ton coeur.

Auteur: Géraldy Paul Lefèvre dit

Info: L'Amour, p.8, Librairie Hachette Notes et maximes, Miroirs de ta vie

[ femmes-par-hommes ]

 

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vacherie

Si Pascal a laissé dans ses notes une pensée inachevée et, partant, obscure et même absurde, c'est celle-là que l'on choisira entre toutes et que l'on répétera jusqu'à satiété : "Les rivières sont des chemins qui marchent et qui portent où l'on veut aller". Il suffit de vouloir aller du Louvre à l'Hôtel de Ville pour se convaincre que cette phrase est une sottise - que Pascal n'a jamais pensée ; elle faisait sans doute partie d'une période métaphorique qui alléguait les chemins de la grâce, - ou quelque vérité spirituelle.

Auteur: Gourmont Rémy de

Info: Epilogues, 1, Mercure de France 1921 < décembre 1898 p.323>

[ gravitation ] [ bêtise ]

 

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