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judaïsme
Pour moi les sionistes, qui veulent retourner à l'état juif de 70 avant J.-C.(destruction de Jérusalem par Titus) sont tout aussi agressifs que les nazis. Avec leur recherche du sang, de leurs anciennes "racines culturelles", leur mi pleurnichard, mi obtus rembobinage du monde, ils sont tout à fait en correspondance avec les nationaux-socialistes. Voilà ce qui est fantastique concernant les nationaux-socialistes, c'est qu'ils partagent la même communauté d'idées avec la Russie soviétique et avec Sion.
Auteur:
Klemperer Victor
Années: 1881 - 1960
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain, linguiste et philologue
Continent – Pays: Europe - Allemagne
Info:
I Will Bear Witness, Vol 1: A Diary of the Nazi Years 1933-41
[
vingtième-siècle
]
[
communautarisme
]
nanomonde
Le monde de la chimie […] donne l’impression du "nicht dazu gewaschen"*, de l’impuissance, de l’insuffisance […]. Il te semble combattre une guerre interminable contre un adversaire obtus et lent mais redoutable et par le nombre et par le poids ; tu perds toutes tes batailles, les unes après les autres, une année après l’autre ; et tu dois te contenter, pour soigner ton orgueil blessé, de ces quelques très rares occasions où tu entrevois une faille dans les rangs ennemis…
Auteur:
Levi Primo
Années: 1919 - 1987
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain, chimiste
Continent – Pays: Europe - Italie
Info:
Il Sistema Periodico, op. cit., pp. 206-207 *"Pas lavé en plus"
[
inhospitalier
]
[
ingrat
]
[
recherche ardue
]
technicisme idéaliste
Transformer la vie ! Ceux qui parlent ainsi en ont peut-être vu de toutes les couleurs, mais la vie, ils n'ont jamais su ce que c'était, ils n'en ont jamais senti le souffle, l'âme. L'existence pour eux, c'est une poignée de matière brute qui n'a pas été ennoblie par leur contact et qui attend d'être travaillée par eux. Mais la vie n'est pas une matière ni un matériau. La vie, si vous voulez le savoir, n'a pas besoin de nous pour se renouveler et se refaçonner sans cesse, pour se refaire et se transformer éternellement. Elle est à cent lieues au-dessus de toutes les théories obtuses que vous et moi pouvons faire à son sujet.
Auteur:
Pasternak Boris
Années: 1890 - 1960
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - Russie
Info:
Le Docteur Jivago (1957) , Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris, 1990
[
incontrôlable
]
[
irréductible
]
[
illusions mégalomanes
]
rapports humains
La malédiction de l'humanité est que (...) chacun doit être éprouvé et jugé par chacun, la conclusion des êtres ignares, bornés et obtus n'étant pas moins importante que celle des êtres intelligents, brillants et subtils. L'homme dépend très étroitement de son reflet dans l'âme d'autrui, cette âme fût-elle celle d'un crétin. Là, je m'oppose avec fermeté à l'avis de mes collègues qui, devant l'opinion des obtus, prennent une attitude d'aristocrates en proclamant Odi profanum vulgus*. Quelle façon pauvre et médiocre d'échapper à la réalité, quelle misérable fuite dans une fausse supériorité ! J'affirme, juste à l'inverse, que plus une opinion est obtuse et étroite, plus elle est, pour nous, importante et forte, tout comme un soulier étroit se fait mieux sentir qu'un soulier bien adapté au pied.
Auteur:
Gombrowicz Witold
Années: 1904 - 1969
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - Pologne
Info:
Ferdydurke. *Je déteste les gens ordinaires
[
ouverture
]
[
bêtise
]
[
banalité
]
[
trivialité
]
littérature
Jean Cocteau, déjà loin de ses poèmes vénitiens de 1909, risquait un saut qui, pour tout autre, eût été périlleux ; il retombait sur ses pieds, toujours. Plus applaudi que jamais, ayant renouvelé son public, s'étant fait une seconde jeunesse, il était partout à la fois ; il ne pouvait manquer le train puisqu'il courait devant la locomotive ; à la pointe de tout, du piquant des métaphores au bec de la plume, grâce à ses formules-flèches il s'installait dans l'aigu ; son menton interrogeant, son regard en tournevis, les doigts en vrille, il vivait "au bout de lui-même". Se reposer eût été s'émousser. De Cocteau-le-Pointu, l'électricité sortait par tous les angles. En redescendant l'escalier Henri III de l'immeuble de la rue d'Anjou, où il habitait chez sa mère, on se sentait imbécile, attardé, courbaturé, obtus ; lui seul pouvait dormir en dansant, sur les pointes.
