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jeu de mots

Celui qui persévère n'a plus mal aux intestins.

Auteur: Internet

Info:

[ humour ]

 

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souffle

Commence dans le petit, persévère dans des difficultés, continue et poursuit vers le grand.

Auteur: Krupp Alfred

Info:

[ continuité ] [ travail ] [ triade ]

 

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dépassement

C'est seulement pour ceux qui persévèrent après que tout semble perdu, que l'espoir luit à nouveau.

Auteur: Chesterton Gilbert Keith

Info: journal The Speaker 2 Février 1901

[ combat ] [ survie ]

 

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être humain

Pris la main dans le sac, le gentilhomme se suicide, un bourgeois démissionne, un politicien nie, un aventurier persévère.

Auteur: Volkoff Vladimir

Info:

[ pris en flag ]

 

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gravitation

La force inhérente à la matière est le pouvoir de résistance par lequel tout corps, dans la mesure où il en est capable, persévère dans son état soit de repos, soit de mouvement uniforme en ligne droite.

Auteur: Newton Isaac

Info: Définition 3, tirée des Principia.

[ inertielle ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

mémorialiste

Lorsque j’ai entrepris d’écrire ces Vies, c’était pour autrui ; mais si je persévère et me complais dans cette tâche, c’est à présent pour moi-même. Ces histoires sont alors comme un miroir, à l’aide duquel j’essaie, en quelque sorte, d’embellir ma vie et de la conformer aux vertus de ces grands hommes. J’ai vraiment l’impression d’habiter et de vivre avec eux ; grâce à l’histoire, j’offre l’hospitalité, si l’on peut dire, à chacun d’entre eux tour à tour, l’accueillant et le gardant près de moi ; je contemple “comme il fut grand et beau” [Homère, Iliade XXIV, v. 630 à propos d’Achille] et je choisis les plus nobles de ses actions afin de les faire connaître. 

Auteur: Plutarque

Info: Vies parallèles (in Vie de Timoléon), entre 100 et 120, trad. Anne-Marie Ozanam, éditions Gallimard, coll. Quarto, 2002

[ témoin ] [ transmetteur ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

hommes-femmes

Je pense que le fait de parler d’hystérie surtout chez les femmes vient de ce que l’hystérie, chez l’homme, est utilisée beaucoup plus socialement que chez la femme, dans des comportements phallocrates, dans des comportements de prestance, qui sont appréciés comme valeurs par la société, donc narcissisants pour le sujet et opérationnels quant à son agir sur autrui. Ce qui fait qu’on dépiste davantage l’hystérie de la femme, c’est que, quand elle échoue à atteindre son but et que sa souffrance narcissique en est surexcitée, elle persévère parfois dans le même symptôme, inconscient dans sa source, et que l’hystérie, de ce fait, apparaît sans lien avec la réussite sociale. Moyennant quoi, on appelle hystérie chez la femme ce qui est moyens admirés comme accessoires de la réussite sociale chez l’homme.

Auteur: Dolto Françoise

Info: "L'image inconsciente du corps", éditions du Seuil, 1983, page 352

[ utilisation sexuellement différenciée ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

réalisation métaphysique

Si Abdallah, converti à l’Islam et sanscrisant, me fait lire les livres de René Guénon. Que serait-il advenu de moi si j’avais rencontré ceux-ci aux temps de ma jeunesse, alors que je plongeais dans la Méthode pour arriver à la vie bienheureuse et écoutais les leçons de Fichte, du plus docile que je pouvais ? Mais, en ce temps, les livres de Guénon n’étaient pas encore écrits. A présent, il est trop tard ; “les jeux sont faits, rien ne va plus”. Mon esprit sclérosé se plie aussi difficilement aux préceptes de cette sagesse ancestrale, que mon corps à la position dite “confortable” que préconisent les yogis, la seule qui leur paraisse convenir à la méditation parfaite; et, à vrai dire, je ne puis même parvenir à souhaiter vraiment celle-ci, cette résorption qu’ils cherchent de l’individu dans l’Être éternel. Je tiens éperdument à mes limites et répugne à l’évanouissement des contours que toute mon éducation prit à tâche de préciser. Aussi bien le plus clair profit que je retire de ma lecture, c’est le sentiment plus net et précis de mon occidentalité ; en quoi, pourquoi et par quoi je m’oppose. N’importe ! Ces livres de Guénon sont remarquables et m’ont beaucoup instruit, fût-ce par réaction. J’admets volontiers les méfaits de l’inquiétude occidentale, dont la guerre même reste un sous-produit; mais la périlleuse aventure où nous nous sommes imprudemment lancés valait la peine qu’elle nous coûte, valait la peine d’être courue. A présent, du reste, il est trop tard pour reculer; nous devons la mener plus avant, la mener jusqu’au bout. Et ce “bout”, cette extrémité, je tâche de me persuader que c’est Dieu, fût-il atteint par notre ruine. Il faudrait sans doute la “position confortable” pour mener à maturité cette pensée. En attendant, je persévère dans mon erreur; et je ne puis envier une sagesse qui consiste à se retirer du jeu. Je veux “en être” et dût-il m’en coûter.

Auteur: Gide André

Info: 1943

[ évitement ] [ justifications ] [ force de l'habitude ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson