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Gaule

La Révolution française (de 1789) n’a pas été faite par le peuple, pour le peuple, mais par des bourgeois qui ont aboli la monarchie afin de créer une République des propriétaires. La confiscation des biens du clergé, leur nationalisation et leur vente n’ont en effet concerné que ceux qui pouvaient les acheter : ce ne furent évidemment pas les gens du peuple.

Auteur: Onfray Michel

Info: Foutriquet

[ historique ]

 
Commentaires: 6
Ajouté à la BD par miguel

absurde

Comme programme électoral nous préconisons : l'extinction du paupérisme à partir de dix heures du soir, la prolongation de la rade de Brest jusqu'à Montmartre et celle du boulevard Saint-Michel jusqu'à la mer, la nationalisation des maisons-closes, l'octroi d'une pension à la femme du soldat inconnu et l'installation de Paris à la campagne pour que les habitants profitent de l'air pur. Et aussi la suppression du wagon de queue du métro (encore non réalisée à ce jour). Mon slogan "Tout pour le front lopulaire !"

Auteur: Lop Ferdinand

Info:

[ élection ] [ humour ]

 

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cercle vicieux

Les États, en s’étant portés au secours du secteur bancaire et en ayant écarté comme solution envisageable le gel de la situation par la nationalisation, avaient déversé dans le puits sans fond des crédits qui ne seraient jamais honorés des sommes à ce point considérables que l’insolvabilité était désormais également la leur. Alors, en désespoir de cause, ils se tournèrent vers le citoyen ordinaire, en tant que contribuable, et en tant que futur retraité. On annonça l’austérité, qu’on appelait aussi "rigueur"», comme si les mesures qui seraient prises résultaient d’un impératif moral : on lui prendrait davantage sous la forme de l’impôt et des cotisations sociales. Comme l’impôt avait cessé d’être progressif, l’argent que l’on ponctionnerait, l’État l’exigerait essentiellement de ménages qui en général dépensent la totalité de celui dont ils disposent. Ce qui voulait dire que le pouvoir d’achat et donc la consommation seraient affectés. Ceux qui avaient de l’argent à ne pas savoir qu’en faire, l’État s’abstiendrait de les importuner par l’imposition : il leur emprunterait leurs fonds et les gratifierait en échange d’intérêts à des taux qui, comme nous l’avons vu, seraient en hausse, leur permettant d’avoir au bout du compte, encore plus d’argent à ne plus savoir qu’en faire.

Auteur: Jorion Paul

Info: Le capitalisme à l’agonie

[ pouvoir financier ] [ faiblesse politique ] [ crise des subprimes ]

 

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Ajouté à la BD par miguel