Auteur:
Morand Paul
Années: 1888 - 1976
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Venises, L'Imaginaire Gallimard, p. 93
[
anecdote
]
éducation
... A propos de l'enfance, un thème me fascine depuis toujours. Nous mettons vingt ans à tout apprendre et nous passons le reste de notre vie à nous débarrasser des tabous, des préjugés, des règles collectives, des idées reçues, pour conquérir une vérité individuelle. Il nous faut lutter toute la seconde partie de notre vie pour réparer les dégâts causés par l'éducation obtuse, fanatique, traditionnelle, les règles de morale reçues dans l'ambiance sacro-sainte de la famille, à un âge où il nous est impossible de refuser cet enseignement.
...Prends, par exemple, le mariage : dès notre jeunesse, on nous a habitués au conte qui se termine par "et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants…" C'est un but dans la vie que l'on nous met en tête. Alors que ce n'est que le point de départ. Le début et non la fin. On nous propose le premier chapitre comme conclusion. On arrive au mariage absolument ignorant parce que cet événement nous a été présenté d'une façon mythique, inexacte. Il devient une source de désillusions, de névroses…
Je suis sûr que tout changera un jour…..
Auteur:
Fellini Federico
Années: 1920 - 1993
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: cinéaste
Continent – Pays: Europe - Italie
Info:
Parlant de son film "Juliette des esprits"
[
déprogrammation
]
existence
... A propos de l'enfance, un thème me fascine depuis toujours. Nous mettons vingt ans à tout apprendre et nous passons le reste de notre vie à nous débarrasser des tabous, des préjugés, des règles collectives, des idées reçues, pour conquérir une vérité individuelle. Il nous faut lutter toute la seconde partie de notre vie pour réparer les dégâts causés par l'éducation obtuse, fanatique, traditionnelle, les règles de morale reçues dans l'ambiance sacro-sainte de la famille, à un âge où il nous est impossible de refuser cet enseignement.
...Prends, par exemple, le mariage : dès notre jeunesse, on nous a habitués au conte qui se termine par " et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants…" C'est un but dans la vie que l'on nous met en tête. Alors que ce n'est que le point de départ. Le début et non la fin. On nous propose le premier chapitre comme conclusion. On arrive au mariage absolument ignorant parce que cet événement nous a été présenté d'une façon mythique, inexacte. Il devient une source de désillusions, de névroses…
Je suis sûr que tout changera un jour…
Auteur:
Fellini Federico
Années: 1920 - 1993
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: cinéaste
Continent – Pays: Europe - Italie
Info:
Interviewé sur son film "Juliette des esprits"
[
programmation - déprogrammation
]
[
grandir
]
chronos
Le temps
ne bouge pas
il est comme un mulet
assis
au milieu
d’un carrefour
je lui donne des coups de pied
je le tire
par son licou
je le pousse
il ne bouge pas
et pour autant
autour
de cet animal
noir et obtus
tout file
s’écoule
circule
s’agite
je me mets au lit
désespéré
après une journée
immobile
comme
un garde-fou
je m’endors
imaginant
que pendant que je dors
le mulet
se lève
et s’en va
l’aube arrive
je regarde
le mulet
il est toujours là
au milieu
de la chaussée
il n’a pas bougé
toujours là
avec sa tête
penchée
prisonnière
de ses œillères
énormes
avec ses narines
ourlées
de mouches
avec son ventre
gonflé
de foin
sur lequel
aux endroits plus clairs
serpentent
de dégoûtantes
veines
proéminentes
avec ses pattes
pelées
et écorchées
par ses sabots
encombrants.
Auteur:
Moravia Alberto
Années: 1907 - 1990
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - Italie
Info:
L’homme nu et autres poèmes, préfacé par René de Ceccaty
[
poème
]
déception
Car les expériences de la vie sont incommunicables, et c'est ce qui cause toute la solitude, toute la tristesse humaine.
