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instinct

Quand le cerveau est moyen de correction il est aussi égoïste que le coeur quand celui-ci pompe.

Auteur: Ashby William Ross

Info:

[ neurovégétatif ] [ à notre insu ] [ justification ]

 

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réflexe involontaire

En fin de compte la vie dépend moins de la volonté de vivre que du fait de respirer.

Auteur: Winnicott Donald W. Woods

Info: Dans "L'enfant et sa famille"

[ humour ] [ fatalité ] [ sens-de-la-vie ] [ neurovégétatif ]

 
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neurovégétatif

De nombreuses preuves montrent que la plupart de nos processus cognitifs sont inconscients - l'expérience phénoménale n'est que toute petite partie d'un espace beaucoup plus grand dans lequel se déroule le processus mental.

Auteur: Metzinger Thomas

Info:

[ à notre insu ] [ orthosympathique ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

neurovégétatif

Quelque chose, ou bien quelqu'un, là, au-dessus de l'estomac, dans la partie gauche du torse, mène sa petite vie à lui comme un pompier de garde à toute heure du jour et de la nuit.

Auteur: Astafiev Victor

Info: Le Roi Poisson

[ coeur ]

 

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neurovégétatif

Ayant été réveillé en sursaut au milieu de la nuit, je sentis manifestement que je ne respirais pas par moi-même, mais que c’était d’après le ciel ; la respiration, en effet, n’était pas la mienne, mais toujours est-il que je respirais.

Auteur: Swedenborg Emmanuel

Info:

[ à son insu ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

neurovégétatif

Il est deux processus que les êtres humains ne sauraient arrêter : respirer et penser. En vérité, nous sommes capables de retenir notre respiration plus longtemps que nous ne pouvons nous abstenir de penser. Et à la réflexion, cette incapacité à arrêter la pensée, à cesser de penser, est une terrifiante contrainte.

Auteur: Steiner George

Info:

[ à notre insu ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

survie moteur

Bien avant l'apparition de l'art, de la science et de la philosophie, la conscience n'avait qu'une seule fonction : ne pas se contenter d'exécuter des ordres moteurs, mais servir de médiateur entre des ordres opposés. Dans un corps immergé qui manque d'air, il est difficile d'imaginer deux impératifs plus opposés que le besoin de respirer et le besoin de retenir sa respiration. Comme me l'a dit un Prismatic, "imagine-toi dans un de ces engins et dis-moi si tu n'y es pas plus intensément conscient que tu ne l'as jamais été dans ta vie".

Auteur: Watts Peter

Info: Echopraxia,

[ neurovégétatif ] [ auto-programmé ] [ présence ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

chômage

Depuis quatre ans qu'on se connait, forcément, je considère mon conseiller du Pôle emploi comme l'un de mes proches. Il m'a dit récemment, avec une sorte d'admiration dans la voix, que j'étais un exemple. Ce qu'il veut dire, c'est que j'ai renoncé à l'idée de trouver du travail, mais que je n'ai pas renoncé à en chercher. Il croit voir là le signe d'un fort caractère. Je ne veux pas le démentir, il a trente-sept ans et il faut qu'il conserve ses illusions le plus longtemps possible. Mais en fait, je suis plutôt soumis à une sorte de réflexe d'espèce. Chercher du travail, c'est comme travailler, comme je n'ai fait que ça toute ma vie, ça s'est incrusté dans mon système neurovégétatif, quelque chose m'y pousse par nécessité, mais sans projet. Je cherche du travail comme les chiens reniflent les réverbères. Sans illusion, mais c'est plus fort que moi.

Auteur: Lemaitre Pierre

Info: Cadres noirs

[ automatisme ]

 

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forclusion

La différenciation majeure de mémoire implicite entre les opérés et les non-opérés peut être attribuée au facteur objectif qu’est l’activation de l’amygdale, dans des conditions biochimiques analogues à celles du stress, qui sont réalisées durant l’opération. Ces conditions de stress physiologique peropératoire sont d’ailleurs corroborées par l’apparition assez fréquentes de signes neurovégétatifs de forte sollicitation corporelle au cours de l’intervention […]. Mais à quoi correspondent ces signes lorsqu’ils sont traduits en première personne de l’expérience instantanée ? Ne doit-on pas les requalifier selon ce point de vue de signes de souffrance ? Et n’est-ce pas tout simplement cette souffrance, celle-là même qu’on croyait pouvoir éviter par l’anesthésie, qui se manifeste par un traumatisme implicite post-opératoire ? Voilà une série de questions dérangeantes qui ne peut qu’en entraîner d’autres. Que signifie au juste "être anesthésié" ? Est-ce que cela veut dire ne pas être "conscient" d’une douleur qui peut pourtant se manifester sur un plan " inconscient " ? Ou est-ce que cela revient simplement à perdre la mémoire explicite de cette douleur et de ses circonstances opératoires, après s’être vu privé des voies de communication qui permettraient de la faire converger vers une expérience unifiée, ainsi que des capacités motrices d’en témoigner au moment où elle se produit ?

Auteur: Bitbol Michel

Info: Dans "La conscience a-t-elle une origine ?" pages 466-467

[ questions ] [ silence des organes ]

 
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