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reconnaissance faciale

(…) un neurone unique s’active, à chaque visage sélectionné. Ainsi Marilyn Monroe a-t-elle son fan, Bill Clinton le sien, Abraham Lincoln, Michael Jackson et Tony Parker le leur (…) résultat époustouflant auprès de tous les sujets : chaque fois qu’ils reverront l’image de Marylin, par exemple, ou que son nom sera évoqué en leur présence, c’est le neurone qui l’a choisie qui s’activera.

Auteur: Van Cauwelaert Didier

Info: Le dictionnaire de l'impossible

[ cellule focalisante ] [ neurone miroir ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

encouragement

Marilyn Monroe Clinique et institut neurologique
Hôpital Presbytérien 168e Broadway New-York, NY

Chère Marilyn,
Les meilleures remises en question naissent des pires crises de l'existence. Cela nous arrive à tous à des degrés différents. Sois heureuse de le vivre et n'aie pas peur d'avoir peur. Cela ne peut que t'aider. Détends-toi et profites-en. Mes pensées t'accompagnent avec ma plus profonde affection.

Auteur: Brando Marlon

Info: Lettre du 27 février 1961 alors qu'elle est en dépression

[ réconfort ]

 

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libido libérée

Le désir sexuel (qui n'est pas mal en soi) est une des premières choses que l'on apprend à refouler pour vivre en société (simple question de pudeur). Concernant les rêves lucides c'est universel : une fois dedans on se sait libéré de cette contrainte sociale et peu de gens, surtout chez les jeunes, résistent à l'appel de la nature (retour du refoulé..). Bob Monroe avait identifié le même phénomène en SHC.

Auteur: Jack Mick pseudo

Info: Sur le groupe FB de Marc Auburn, 19 avril 2021

[ astral ] [ décorporation ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

vétilles

On croit souvent que [la philosophie] consiste, avant tout, en affirmations générales. [Elle] parlerait de l'"homme", et pas d'Arnold Schwarzenegger ou de Marilyn Monroe. Elle ne serait à l'aise, vraiment elle-même, que dans les énoncés universels et les notions globales. Erreur ! Je suis convaincu que la philosophie n'existe au contraire que dans le détail, les singularités infimes, les tout petits faits. La place du chocolat dans un opéra de Mozart, les prières pour guérir les otites, la taille comparée des icebergs et de la Belgique, voilà qui donne à penser.

Auteur: Droit Roger-Pol

Info: Ma philo perso de A à Z

[ infime ] [ particularité ]

 

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portrait

Elle passait en roulant tout ce que le bon Dieu lui avait donné, c’est-à-dire énormément, tangage dangereux qui menaçait à tout moment de faire craquer, aux endroits où l’œil mâle se visse, sa trop petite robe vert pomme. Elle avait la démarche élastique et la moue arrogante des dromadaires. Elle avait le cheveu très blond et l’œil tout vide. Elle ignorait qu’elle serait grosse dans cinq ans. Elle ne parlait que de cinéma et, en matière de cinéma, que de Marilyn Monroe. Elle se prenait pour Marilyn Monroe. Elle était téléphoniste et elle s’appelait Christiane.

Auteur: Zufferey Jean-Gabriel

Info: Dans "Le livre de Zob" page 82

[ starlette ] [ banale ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

dialogue

- J'ai une blague pour toi, Short.
- J'écoute.
- Qu'est-ce que le père de Marvin Gaye lui a dit juste avant de le descendre ?
- J'en sais rien...
D'un seul mouvement, tout en fluidité, Tutt sortit son flingue, l'arma et le pointa sur le visage de Monroe.
- C'est le dernier 45 que t'entendras.
Monroe ne broncha pas. Si le petit blanc voulait jouer au cow-boy devant tout le monde, ça le gênait pas, il était prêt. Et il s'en foutait pas mal qu'il soit flic.
Tutt rigola.
- T'as pas pigé, Short ? Marvin Gaye. 45, comme le calibre. Et comme les 45 tours.
- Je pige. C'est juste que c'est pas très drôle, Tutt.

Auteur: Pelecanos George P.

