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différenciation

D'abord les séditieux firent quelques changements a leur chevelure, ils affectèrent de la couper de manière à ce qu'elle n'eût plus rien de commun avec celle des autres Romains; ils ne s'occupèrent plus de se faire la moustache et de raser leur menton; mais ils laissèrent tout croître, comme il est d'usage immémorial chez les Perses.
Quant aux cheveux de la tête, ils coupaient tous ceux de devant jusqu'aux tempes; et à l'égard de ceux de derrière, ils permettaient de les laisser croître le plus long possible, et sans aucune règle, comme le font tes Massagètes. Ils appelèrent cette coiffure "hunnique" (la mode des Huns).

Auteur: Procope de Césarée

Info: Anecdota ou l'histoire secrète de Justinien Chap 7, p. 81

[ poils ] [ historique ]

 

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songe

Il m'est également arrivé de rencontrer un être (je ne pense pas qu’il était extraterrestrel enfin je ne sais pas.)

Il était transparent rose/orange sans cheveux ni sourcils ni poils ni rien. Il était, avec mes mots, tout mouillé/brillant comme si du miel ou de l'eau coulait autour et dans lui (compliqué à décrire). A sa vue je me suis dit : - mais c'est quoi ce truc ! Je ne pouvais l'avoir imaginé... Ensuite il m'a montré son corps de chair d'avant (car il en avait eu un). Je cherche toujours une explication... ça c’est passé il y a 2 mois et demi

Auteur: Internet

Info: Sur le fil FB de Marc Auburn, sous le nom d'Emilie De Clercq, 11 mars 2022

[ rêve ] [ astral ] [ personnage ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

playboy

On passe dans l’autre salle. C’est là qu’est Tab Jones. Il chante. Sa chemise est ouverte sur sa poitrine velue. Les poils noirs luisent de transpiration. Il porte une grande croix en argent sur sa toison en sueur. Sa bouche est un trou répugnant au milieu d’une crêpe. Il a un pantalon très serré et un godemiché. Il empoigne ses couilles et chante tous les trucs agréables qu’il peut faire aux femmes. Il chante vraiment mal, je veux dire, c’est vraiment une horreur. Ce qu’il peut faire aux femmes, c’est bidon, tout ce qu’il veut, c’est enfoncer sa langue dans le trou du cul d’un mec.

Auteur: Bukowski Charles

Info: Dans "Hollywood", trad. Michel Lederer, Le livre de poche, pages 24-25

[ imposteur ] [ description ] [ concert ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

orgasme

Ses mains glissent entre ses cuisses et tâtonnent dans la moiteur poisseuse qui y règne, les fluides secs accrochés à un désordre de poils, la douceur glissante des plis écartés d'un doigt, l'humidité rassurante de son centre, les aspérités granuleuses et l'élasticité de ses muscles qui se resserrent autour de ses doigts. D'un pouce, elle éveille son corps en dessinant des cercles concentriques sur sa vulve gonflée. Spirales d'infllux nerveux, fusion électrique qui brûle et irradie, l'univers vibre, un monde explose. Elle tremble -- tout se fige. Quand elle se lève et s'étire, elle est arc oeil douceur rosée peau & marche.


Auteur: Darsan Lou

Info: L'arrachée belle

[ masturbation ] [ spasme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

colonialisme

Le changement du costume tribal pour celui de l'homme blanc fut brutal. Les effets sur la santé et le confort des enfants furent considérables. Notre premier grief fut d'avoir les cheveux coupés. Les hommes Lakotas ont toujours porté les cheveux longs. Plusieurs jours après avoir été tondus, nous nous sommes sentis bizarres et mal à l'aise. Si l'argument avancé était vrai, à savoir l'élimination des poux, pourquoi les filles n'avaient-elles pas subi le même traitement que les garçons?
La vérité, c'est qu'ils voulaient nous transformer. Les cheveux courts étant la marque distinctive de l'homme blanc, on nous l'imposa, alors que lui-même conservait sa propre coutume de se laisser pousser les poils du visage.

Auteur: Standing Bear

Info: sagesse amérindienne

[ usa ]

 
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dépotoir

Par moments, elle suspend sa lecture et laisse ses yeux dériver au-dessus de la décharge. Les sacs lui apparaissent alors tels des livres échoués. Des histoires, des témoignages fragmentés, des instants contenant ce qui a été mangé, bu, porté, désiré, jeté après usage. Il y a en eux des portions pourrissantes de vies ordinaires qui achèvent de se désagréger et sur lesquelles on marche. Là aussi, on trouve des mots. Ceux des journaux, des lettres, des cartes postales, des affiches, des carnets, toute une existence de vocables utiles ou désuets, oubliés, méprisés, servant à emballer les épluchures, les rognures d'ongles, les poils et les cheveux, des des mots déchirés, froissés, à moitié brûlés.

