Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 4
Temps de recherche: 0.0285s

naître

Je naquis le 31 juin 1915, à l'ombre des Pyrénées, libre à l'image de Dieu, et prisonnier de ma nature violente et égoïste.

Auteur: Merton Thomas

Info: La nuit privée d'étoiles

[ religion ] [ condition humaine ]

 

Commentaires: 0

soleil

Astre resplendissant qui, de par ses rayons, fit glorieux à tort le nid où je naquis, ce vil monde n'est pas un prix digne de lui ; Toi seul, qui l'as créé, peux l'être par Toi-même.

Auteur: Dante Alighieri

Info:

[ Dieu ] [ éloge ]

 

Commentaires: 0

quête

Comme tous les hommes de la Bibliothèque, j'ai voyagé dans ma jeunesse ; j'ai effectué des pèlerinages à la recherche d'un livre et peut-être du catalogue des catalogues ; maintenant que mes yeux sont à peine capables de déchiffrer ce que j'écris, je me prépare à mourir à quelques courtes lieues de l'hexagone où je naquis. Mort, il ne manquera pas de mains pieuses pour me jeter par-dessus la balustrade : mon tombeau sera l'air insondable ; mon corps s'enfoncera longuement, se corrompra, se dissoudra dans le vent emporté par la chute, qui est infinie.

Auteur: Borges Jorge Luis

Info: Fictions, la bibliothèque de Babel, p 72, trad. Ibarra, 1941

[ littérature ] [ vertige ] [ dernières paroles ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

cité

La ville où je naquis, un fleuve étroit l'arrose;

L'eau coule sous le pont comme une claire prose,

Et mire honnêtement dans son calme miroir

Et le doit et l'avoir;

Elle enregistre un arbre, un mur sur son passage

Et fait l'additioin du paysage.

La ville où je naquis a de petits pavés

Carrés, durs, enfoncés, cimentés dans la terre,

Et blâmant le caillou qui roule, solitaire.

Le clocher, par dessus la poste de l'octroi,

Regarde avec effroi

Un chemin qui longe une vigne.

Auteur: Porché François

Info: Humus et poussière

[ poème ] [ bourgade ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste