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dialogue

Allo, fit une voix languide.
- Arnaud ...
- Oh, salut, Viri.
- Ecoute, quel jour sommes-nous ? Mardi. Jeudi prochain, je voudrais que tu rencontres quelqu'un. Tu m'en seras reconnaissant toute ta vie.
- Ou es-tu ? Dans un bordel ?

Auteur: Salter James

Info: Un bonheur parfait

 

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rupture

Fatou ne renouvelait pas ma période d'essai ; j'étais viré, licencié sans préavis, au chômage de l'amour, et sans toucher le Revenu de Solitude Amoureuse. Je devais me préparer à l'exclusion sociale, à la dégringolade dans l'enfer du célibat, à la honte publique et aux moqueries dans la cour du collège.

Auteur: Lambert Jérôme

Info: Mardi maudit

[ séparation ] [ ado ] [ couple ]

 

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absurde

C'est trois fous qui sont a l'école. Le professeur demande : - Combien font 3x3 ?
Le premier fou répond : - 145236.
Le deuxième fou répond : - Mardi.
Et le troisième fou répond : - 9.
Le professeur dit : - Bien comment avez vous fait ?
Et il répond : - Facile j ai divisé 145236 par mardi.

Auteur: Internet

Info:

[ humour ]

 

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rendez-vous galant

Je lui ai apporté des fleurs un mardi soir alors que la lumière était parfaite. J'ai souligné l'ironie de cette vieille tradition romantique - les organes génitaux coupés d'une autre espèce, offerts en guise de cadeau précopulatoire - puis j'ai raconté mon histoire au moment où nous étions sur le point de baiser.

A ce jour, je ne sais toujours pas pourquoi ça a mal tourné.

Auteur: Watts Peter

Info: Blindsight

[ maladresse ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

psychose

Le soleil baissait de plus en plus derrière quelque construction et, au fur et à mesure, ma paranoïa (plus ou moins iatrogène*) se ravivait et gagnait de plus en plus d'emprise sur moi. Je jetai un coup d'oeil sur ma montre. A juger de l'oeil de ma mère, elle avait même semblé remarquer mon geste peu ou prou hystérique. Tout de même j'étais assez surpris d'entendre celle-ci aussitôt après mon regard voulu furtif me dire:
- Tu peux rentrer, L.

Auteur: Wolfson Louis

Info: Ma mère, musicienne, est morte de maladie maligne à minuit, mardi à mercredi, au milieu du mois de mai mille977 au mouroir memorial à Manhattan, *effet indésirable du au médecin, au traitement ou a un acte médical

[ crépuscule ]

 

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anecdote

M. de Mornay, gouverneur de Saint-Cloud, retiré au Palais-Royal à l'âge de quatre-vingt-neuf ans, eut, un jour de mardi gras, une crise qui lui fit croire qu'il ne passerait pas la journée. M. F..., son neveu, l'étant allé voir ce jour-là, entra dans sa chambre sans se faire annoncer, et ne fut pas peu surpris de trouver M. de Mornay seul, ses draps et sa couverture rabattus jusqu'au pied du lit, considérant avec un grand sang-froid son corps décharné, " Que faites-vous donc là, mon oncle? - Je m'examinais, et, au moment où vous m'avez surpris, je disais à la Mort : " Tu vas faire là un pauvre mardi-gras.

Auteur: Mornay Henry de

Info: in Suard, Mélanges de littérature

[ dernières paroles ]

 

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bizarrerie

Dans les personnages de Dostoïevski, il se passe une chose assez curieuse très souvent. Généralement, ils sont très agités, hein ! Un personnage s’en va, descend dans la rue, et dit: “La femme que j’aime, Tania, m’appelle au secours, j’y vais, je cours, je cours, oui, Tania va mourir si je n’y vais pas“. Et il descend son escalier et il rencontre un ami, ou bien il voit un chien écrasé et il oublie complètement. Il oublie, il oublie complètement que Tania l’attend, en train de mourir. Il se met à parler comme ça, et il croise un autre camarade, il va prendre le thé chez le camarade et puis tout d’un coup, il dit “Tania m’attend, il faut que j’y aille“.