Sans cesse des étrangers entrent, des gens que nous ne reverrons jamais plus, et dont la familiarité, l'indifférence nous bousculent au passage, nous donnent le sentiment désagréable d'un monde qui se passe de nous. Nous ne pouvons que sombrer, nous ne pouvons pas oublier nos propres visages. Même moi, qui suis sans visage, moi qui ne transforme pas les gens quand j'entre dans une chambre...
Même moi, je crois flotter sans attaches, incapable de m'ancrer en un lieu ou de prendre appui nulle part, incapable de fournir à ces gens un mur blanc et lisse contre lequel ils puissent projeter leurs ombres.
Je suis pourtant obligée de regarder mes voisins, pour tâcher de faire comme ces gens-là...
Tous les excès sont vains : j'ai en face de moi la moyenne, la médiocrité...
Si c'est cela la vie, elle ne vaut pas la peine d'être vécue. Et cependant, même le petit restaurant a son rythme.
Où est la solution dans cette continuité ?... Où est la fente, par où l'on peut apercevoir l'universel désastre ?
Nous ne sommes pas simples, comme nos amis le souhaitent pour que nous répondions au besoin qu'ils ont de nous. Et cependant, l'amour est simple.
Tout change. Tout passe, et la jeunesse, et l'amour.
Je n'ai pas le pouvoir de me concilier la bienveillance des gens.
J'aime mieux dénoncer une fois pour toutes ce monde de gens obtus, occupés de rien, lourdement satisfaits d'eux-mêmes...
J'ai en moi une force qui les consumera tous, tant qu'ils sont.
Auteur:
Woolf Virginia
Années: 1882 - 1941
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: F
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - Angleterre
Info:
Les Vagues, 1931
[
rapprochement impossible
]
[
rapports humains
]
hiérarchie
Il ne faut rien exagérer. La judéo-gangsterie américaine a beau raffiner son boucan énorme, c'est pas elle quand même qui décide des choses vraiment graves, celles qui engagent toute la juiverie. Pas du tout ! Dans les conciles décisifs de la politique juive mondiale, Washington compte pour du beurre. Le personnel politique judéo-américain s'est toujours, partout, démontré d'une connerie sans nom. Il n’a pas droit à la parole. C'est Londres-l'hypocrite qui garde la haute main, le pouvoir très absolu, (par l'intelligence service) de guerre et de paix. Washington ne rame qu'à la traine avec son quarteron marrant de féodaux de la conserve et du soutien-gorge, éberlués du dollar, vieux aventuriers goujatiers, exhibitionnistes, analphabets retraités dans les protocoleries gâteuses.
Washington-la-conne n'ose jamais, ne prend jamais sur la scène mondiale d'initiatives majeures. C'est toujours Londres qui la règle dans toutes ses allures, fringantes, endiablées, sournoises, sermonneuses.
C'est Londres aussi qui règle Moscou dans ses perversités geôlieres, ses partouzes d'aveux spontanés, autant, pas plus, mais pas moins qu'elle oriente tous nos Orients, nos loges pas souveraines, nos trébuchets ministériels, notre démocratie française haletante. Les sages de Londres ne demandent aux Judéo-américains, obtuses, dépravées, infantiles brutes, que leur pétrole surabondant, leur coton, leurs avions, leur cinéma, leur or, leur 70 pour 100 de l'industrie mondiale, leur inégalable tapagerie-bastringue, leur propaganderie abracadabrante, leur bluff cyclopéen. C'est tout. Le matériel en temps voulu, la hurlerie en temps voulu. Pas d'avantage.
On ne leur demande jamais d'idées, surtout pas d'idées, on leur en fait grâce. Les Judéos-américains sont célèbrement idiots, atterants de sottise, voyez Roosvelt, Otto Khan, Morgenthau, Filène, Barush, Rosenthal... Regardez ces têtes de cons... Sottise en personnes ! Londres se méfie de leurs idées pires que de la peste. Les Judéos-américains ne se mettent en branle qu'au commandement de la cité, pour déverser leur brocante, à toute berzingue, toute leur quincaillerie, le crédit, leurs huiles puantes, leur tintamarre, leurs filmeries, où on leur dit, ici, là-bas à l'endroit juste...
Tous les déclics de la guerre, de la paix, sont à Londres...
Auteur:
Céline Louis-Ferdinand
Années: 1894 - 1961
Epoque – Courant religieux: Industriel
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
l'école des cadavres (1938, 305 p.)
[
empire
]
[
domination
]
[
état profond
]
[
lobby
]
[
réseaux occultes
]