Info: Suave comme l'éternité

[ littérature ] [ jeu de mots ]

 

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exister

Je voulais être danseuse. Je crois que ce qui m'importait le plus, à l'époque, c'était qu'on me regarde. Je passais des heures devant la glace, touchant mes hanches, attrapant mes seins. Je maîtrisais à merveille toutes les moues sexy des actrices qui paradaient sur les cartes postales en noir et blanc épinglées sur mon mur. J'étais Bardot, j'étais Monroe. Je me trouvais aussi belle qu'elles, et mon avenir était tout tracé. Danseuse, puis actrice. Je danserais, puis je serais repérée, puis je serais adulée et malheureuse et je mourrais. (...)
Montrer mon corps, que je trouvais sublime, est devenu, à cette époque, un besoin, une urgence. Oui, j'étais celle qui finit nue sur la table quand la musique est trop belle. J'étais une Marilyn de province, prête à tout montrer à chaque instant pour être "repérée", pour qu'on me regarde.

Auteur: Julie Bonnie

Info: Chambre 2, p. 29-30, aux jeunes filles/femmes qui rêvent de gloire et se brûlent les ailes

[ adolescence ] [ espérance ]

 

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première impression

La nuit dernière, je suis encore restée éveillée toute la nuit. Parfois je me demande à quoi sert le temps de la nuit. Pour moi, il n’existe presque pas, et tout me semble n’être qu'un long et affreux jour sans fin. Enfin, j’ai essayé de profiter de mon insomnie pour être constructive et j'ai commencé à lire la correspondance de Sigmund Freud. En ouvrant le livre pour la première fois, j’ai vu la photographie de Freud et j’ai éclaté en sanglots : il avait l'air très déprimé (cette photo a dû être prise peu de temps avant sa mort), comme s'il était mort en homme désabusé… Mais le Dr Kris m'a dit qu'il souffrait énormément physiquement, ce que j’avais appris dans le livre de Jones. Mais je pense avoir raison aussi, je fais confiance à mon intuition car je sens une triste lassitude sur son doux visage. Le livre prouve (même si je ne suis pas sûre que l'on doive publier les lettres d'amour de quelqu'un) qu'il était loin d'être coincé ! J'aime son humour doux et un peu triste, son esprit combatif qui ne l’a jamais quitté. 

Auteur: Monroe Marilyn

Info: Lettre du 10 février 1965 à son psychiatre

[ rencontre imaginaire ] [ empathie ] [ lecture ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

décollage astral

Il existe un grand obstacle à l’investigation du Corps Second et de l'environnement dans lequel il opère. Peut-être est-ce la seule barrière majeure. Elle est présente chez tous les individus sans exceptions. Elle est parfois dissimulée par des couches d'inhibition et de conditionnement, mais dès que vous en êtes dépouillé, l'obstacle demeure. Cette barrière se nomme peur, une peur aveugle, irraisonnée. Il lui suffit de peu pour la transformer en panique voire en terreur. Si vous réussissez à dépasser consciemment la barrière de la peur vous aurez réalisé un énorme progrès.

Je suis convaincu que nombre d'entre nous dépassent cette barrière de manière inconsciente chaque nuit. Lorsque cette partie de notre être se situant au-delà de la conscience prend l'initiative, il n'y a pas d'inhibition due à la peur, quoiqu'elle soit, semble-t-il, influencée par la pensée et l'action de l'esprit conscient. Le Supra Esprit prend la relève dès que l'esprit conscient se met en veilleuse pour la nuit.

Le processus d'investigation relatif au Corps Second et à son environnement semble être une fusion ou un mélange du conscient et de ce Supra Esprit. Par cette opération la barrière de la peur est vaincue.

La barrière de la peur présente maintes facettes. Les plus intrépides d'entre nous s'imaginent qu'elle n'existe pas, jusqu'à ce qu'à leur grande surprise il la découvrent tapie en eux-mêmes. Il y a tout d'abord la peur de la mort. La séparation d'avec le corps physique ressemble beaucoup à l'idée que nous nous faisons de la mort, aussi les premières réactions sont-elle automatiques. Vous vous dites : "Retourne vite vers ton corps physique ! Tu meurs ! La vie se déroule là-bas dans le physique, pas ici !"

