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sodomie

Je suis d'origine allemande, prussienne. Mon arrière-grand-père était cavalier uhlan. Donc moi, en tant qu'uhlan, je ne puis qu'être d'accord avec toi.

Auteur: MG

Info: 2004

[ homosexualité ] [ jeu de mots ]

 

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désordre

Même les sons incohérents de l’univers représentent des problèmes algébriques, des langages qui supposent l’existence d’une solution, d’une grammaire structurée et d’une syntaxe, si bien que les petits détails du monde peuvent être les miroirs secrets des plus grandes choses.

Auteur: Quincey Thomas de

Info: Autobiographie. Relevé dans : La fiancée prussienne et autres nouvelles de Ûrij Bujda, p.43-44

[ interprétable ] [ priméité ]

 

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sexe

Barry White ! Let the Music Play ! Le turgescent, l'érectile, l'éjaculatoire, l'orgastique quoique si velouté baryton de Barry White, sur fond de piaillis de pétasses surexcitées et un riff de basses saturées d'infrasons qui te titillent le clito si tu es une nana et te font bander dur si tu es un mec, sur un tempo implacable, un synthé à la métronomie prussienne qui te ferait marcher à la mort au pas cadencé s'il le fallait, la grisante voluptueuse vulgarité de Barry White...

Auteur: Léger Jack-Alain

Info: Zanzaro circus : Windows du passé surgies de l'oubli

[ musique ] [ soul ] [ USA ]

 

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états-unis

Le fasciste américain vraiment dangereux... est l'homme qui veut faire aux États-Unis à la manière américaine ce que Hitler a fait en Allemagne à la manière prussienne. Le fasciste américain préfère ne pas utiliser la violence. Sa méthode consiste à empoisonner les canaux d'information publique. Avec un fasciste, le problème n'est jamais de savoir comment présenter au mieux la vérité au public, mais comment utiliser au mieux les informations pour tromper le public et l'amener à donner à lui et à son groupe davantage d'argent ou de pouvoir... Ils prétendent être des super-patriotes, mais ils détruiraient toutes les libertés garanties par la Constitution. Ils réclament la libre entreprise, mais ne sont que les porte-parole du monopole et des intérêts particuliers. Leur objectif final, vers lequel tendent toutes leurs tromperies, est de s'emparer du pouvoir politique afin de pouvoir, en utilisant simultanément le pouvoir de l'État et celui du marché, et maintenir l'homme ordinaire dans une soumission éternelle.

Auteur: Wallace Henry Agard

Info: cité dans le New York Times, 9 avril 1944

[ politique ] [ mainmise médiatique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

commandement

A la journée sanglante de Tornan, l'armée du roi de Prusse Frédéric II battit l'armée autrichienne ; mais la victoire ne s'était déclarée qu'à la fin du jour. La nuit qui suivit la bataille était extrêmement froide : les troupes prussiennes, qui la passèrent sous les armes, avaient allumé un grand nombre de feux. A la pointe du jour, le roi passa de l'aile gauche à l'aile droite. En arrivant auprès de son régiment des gardes à pied, il descendit de cheval, et alla s'asseoir près du feu, entouré de ses braves grenadiers, pour attendre que le jour parût.
Le roi causait familièrement avec les soldats, et faisait l'éloge du régiment, qui avait combattu très vaillamment à cette bataille. Les grenadiers se pressaient autour de lui, et l'un d'eux, nommé Rusbiack, osa lui dire : " Sire, où étiez-vous donc posté pendant le combat? Nous sommes accoutumés à vous voir à notre tête, et à être conduits par vous-même au plus fort de la mêlée; mais, hier, nous ne vous avons pas vu. " Le roi répondit : " J'ai commandé l'aile gauche, et c'est ce qui m'a empêché de rejoindre mon régiment." Pendant cette conversation, le monarque, que la chaleur du feu incommodait, déboutonna son surtout bleu, et les grenadiers remarquèrent, qu'en le déboutonnant, tomba de ses habits une balle de fusil, dont le coup avait effleuré la poitrine et percé l'uniforme avec le surtout. A cette vue, transportés d'enthousiasme, les grenadiers s'écrièrent tous : " Oui, tu es l'ancien Fritz (diminutif allemand du mot Frédéric). Tu aimes à partager tous nos périls ; et nous, nous aimons à mourir pour toi. Vive le roi ! Aux Autrichiens, camarades, aux Autrichiens ! En avant ! marche !" Leurs lignes se formèrent en un instant et les officiers eurent toutes les peines du monde à leur faire comprendre qu'il n'était pas encore temps de retourner à l'ennemi.

Auteur: Internet

Info: in le Dictionnaire encyclopédique d'anecdotes modernes, anciennes, françaises et étrangères d'Edmond Guerard, Journal de Paris, 1786

[ modèle ] [ hasard ] [ étymologie ]

 

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