Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 166
Temps de recherche: 0.0496s

Tibet

Il demeure un vaste pays au sommet du monde où se passent des choses étranges. Des moines ont le pouvoir de séparer l'esprit du corps, des shamans et des oracles prennent des décisions gouvernementales et un roi-dieu vit dans un palais ressemblant à un gratte-ciel dans la cité interdite de Lhassa...
J'entrevois que tous ceux qui aiment le Tibet et la liberté accompagneront le Dalaï Lama lorsqu'il retournera au Potala, le monument du génie tibétain.

Auteur: Harrer Heinrich

Info: 7 ans d'aventures au Tibet

[ Asie ] [ montage ]

 

Commentaires: 0

self-contrôle

Ben Azai fut jugé digne, et il s'arrêta à la porte du sixième palais et contempla la splendeur éthérée des plaques de marbre pur. Il ouvrit la bouche et dit par deux fois : "De l'eau! De l'eau!" En un clin d'oeil, ils lui tranchèrent la tête et le percèrent de onze mille lances. Cela servira de preuve, pour toutes les générations futures, que personne ne doit tomber dans l'erreur à la porte du sixième palais.

Auteur: Hekhalot le Mineur

Info: écrit traditionnel Islamique

[ maitrise ]

 

Commentaires: 0

vie

Nous les Mexicains, nous nous moquons de la mort. Tout prétexte est bon pour faire la java. La naissance et la mort sont les moments les plus importants de notre vie. La mort est deuil et joie. Tragédie et divertissement. Pour vivre en gardant à l'esprit l'heure finale nous faisons notre pain aux petits os sucrés, rond comme le cycle de la vie ; et, au centre, le crâne. Doux au palais, mais mortuaire. C'est ce que je suis.

Auteur: Haghenbeck Francisco G.

Info: Le jour des morts

[ extrémités ] [ profiter ]

 

Commentaires: 0

injustice

Qu’on relise dans Guerre et Paix au livre III, troisième partie, le chapitre 25, un douloureux et atroce récit : que l’on réécoute l’exécution sommaire du malheureux Vérestchaguine, tenu pour traître et ne l’étant pas ; le comte Rostopchine, gouverneur de Moscou, s’exhibant théâtralement sur le grand escalier du Palais face à la sombre attente de la foule, ordonne aux dragons de le tuer à coups de sabre, là, devant la foule : en vertu du principe intérieur fondamental, sainte-vierge-marie, qu’il leur faut une victime.

Auteur: Gadda Carlo Emilio

Info: L'affreuse embrouille de via Merulana

[ martyr expiatoire ] [ exécution ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

conscience

Dans ce monde, tu possèdes trois compagnon de route : l’un est fidèle et les autres sont perfides. L’un deux, c’est les amis, l’autre, les richesses et les biens ; et le troisième qui est fidèle, c’est excellence dans les actions. Tes richesses ne sortiront pas avec toi hors de tes palais ; ton ami viendra, mais seulement jusqu'à ta tombe. Seules les actions sont fidèles : fais d’elles ton refuge, car elles viendront avec toi dans les profondeurs du tombeau.

Auteur: Djalâl ad-Dîn Rûmî

Info: Sagesses et malices de la Perse

[ justesse ] [ pondération ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

pornographie

Avec elle nous avons fait un petit tour,
Hermogène, Cléobule et moi-même,
Pour lui faire l'amour. Nous l'avons partagée :
Dans sa bouche, moi, je devais surnager.
Hermogène explorait ses domaines arrières,
Sinistres, spacieux et remplis de mystères,
Un rivage des morts
Où tout est secoué par des souffles sonores.
Cléobule, vrai Zeus, lui, vint dans son palais,
Brandissant dans sa main son foudre, ce brasier.
Cette contrée était à nos trois corps commune :
Nous avions déposé un drap sur cette dune...

Auteur: Nicarque

Info: La femme partagée

[ partouze ]

 

Commentaires: 0

vacherie

Ce qui caractérise au plus haut point le style des Goncourt, c'est le mépris hautain qu'ils ont pour l'harmonie, ce que Flaubert appelait les chutes de phrases. Elles sont encombrées, leurs phrases, de génitifs accouplés, de subjonctifs lourds, de tournures pâteuses qui ont l'air de sortir d'une bouche pleine de salive. Ils ont des mots qui sont comme des ronces, une syntaxe qui râcle la gorge, qui font au haut du palais l'impression d'une chose qu'on ne peut pas se décider à vomir.

Auteur: Renard Jules

Info: Journal

[ littérature ] [ analyse ]

 

Commentaires: 0

humilité

Monsieur, j'ai confié ma vie à des planches de bois grises qui sont dans un mûrier ; aux sons des sept cordes d'une viole ; à mes deux filles. Mes amis sont les souvenirs. Ma cour, ce sont les saules qui sont là, l'eau qui court, les chevesnes, les goujons et les fleurs du sureau. Vous direz à sa majesté que son palais n'a rien à faire d'un sauvage qui fut présenté au feu roi son père il y a trente-cinq ans de cela.

Auteur: Quignard Pascal

Info: Tous les matins du monde

[ littérature ] [ musique ]

 

Commentaires: 0

minéral

Comme Cheval l’a expliqué, ce sont les pierres qui lui ont donné l’idée des sculptures, ces pierres qui, formées au cours des périodes géologiques, lui sont apparues comme des caricatures. "D’étranges sculptures de toutes sortes d’animaux et des caricatures. Impossibles à imiter l’homme. Je me suis dit : puisque la nature veut faire des sculptures, je m’en vais édifier pour elles l’architecture qui leur convient." Quand vous scrutez ces pierres, elles deviennent des créatures, des oiseaux ou des animaux le plus souvent. Certaines vous regardent.

Auteur: Berger John

Info: Fidèle au rendez-vous, Le Palais idéal du facteur Cheval, p.90

[ vivant ] [ interprétation ]

 

Commentaires: 0

historique

Il n'avait pas arrêté de penser à tous ces pauvres types qui s'étaient cassé les reins pour des salaires de misère à construire ce monument d'orgueil, pour qu'un ramassis de semi-demeurés à force de mariages consanguins, parasites et bons à rien, dilapident les deniers publics, autour d'un illuminé qui se prenait pour rien moins que le soleil. Pour que tout ce beau monde puisse se goinfrer jusqu'à la déraison, forniquer à la lumière des feux d'artifice et chier derrière les paravents dans tous les coins du palais.

Auteur: Pouy Jean-Bernard

Info: Total Chaos, Visite du château de Versailles

[ Gaule ] [ oligarchie ] [ aristocratie ]

 

Commentaires: 0