Auteur: Zukerman David

Info: San Perdido

[ décharge en plein air ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

grotesque

Pour raser l'anus, c'était encore plus compliqué. Les pieds relevés et appuyés contre les parois carrelées de sa salle de bains industrielle, le torse bombé, pour pouvoir l'atteindre plus facilement, appuyé sur une main, le rasoir dans l'autre. À croire qu'il avait le bas de la colonne vertébrale montée sur charnière pour réussir à se plier en deux. Le rituel était identique : rasage, pause, rinçage dans une cuvette d'eau chaude. Il prenait son temps et restait parfois dans cette position quelques minutes avant de repasser la lame. Plus il enlevait de poils, plus il se sentait serein, et plus il lui était facile de conserver sa position. Il avait l'impression de se purifier, d'atteindre le salut.

Auteur: Zuiker Anthony E.

Info: Level 26

 

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désir

Elle était là, couchée sur le côté en position foetale, avec les genoux touchant presque la poitrine et les poings serrés contre la bouche. Cette fille de pute avait laissé la seringue sur l'oreiller, avec un élastique, la cuillère sur la table de chevet et une trace de sang en train de sécher sur le drap. Riquelme, les aiguilles, ça le terrorisait.
Trini portait juste un slip brésilien rouge, mais le fil était invisible, rentré dans les fesses, et un peu sur l'avant, vers les cuisses, on voyait un renflement couleur lie-de-vin, d'où s'échappaient des poils noirs tenaces, sauvages, comme l'herbe qui pousse dans la fissure d'un mur ou entre les sépultures.
Comme elle le dégoûtait, comme il avait envie de la baiser, comme ça, par-derrière, sans qu'elle se réveille.

Auteur: Reig Rafael

Info: Ce qui n'est pas écrit

[ sexe ] [ littérature ]

 

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fellation

Je ne fréquentais pas, comme disaient mes vieux avec leur vocabulaire d'une autre époque. Ils ignoraient que je devais mes bons résultats aux DM de maths au fait que je suçais Florian en échange d'exercices impeccablement réalisés. Je gobais son cornichon en récitant mes verbes irréguliers d'anglais : cela me faisait gagner du temps sur mes devoirs. Réciter des verbes me permettait aussi de faire abstraction de l'odeur aigrelette de la transpiration qui collait à ses poils. Au verbe bite bit bitten, ça ne ratait pas, la sienne giclait et j'aurais à chaque fois volontiers mordu dans le morceau parce qu'il avait la manie de l'enfoncer loin dans ma gorge quand il se sentait venir. Je le suçais, il me filait les réponses des exercices. Rien qu'un deal. Mon coeur était ailleurs... Elle s'appelait Lise.

Auteur: Chocolatcannelle

Info: Confidences amoureuses et sexuelles d'une lesbienne

[ lesbienne ] [ prostitution ] [ parents ] [ malentendu ] [ enfant ]

 

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archives

Le principal matériau utilisé pour la fabrique des livres consistait en peaux d'animaux — vaches, moutons, chèvres et parfois cerfs —, puisqu'on ne pouvait plus se procurer de papyrus et que l'usage du papier ne s'est pas généralisé avant le XIVᵉ siècle. Ces peaux devant être lissées, le bibliothécaire distribuait de la pierre ponce qui servait à éliminer les poils restants, les bosses et autres imperfections. Une tâche pénible attendait le scribe à qui était attribué un parchemin de mauvaise qualité. Les marges de certains manuscrits monastiques ont parfois conservé des témoignages de leur détresse : "Le parchemin est velu" ; "Encre diluée, mauvais parchemin, texte difficile" ; "Dieu merci, il fera bientôt nuit". "Qu'il soit permis au copiste de mettre un terme à son labeur", écrivit un moine épuisé sous son nom, précisant la date et le lieu où il travaillait. "J'ai fini, avouait un autre, pour l'amour du ciel donnez-moi à boire."

Auteur: Greenblatt Stephen

Info: Quattrocento

[ évolution ] [ recueil ] [ bouquin ] [ matières ]

 

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