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suicide

Déplorer quelqu'un qui s'est donné la mort est plus complexe (...) Les sentiments de perte, de remords, et de pitié qu'on éprouve envers la victime se heurtent à la colère contre le meurtrier, et il en vient une apathie étrange et paralysante.

Auteur: Banks Russel

Info:

[ deuil ]

 

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distanciation

Le concept du recul : chaque événement, chaque situation appréhendée avec les sens engendre une réaction, agréable ou désagréable, parfois violente, paralysante, et il s'agit seulement de descendre à l'intérieur de soi pendant quelques secondes pour ne pas se laisser emporter par les premières impressions et avoir des choses une vision plus lointaine, plus détachée.

Auteur: Bordage Pierre

Info: La fraternité du Panca, Tome 1 : Frère Ewen

[ sagesse ]

 

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principes

La vérité n'est pas pour lui une obsession paralysante. Dire que sa vie est tissée de mensonges, de dissimulations et de calomnies n'est pas l'accabler : c'est tout simplement faire état d'un fait dont le rappel ici est techniquement utile, et qu'il nous faut donc savoir ne pas taire. C'est faire état d'un fait, et d'un règle de vie énoncée par lui-même. Ce fut en 1736, dans une lettre à Thiériot : "Il faut mentir comme un diable, non pas timidement, non pas pour un temps, mais hardiment, et toujours."

Auteur: Martin Xavier

Info: Dans "Voltaire méconnu", page 18

[ mythomanie ] [ comédien ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

méta-moteur

Ainsi, tout en regardant le Lincoln qui, par degrés, arrivait à établir une relation avec ce qu'il voyait, je compris quelque chose : à la base de la vie, il n'y a pas l'avidité d'exister, ni un désir d'aucune sorte. Il y a la Peur. Celle que j'avais sous les yeux. Et même, ce n'était pas la peur. C'est bien pis. C'est l'épouvante absolue. Une épouvante si paralysante qu'elle débouche sur l'apathie. Pourtant, le Lincoln remuait, s'en extirpait. Pourquoi ? Parce qu'il le devait. L’étendue de son épouvante impliquait, et le mouvement, et l'action. Cet état, de par sa nature propre, était insupportable.

Toute activité de la vie en lui était un effort qui tendait à le soulager de cet état. Une tentative pour adoucir la condition dans laquelle nous le voyions, en cet instant.

J'en déduisis que naître n'est pas une partie de plaisir. C'est pire que mourir. On peut philosopher sur la mort. Et vous ne vous en priverez certainement pas, comme chacun de nous. On ne peut philosopher sur la naissance, ni en adoucir la condition. Et le diagnostic est terrible : tous vos actes, vos exploits, vos pensées ne font que vous imbriquer encore plus profondément dans la vie.

Auteur: Dick Philip K.

Info: Le bal des schizos, 1985

[ frousse ] [ crainte ] [ frayeur ]

 

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Ajouté à la BD par miguel