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justification simple pour retard au travail

Nous nous sommes amusés avec mon copain, avec des menottes il m'a attaché au cadre du lit et avait oublié de prendre les clefs. Donc il a dû aller les rechercher...

Auteur: Internet

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justification par le rire pour arrivées en retard

Je suis allé faire du shopping avec mes potes et il y en a un qui a acheté des menottes. En revenant à l'école il m'a attaché à une barrière pour rigoler, et m'a laissé là.

Auteur: Internet

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arrogance

J'ai lutté avec un alligator, je me suis battu avec une baleine, j'ai passé les menottes à un éclair et emprisonné la foudre. La semaine dernière encore, j'ai tué un rocher, blessé une pierre, fait hospitaliser une brique. Je suis si méchant que je rends la médecine malade.

Auteur: Mohamed Ali Cassius Clay

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[ exagération ] [ boxe ] [ sport ]

 

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répartie

Un agent en uniforme sortit la tête du bureau du commandant, un peu plus loin dans le couloir.
- Je te le répéterai pas ! hurla-t-il au gamin. Encore un mot et je te resserre les menottes d'un cran. Au bout d'une demi-heure, tu sentiras plus tes mains. Et comment tu feras après, pour te torcher le cul, hein ?
- Je me servirai de ta gueule.

Auteur: Connelly Michael

Info: les égoûts de Los Angeles

[ insulte ]

 

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pénitencier

La psychiatrie, c’est comme la prison, en plus désinfecté. On joue sur les termes pour mettre la main sur des subventions spécifiques, mais au fond c’est pareil. Le trou s’appelle "pièce consacrée à l’isolement", la cellule se nomme "notre chambre", les menottes s’appellent "médication" et la détention s’appelle "thérapie", mais faut pas se tromper, c’est la même violence psychologique, la pire : l’enfermement de l’homme par l’homme.

Auteur: Goudreault David

Info: Abattre la bête, p. 29

[ antipsychiatrie ]

 

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femmes-hommes

La prétention des hommes à une grande supériorité sur les femmes est simplement grotesque. Leur immense vanité les empêche de voir que cette supériorité consiste à placer un carcan au cou d'un être qui leur met à son tour des menottes aux poignets ; après quoi ils n'ont plus qu'à tourner en rond, ensemble, au bout d'une chaîne bénie par l'église, dans l'ornière qu'a creusée la tradition.

Auteur: Darien Georges

Info: La Belle France, 1900, Voleurs !, Presses de la Cité 1994 <p.1284>

[ femmes-par-hommes ] [ égales ]

 

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vacherie

Je vois que Malraux est ministre. C'est un méchant bougre. Avec un petit talent journalistique d'ailleurs assez cafouilleux et gauche ; il a fait les Conquérants qui étaient bien réussis - depuis peau de lapin - que des ratés - mais quelle presse et quel cabotinage - et quel impérieux pitre ! en colonel, en explorateur, en Penseur - maintenant en ministre! Ajalbert l'a vu dans un autre personnage, en voleur avec menottes entre deux gendarmes à Saïgon [...] C'est un mythomane bluffeur féroce - envieux au délire [...] un petit fifre littéraire qui joue les orchestres - les Pascals, les Bakounine.

Auteur: Céline Louis-Ferdinand

Info:

[ littérature ]

 

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paluches

Les mains sont les vestales du coeur. Elles renferment l'essence même de l'amour maternel. Elles contiennent des trésors de grâce. Elles caressent, consolent, font signe au revoir, effacent les bobos, essuient les larmes, effleurent les rêves, effeuillent les marguerites et même les pissenlits sans tige cueillis à la hâte par des menottes pressées d'offrir. Elles parlent, elles invitent à s'approcher, elles portent des messages, elles écrivent, elles voient dans le noir, chassent les cauchemars. Elles sont écrin à secrets éphémères, elles sont lutrin, porte-voix, réservoir à baisers volants, elles sont lunettes d'approche, elles sont oreilles géantes, elles sont une rampe de lancement pour missiles antipyrétiques...

Auteur: Vandamme Régine

Info: Ma mère à boire, édition Castor Astral, 2006; p.15-16

[ membre ] [ corps ]

 

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gratitude

Un lieu où règne la douleur est terre sainte. On comprendra un jour ce que cela veut dire. Jusque-là, on ne saura rien de la vie. Quand, de ma prison, on m'amena entre deux policiers, devant le tribunal des faillites, Robbie attendait dans le sinistre et long couloir afin de pouvoir, devant toute la foule, qu'un geste si simple et si charmant réduisit au silence, soulever gravement son chapeau tandis que, menottes aux mains et tête basse, je passais devant lui. Des hommes sont allés au ciel pour de moindres actes que celui-ci.
(...) Je ne lui ai jamais soufflé mot de ce qu'il avait fait. Jusqu'à présent, j'ignore s'il sait que j'ai eu conscience de son geste. Ce n'est pas là une chose pour laquelle on puisse exprimer des remerciements conventionnels avec des mots conventionnels. Je la conserve dans le sanctuaire de mon coeur. Je la garde là comme un dette secrète que, je suis heureux de le penser, je ne pourrai jamais payer.
Alors que la sagesse ne m'était d'aucun secours, que la philosophie demeurait stérile, que les sentences et les phrases de ceux qui cherchaient à me consoler me laissaient dans la bouche un goût de cendre, le souvenir de ce petit geste d'amour, silencieux et charmant, a descellé pour moi le puits de la pitié, a fait fleurir le désert comme un rose, m'a arraché à l'amertume de la solitude et de l'exil pour me mettre en harmonie avec le grand coeur blessé du monde.

Auteur: Wilde Oscar

Info: De profundis ; La Ballade de la geôle de Reading

[ reconnaissance ]

 

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paternité

Ce que n'a pas le gazouillement de l'oiseau,

Ni la fontaine de perle,

Je l'ai trouvé en toi, toi mon gazouillis, mon enfant,

Je l'ai trouvé en ton balbutiement.



Ce que j'ai cherché incessamment de coeur en coeur, endeuillé,

Mon enfance immortelle,

Je l'ai trouvée en toi, me moquant de ma peine,

Avec toi, je demeure un enfant.



Tous les astres que mes mains n'ont pas atteints,

Tous les miracles, crois-le,

Le bourgeonnement sacré de mes rêves,

Je les ai trouvés dans tes menottes.



En toi j'ai trouvé ma lyre délicate,

Tous mes jours perdus.

Toi tu es ma sainte langue maternelle en marche,

Mon petit, toi ma nation renaissante.



Tous les trônes que je n'ai pas gravis, tu les graviras,

Toi tu les graviras, mon enfant,

Mes Massis, tu les verras aussi de l'autre côté,

Mes siècles futurs t'appartiennent.

***

Dans les roses, mon enfant, toi, oublie-moi ;

Mais si l'épine te pique, appelle !



Moi, je viendrai. Sous le soleil, dans la lumière, toi, oublie-moi ;

Mais si ton chemin s'assombrit, appelle ! moi, je viendrai.



Où que je sois, dans la bataille ou sous la terre,

Quand tu tomberas dans la souffrance, appelle-moi, je viendrai...


Auteur: Shiraz Hovhannès

Info: A non Sipanig, Trad. Louise Kiffer-Sarian

[ poème ]

 

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