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acceptation

Ce n'est pas grave de souffrir. Ce n'est pas grave de dormir il faut dormir et manger il faut vivre en attendant l'avion du retour les enfants non accompagnés les innocents sacrifiés. Ce n'est pas grave si l'homme sur la croix le prophète fou le mendiant révolté a hurlé crucifié hurlé le manque d'amour du peuple de son père. Ce n'est pas grave d'oublier les paroles des prophètes les promesses des époux et les serments aux enfants Ce n'est pas grave de souffrir puisque tout le monde le fait....

Auteur: Olmi Véronique

Info: La pluie ne change rien au désir

[ douleur ] [ vivre ]

 

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enfant

- Maman en prison il n'y a pas de fenêtre? Oscar a dit que c'était tout noir. Alors papa, il n'a pas pu s'envoler?
Celia voulut répondre, mais sa gorge se noua. Pour la première fois depuis des années, Violette parlait de son père. Oscar ravala son chagrin et réussi à sourire.
- Si, Violette, on peut toujours s'envoler. Il n'y a pas que les fenêtres pour ça. Tu fais comment toi?
- Moi? répondit sa soeur, hésitante. Moi je rêve.
- Voilà, conclut Oscar. Papa aussi, il a rêvé.

Auteur: Serfaty Thierry

Info: Oscar Pill, tome 1 : La révélation des Médicus

[ deuil ] [ père ] [ mort ]

 

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justification

- J'ai le courage de douter de moi.

- Vous manquez d'orgueil.

- Vous tenez le même discours que mon père.

- Il vous obsède. Quel merveilleux bouc émissaire, n'est-ce pas ? Mais vous l'accusez à votre place, vous le reniez parce qu'il a eu le malheur de voir clair dans votre cœur. Vous vouliez mettre un visage sur votre culpabilité, sur ce dégoût de vous-même. Au lieu de vous battre pour admettre la vérité, vous avez inventé un père qui puisse cristalliser votre lâcheté.


Auteur: Gaborit Matthieu

Info: Les Royaumes crépusculaires : Intégrale

[ couardise ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

société

Il y a deux sortes d'individus dans la vie, les Classiques et les Indiens.
Le Classique est un homme pétri par la norme, il n'inventera jamais rien, ne fera qu'obéir et suivre le mouvement en rêvant d'ascension sociale. C'est mon père.
L'Indien est un intuitif, un insoumis, un créatif. C'est Casso le bonheur loin des apparences. Mais l'extrême Indien court vers la folie. Je le sais pour avoir croisé quelques Apaches dans les hôpitaux psychiatriques.
Ma voie était quelque part entre ces deux hommes, ces pôles contraires de mon enfance. Vaste espace où j'avançais, égaré.

Auteur: Garouste Gérard

Info: L'intranquille

[ extrémités ]

 

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songe

Je n'avais jamais douté du retour de mon père. Je savais qu'un jour il viendrait inévitablement, de même que viendrait l'Etoile, notre Etoile lumineuse des temps heureux, mais j'avais peur qu'il ne se souvienne pas de moi, qu'il passe devant moi sans même regarder, comme s'il était aveugle ou invisible. Et j'en rêvais parfois : je rêvais que mon père passait à travers moi sans s'en rendre compte, et je n'avais pas de mains pour l'arrêter ni de voix pour le prévenir. Je n'étais qu'une poignée d'air transparent et lui un arbre bleu qui marchait seul.

Auteur: Montero Rosa

Info: Belle et sombre

[ attente ] [ papa ] [ littérature ]

 

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adieux

Et alors commencèrent les au revoir définitifs (...). Et ce qui m'a le plus marqué durant cette soirée, c'est le seul geste par lequel mon grand-père s'est fait remarquer : il a collé sa toute petite tête anguleuse d'oiseau sur la poitrine de mon père, pour un seul instant, mais d'une façon sauvage, presque éperdue. Puis il est sorti très vite, tenant ma grand-mère par le coude. Tous s'écartaient sur leur chemin.(...) Et soudain ce fut le silence, parce que tout le monde était parti. Alors j'ai à mon tour dit adieu à mon père.

Auteur: Kertész Imre

Info: Etre sans destin

[ séparation ]

 

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analogie

Dans le "Traité du zen et de l'entretien des motocyclettes", Phaedrus, l'alter ego de l'auteur Robert Pirsig, est assis à l'extérieur d'un motel de l'Ouest, buvant du whisky avec ses compagnons de voyage en écoutant son fils Chris raconter des histoires de fantômes. "Crois-tu aux fantômes ?" Demande Chris à son père. "Non," dit Phaedrus. "Ils sont immatériels, n'ont pas d'énergie et n'existent donc, selon les lois de la science, que dans l'esprit des gens." Puis il s'arrête, réfléchit : "Certes, les lois de la science sont immatérielles, n'ont pas d'énergie non plus et n'existent donc que dans l'esprit des gens."

Auteur: Johnson George

Info: Fire in the Mind: Science, Faith, and the Search for Order. Phaedrus’s Ghosts (p. 24) Alfred A. Knopf. New York, New York, USA. 1995

[ imaginaire ] [ spectres ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

énigme

BabouUsh : J'ai perdu ma virginité avant mon père.
Antraxx : C'est pas possible alors tais-toi au lieu de raconter des conneries --'
BabouUsh : J'te parie 20 euros que j'peux facilement te le prouver^^ Tenu?
Antraxx : Tenu pour 40, j'suis sûr de gagner
BabouUsh : Ma mère est allé à la banque de sperme, a reçu celui d'un donneur, et je l'ai rencontré il y a deux jours, il m'a avoué être puceau! Une branlette pour un don c'est pas perdre sa virginité gars ;)
Antraxx : ... Enflure
BabouUsh : Bon j'vais pas être salaud, j'te laisse une semaine.

Auteur: Internet

Info:

[ pari ] [ dialogue-web ]

 

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forêt légendaire

Combien il regrettait à cette heure de ne pas mieux l'avoir écouté lorsqu’il lui enseignait toutes ces choses qui font mieux vivre, mieux entendre, mieux comprendre au lieu de s'être laissé mener là dans le canal bétonné où l'on a décidé que vous deviez aller. Il s'est laissé faire comme tout le monde, en oubliant l'Alliance dont lui parlait son Grand Père.

"C'était au temps où les bêtes parlaient. Cela ne veut pas dire qu'elles causaient comme toi et moi, expliquait-il, mais on parlait un même langage... la faune, la flore et nous, une voix de l'esprit qui reliait tout."

Auteur: Robillard Chantal

Info: Dimension Brocéliande

[ monde d'avant les hommes ] [ passé immémorial ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

Islam

Mon père, dès qu'il m'en parle, c'est pour me dire qu'il va me châtier si je fais encore des conneries. Un jour j'ai juste dit devant lui qu'il faisait trop chaud et que c'était pénible : eh bien il m'a flanqué une baffe. Dans sa logique, à ce con, comme c'est Allah qui fait le temps, j'avais blasphémé. Maintenant, vous avez une idée de qui est mon père. C'est un ignorant et il l'ignore. Un vrai cancer à lui tout seul. Il ne sait que gueuler et de préférence sur les gonzesses. C'est un pauvre, mon père. Et c'est un con. C'est un pauvre con.

Auteur: Azzeddine Saphia

Info: Confidences à Allah

[ éducation ] [ femmes-hommes ]

 

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