Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!.....
Lire la suite >>
Résultat(s): 6
Temps de recherche: 0.0281s
absurde
Aucun miroir n'a jamais reflété une femme laide.
Auteur:
Proverbe espagnol
Années:
Epoque – Courant religieux:
Sexe:
Profession et précisions:
Continent – Pays: Europe - Espagne
Info:
[
mocheté
]
humour
Si la laideur était une brique, ton père serait la muraille de chine. Si la laideur est un grain de sable ta mère c'est le Sahara.
Auteur:
Internet
Années: 1985 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: R
Profession et précisions: tous
Continent – Pays: Tous
Info:
[
mocheté
]
[
exagération
]
[
insulte
]
portrait
Elle était vêtue d’une robe jaune, ses cheveux étaient ramenés sur sa tête et de ridicules boucles d’oreilles en perles se balançaient au bout de chaînes d’argent. Elle avait un gros cul et elle était forte. Elle éclatait de partout dans cette robe jaune, seins et tout. Ses yeux étaient du vert le plus pâle et le transperçaient. Elle tenait un sac rempli de provisions marqué Vons. Ses lèvres étaient barbouillées de rouge. Peintes, épaisses, elles étaient obscènes, presque laides, une véritable insulte.
Auteur:
Bukowski Charles
Années: 1920 - 1994
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Amérique du nord - Usa
Info:
"L'homme qui aimait les ascenseurs" dans "Je t'aime Albert" page 143
[
mauvais goût
]
[
ostentatoire
]
[
personnage
]
[
mocheté
]
femmes-entre-elles
La mocheté du réel, on la taisait, les humiliations de fille ça se garde comme si on était fautives, qu'on l'ait méritée, l'humiliation, qu'on soit responsables de tout, des dépucelages manqués, des nuits incertaines, est-ce que ça s'appelle coucher ça, de leur grossièreté à eux. Des litotes honteuses tout au plus : "Si tu savais ce qu'il m'a proposé." Parfois le souffle d'histoires effrayantes passe sur nous, Michelle la rousse, celle qu'on voyait toujours avec Machin, suicidée aux barbituriques, et Jeannette, un seau de sang, ça aurait été des jumeaux, on ne se lasse pas des détails chuchotés, avec de l'eau savonneuse. La fatalité. L'homme, libre, salaud, indifférent, comme ça lui chante, nous étions toutes d'accord.
Auteur:
Ernaux Annie
Années: 1940 - 20??
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: F
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
La femme gelée, Page 116, Folio, 2018
[
frustrées
]
[
soeurs
]
[
hommes-par-femme
]
néologisme
Pour mémoire : "amocheur" vient du malais "amok". Ceux qui te disent que c’est un dérivé de l’adjectif "moche", ne les crois pas. On peut survivre à la mocheté, mais pour survivre à un amocheur, le meilleur moyen, c’est encore de n’être pas là quand il se montre.
On peut estimer que ce fut dans les villes d’Asie que se trouvèrent jusqu’au vingtième siècle, les plus fortes concentrations d’humains. (Rome exceptée, mais j’y reviendrai.) Quand tout ce monde commençait à te marcher sur les pieds, tu prenais ton panga ou ton kriss et tu allais te payer quelques égorgements. Peu importait que tu susses te servir ou non de ces instruments. Les gens que tu agressais étaient dans leur cadre normal de référence et mouraient.
Auteur:
Brunner John
Années: 1934 - 1995
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain de SF
Continent – Pays: Europe - Angleterre
Info:
Dans "Tous à Zanzibar", trad. Didier Merle, Librairie Générale Française, 1995, page 63
[
attentats
]
[
science-fiction
]
[
surpopulation
]
personnage
À trente ans, Ophélie Labourette supplantait dans la mocheté et la disgrâce les culs de cynocéphales les plus tourmentés. Elle était intensément laide de visage et de corps, et le plus naturellement du monde, c'est-à-dire sans que jamais le moindre camion ne l'eût emboutie, ni qu'un seul virus à séquelles déformantes n'y creusât jamais ses ravages.
Jaillissant de sa tête en poire cloutée de deux globules aux paupières à peine ouvrables, elle imposait un pif patatoïde qu'un duvet noir séparait d'une fente imprécise qui pouvait faire illusion et passer pour une bouche.
Le corps était court et trapu, sottement cylindrique, sans hanches ni taille, ni seins, ni fesses. Une histoire ratée, sans aucun rebondissement. De ce tronc morne s'étiraient quatre maigrelettes ; les membres inférieurs, plus particulièrement, insultaient le regard. Rien ne permettait de discerner la jambe de la cuisse. L'un et l'autre affûtées dans le même moule à bâtons, s'articulaient au milieu par la protubérance insolite d'un galet rotulien trop saillant. Un trait, un point, un trait, c'étaient des jambes de morse. Moins affriolantes que bien des prothèses. Avec, pour seul point commun avec des jambes de femmes, une certaine aptitude à la marche.
Auteur:
Desproges Pierre
Années: 1938 - 1988
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: humoriste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Chroniques de la haine ordinaire 1985
[
humour
]
[
mocheté
]