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rendez-vous

Attends-moi de l'autre côté de l'année : tu me rencontreras comme un éclair étendu au bord de l'automne.

Auteur: Paz Octavio

Info: Liberté sur parole 1958, trad. Jean-Clarence Lambert, éd. Gallimard, coll. Poésie, 1966, partie II. Papillon d'obsidienne, p. 92

[ saison ]

 

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admiration

Alors qu'il s'avançait dans la lumière, j'aperçus que Trillian n'avait pas changé depuis notre dernière rencontre. Toujours aussi beau gosse. Les Svaran - cousins à l'âme obscure des Sidhes - étaient des créatures de toute beauté. Avec leur peau couleur obsidienne et leurs cheveux d'un gris-bleu éclatant, ils transpiraient le sexe, le pouvoir et le chaos.

Auteur: Galenorn Yasmine

Info: Les Soeurs de la lune, Tome 1 : Witchling

[ attirance ] [ science-fiction ] [ personnages ]

 

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spéléo

Un courant d'air ascendant, rendu glacial par les eaux souterraines, sortait de l'orifice comme un souffle issu d'une tombe, et Tyler rêva de rivières d'un noir d'encre parcourant les veines rocheuses de la terre et dans les eaux desquelles tournoyaient dans les ténèbres de bloc de glace couleur d'obsidienne et où vivaient à la merci des courants des créatures mystérieuses que nul n'avait jamais vues.

Auteur: Gay William

Info: La mort au crépuscule

[ imagination ] [ obscurité ]

 

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visage

Le plus remarquable, c'était sa barbe : très courte, il la peignait en deux moitiés symétriques qui pendaient de part et d'autre de sa mâchoire comme les stalactites que j'avais vues dans les grottes aux chauve-souris de Duncairn. Encore plus curieux : les deux pointes étaient lestées de perles vertes de la même couleur que ses yeux. Et de petites clochettes en argent tissées dans les touffes de poils tintaient chaque fois qu'il parlait, surtout lorsqu'il usait de mots requérant un minimum de mouvements du menton.
Il rit et sa barbe tintinnabula.

Auteur: McCormack Eric

Info: Le nuage d'obsidienne

 

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obscurité

Parvenu à ce qu'il estima le milieu du plan d'eau, il arrêta de ramer. La lune qui ne brillait déjà pas beaucoup avait fini par succomber aux nuages et le ciel formait au-dessus de lui une tache d'encre impénétrable. Il n'y avait pas de vent, si bien que le canot ne tanguait pas, pas plus qu'il ne dérivait. Il restait là, immobile, comme suspendu dans le vide. Terry s'aperçut qu'en renversant la tête en arrière, il pouvait s'absorber dans la contemplation d'un univers insondable de ténèbres, un ciel sans étoiles et si immense qu'il paraissait aspirer son regard. Il avait l'impression que ses pupilles étaient composées de petits morceaux de cette même matière noire, pareille à des éclats d'obsidienne, qu'il avait gardés en lui toute sa vie comme s'ils lui appartenaient, pour découvrir qu'il les avaient seulement empruntés et que maintenant leur propriétaire légitime les réclamait.

Auteur: Callan Wink

Info: Courir au clair de lune avec un chien volé

[ néant ] [ naviguer ]

 

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races

Pour en revenir à la race blanche, nous pourrions, au risque de nous répéter, la caractériser par les mots "extériorisation" et "contraste" : ce qui s'extériorise tend vers la diversité, vers la richesse, mais aussi vers un certain "déracinement créateur", et cela explique que la race blanche est la seule à avoir donné le jour à plusieurs civilisations profondément différentes, ainsi que nous l'avons fait remarquer plus haut ; du reste, les contrastes qui, chez les Blancs dans leur ensemble, se produisent "dans l'espace", dans la simultanéité, se produisent chez les Occidentaux dans le temps, au cours de l'histoire européenne. Nous ajouterons que, si le Blanc est un "feu" inquiet et dévorant, il peut être aussi - c'est le cas de l'Hindou - une flamme calme et contemplative ; quant au Jaune, s'il est de "l'eau", il peut refléter la lune, mais aussi se déchaîner en ouragans : et si le Noir est de la "terre", il a, à côté de l'innocente massivité de cet élément, la force explosive des volcans. Chacune des trois grandes races - et chacun des grands rameaux intermédiaires - produit la beauté parfaite, donc incomparable et en quelque sorte irremplaçable ; il en est nécessairement ainsi parce que chacun de ces types est un aspect de la norme humaine. Comparées à la beauté blanche, les beautés jaune et noires paraissent beaucoup plus sculpturales que celle-là ; elles sont plus près de la substance et de la féminité que le type blanc, féminité que la race noire exprime en mode tellurien, et la race jaune en mode céleste. La beauté jaune réalise à son sommet une noblesse presque immatérielle, mais souvent adoucie par une simplicité de fleur ; la beauté blanche, elle, est plus personnelle et sans doute moins mystérieuse puisque plus explicite, mais par là même plus expressive et empreinte, parfois, d'une sorte de grandeur mélancolique. Peut-être faudrait-il ajouter que le type négroïde, à son sommet, ne se réduit pas simplement à la "terre", ou plutôt qu'il en rejoint les coagulations précieuses et échappe ainsi à sa lourdeur première : il réalise alors une noblesse de basalte, d'obsidienne ou de jaspe, une sorte de beauté minérale qui transcende le passionnel et évoque l'immuable.

Auteur: Schuon Frithjof

Info: Castes et races

[ continents ] [ ésotérisme ] [ genres ]

 

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