Auteur: Deleuze Gilles

Info: Conférence " Qu’est-ce que l’acte de création?" Conférence donnée dans le cadre des mardis de la fondation Femis – 17/05/1987

[ caractéristique ] [ discontinuité ] [ licence créative ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

propagande bienveillante

L’amour est partout. L’amour est un ordre qui ne saurait se discuter. C’est de toute part que la propagande de l’amour nous environne, nous imbibe, nous assaille, nous détrempe, nous éduque et nous rééduque. Tout nous aime. Les start-up nous aiment. La nouvelle économie nous aime. Les téléphones mobiles nous aiment. Les autoroutes nous aiment. Le théâtre de rue nous aime. Les brigades d’intervention poétique nous aiment. Les parkings nous aiment. La Journée sans voitures nous aime. La Journée sans tabac nous aime. Les nouveaux réseaux nous aiment. Les donneurs d’organes nous aiment. La mondialisation nous aime. Les opposants à la mondialisation nous aiment. Les mondialisateurs itou. Les marchés financiers nous aiment. La cyberculture nous aime. Les centres piétonniers nous aiment. Le marketing nous aime. Halloween, Mardi Gras, la Techno parade et la Gay Pride nous aiment comme des dingues. L’amour nous aime comme un malade.

Auteur: Muray Philippe

Info: Dans "Exorcismes spirituels, tome 3", Les Belles Lettres, Paris, 2002, page 364

[ romantisme déchaîné ] [ amourobésité ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

racisme

Les Alliés ont voulu une libération de Paris par les Blancs.
Selon deux notes confidentielles, révélées mardi 7 avril par la BBC, les Alliés américains et britanniques se sont assurés que seuls des soldats blancs soient présents lors de la libération de Paris, le 25 août 1944. Lors de la préparation du débarquement, le Général de Gaulle avait insisté pour que les troupes françaises soient les premières à entrées dans Paris. Or, selon la BBC, cette demande a été approuvée par le Haut Commandement allié, mais à la condition que les divisions ne comportent aucun soldat noir.
Ainsi, dans une note confidentielle émise en janvier 1944 que la BBC s'est procurée, le Major-Général américain Walter Bedell Smith stipule qu' "il était préférable que la division mentionnée consiste en un effectif blanc". Seule la seconde division blindée répondait aux critères... Un autre document, du général anglais Frederick Morgan ajoute que "malheureusement la seule unité française totalement blanche était une division marocaine.
Pendant la seconde guerre mondiale, l'armée américaine a opéré une ségrégation raciale, séparant ses régiments entre Noirs et Blancs.

Auteur: Internet

Info: Nouvelobs.com 07.04.2009

[ Usa ] [ Europe ]

 

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lecture

Des choses épouvantables peuvent arriver aux enfants. Et même une enfance heureuse est remplie de tristesses. Y a-t-il une autre période de votre vie où on déteste son meilleur ami le lundi pour l'aimer à nouveau le mardi ? Mais à 8, 10, 12 ans, on ne réalise pas qu'on va mourir. Il y a toujours la possibilité de s'échapper. Il y a toujours un ailleurs et un lointain, un fait que je n'avais jamais vraiment apprécié jusqu'à ce que je lise l'ouvrage profondément troublant de Gitta Sereny, Cries Unheard, sur la meurtrière d'enfants Mary Bell.

À 20, 25, 30 ans, nous commençons à nous rendre compte que les possibilités d'évasion s'amenuisent. Nous commençons à imaginer un temps où il n'y aura plus d'ailleurs et de loin. Nous avons un travail, des enfants, un partenaire, des dettes, des responsabilités. Et si beaucoup de ces choses enrichissent nos vies de façon incommensurable, ces limites de plus en plus étroites sont quelque chose que nous devons tous accepter.

C'est à cette partie de nous, je pense, que la fiction littéraire s'adresse.

Auteur: Haddon Mark

Info:

[ ouverture ] [ fuite ] [ refuge ]

 
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Ajouté à la BD par miguel