Réactions qui se produisent quelle que soit votre formation intellectuelle ou affective. Il me fallut renouveler le processus une vingtaine de fois pour réussir enfin à rassembler assez de courage (et de curiosité) pour rester hors de mon corps plus de quelques secondes et réaliser des observations objectives. La peur de la mort fut en définitive sublimée ou apaisée par la familiarité. (...)

Auteur: Monroe Robert Allan

Info: Le voyage hors du corps : Techniques de projection du corps astral - La barrière de la peur. (Exercices préliminaires)

[ dépassement ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

credos intriqués

Je suis capable de croire des choses qui sont vraies et d'autres qui ne le sont pas et je puis croire des choses dont personne ne sait si elles sont vraies ou non.

Je peux croire au Père Noël, au lapin de Pâques, aux Beatles, à Marilyn Monroe, à Elvis et à Mister Ed. Écoutez - je crois que les gens sont perfectibles, que le savoir est infini, que le monde est dirigé par des cartels bancaires secrets et qu'il est régulièrement visité par des extraterrestres, certains gentils qui ressemblent à des lémuriens ridés et d'autres  méchants, qui mutilent le bétail et veulent notre eau et nos femmes.

Je crois que l'avenir fait chier et pense que le futur sera super. Je crois aussi qu'un jour White Buffalo Woman* reviendra pour botter le cul de tout le monde. Je crois que tous les hommes ne sont que des garçons en friche avec de gros problèmes de communication et que le déclin du good sex en Amérique coïncide avec le déclin des cinémas drive-in dans à peu près tous les Etats.

Je crois que tous les hommes politiques sont des escrocs sans principes et continue à croire qu'ils sont meilleurs que toute autre alternative. Je crois que la Californie va s'enfoncer dans la mer quand le grand jour arrivera, alors que la Floride  se dissoudra dans la folie, les alligators et les déchets toxiques.

Je crois que le savon antibactérien détruit notre résistance à la saleté et aux maladies, de sorte qu'un jour, nous serons tous anéantis par le rhume, comme les Martiens dans la Guerre des Mondes.

Je crois que les plus grands poètes du siècle dernier furent Edith Sitwell et Don Marquis, que le jade est du sperme de dragon séché et qu'il y a des milliers d'années, dans une vie antérieure, j'étais un chamane sibérien manchot.

Je crois que le destin de l'humanité se trouve dans les étoiles. Je crois que les bonbons avaient vraiment meilleur goût quand j'étais enfant, qu'il est aérodynamiquement impossible pour un bourdon de voler, que la lumière est une onde et une particule, qu'il y a un chat dans une boîte quelque part qui est vivant et mort en même temps (et que s'ils n'ouvrent jamais la boîte pour le nourrir, il pourrait bien y avoir deux sortes différentes de morts), et qu'il y a des étoiles dans l'univers qui ont des milliards d'années de plus que l'univers lui-même.

Je crois en un dieu personnel qui se soucie de moi, qui s'inquiète et qui supervise tout ce que je fais. Je crois en un dieu impersonnel qui a mis l'univers en mouvement et qui est parti traîner avec ses copines sans même savoir que je suis en vie. Je crois en un univers vide et sans dieu, fait d'un chaos de causalités, de bruit de fond et de pur hazard aveugle.

Je crois que quiconque dit que le sexe est surévalué ne l'a tout simplement  jamais fait correctement. Je crois que quiconque prétend  tout savoir ment aussi sur les petites choses.

Je crois à l'honnêteté absolue et aux mensonges sociaux raisonnables. Je crois au droit des femmes de choisir, au droit des bébés de vivre, au fait que si toute vie humaine est sacrée, il n'y a rien de mal à la peine de mort si l'on peut faire confiance au système juridique de manière implicite, et qu'il faut être bien idiot pour faire confiance au système juridique.

Je crois que la vie est un jeu, que la vie est une blague cruelle, et que la vie est ce qui arrive quand on est vivant et qu'on peut tout aussi bien s'allonger et en profiter.

Auteur: Gaiman Neil

Info: American Gods. *figure mythique des indiens Lakotas. Trad Mg

[ paradoxes ] [ exister ] [ croyances emmêlées ]

 

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Ajouté à la BD par miguel