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femmes-hommes

Quel besoin de se venger d'une femme?
La nature s'en charge, il n'y a qu'à attendre.

Auteur: Scholl Aurélien

Info:

[ femmes-par-hommes ] [ Punie ]

 

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femmes-hommes

Une des plus vraies satisfactions de l'homme, c'est quand la femme qu'il a passionnément désirée et qui s'est refusée opiniâtrement à lui cesse d'être belle.

Auteur: Sainte-Beuve Charles-Augustin

Info:

[ femmes-par-hommes ] [ punie ] [ revanche ]

 

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jeu de mots

<jay> trop forte ma soeur! encore punie!
<Kinou69> qu'est qu'elle a fait, cette fois ?
<jay> mon père lui a demandé de tondre la pelouse.
<jay> elle lui répond: "pourquoi ? Elle a pas couché avec les allemands!

Auteur: Internet

Info:

[ collaboration ] [ dialogue-web ]

 

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dictature

J’ai vite appris à ne pas répéter tout ce que j’entendais. On m’a enseigné à ne jamais exprimer mes opinions, à ne jamais rien remettre en question. J’ai appris à suivre aveuglément ce que le gouvernement me disait de faire, de dire, ou de penser. Je croyais vraiment que notre Cher Dirigeant, Kim Jong-il, pouvait lire dans mes pensées, et que je serais punie si j’en avais de mauvaises. Et si lui ne m’entendait pas, les espions étaient partout, à écouter aux fenêtres et à surveiller la cour d’école.

Auteur: Yeonmi Park

Info: Je voulais juste vivre

[ éducation ] [ oppression ]

 

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consumérisme

Le thème de la révolte est au coeur de nombreux mythes, mais la transgression des règles y est toujours sévèrement punie. Le message est clair: les mythes nous intiment l'ordre de ne jamais chercher à dépasser les limites de notre condition. Les histoires sont là pour nous maintenir dans la peur et la soumission. Les films américains, les informations télévisées, les médias en général ont repris le flambeau des mythes antiques et continuent à nous dire de façon subliminale par l'exposé d'une overdose de catastrophes: ne prenez pas de risques, restez sagement à votre place, car le monde est dangereux et l'homme est faible.
L'heure est venue de ne plus avoir peur.

Auteur: Erre Jean-Marcel

Info: Brisons nos chaînes télévisées ou pas. La fin du monde a du retard

[ oppression ]

 

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cocu

À l’époque médiévale, l’adultère était un délit. Et les femmes étaient punies bien plus sévèrement que les hommes. Jusqu’au XVIe siècle, les femmes adultères étaient tondues et fouettées avant d’être réduites en servitude dans un couvent jusqu’à la fin de leurs jours. Au XIXe et XXe siècles, cette peine fut peu à peu remplacée par l’emprisonnement. Leurs pendants masculins, quant à eux, écopaient d’une simple amende. Les preuves d’adultère étaient définies de façon floue. "Deux êtres, de sexe différent, enfermés dans une chambre à un seul lit suffit pour constituer le délit d’adultère." La dépénalisation de l’adultère est récente, même dans le monde occidental. En France, l’adultère n’est plus un délit depuis 1975.

Auteur: Markogiannakis Christos

Info: Scènes de crime à Orsay

[ historique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

menaces

Durant mes années de service à la cour, je n'ai jamais quitté une seule fois le palais sans être accompagnée. Dès les premiers jours, les tantes nous annonçaient qu'en le quittant toute seule, nous risquions de subir la plus grande des punitions. "Franchir seule la porte du palais? Même la peine de mort n'est pas trop sévère pour punir cette infraction", répétaient-elles souvent. Pour celle qui osait marcher comme bon lui semblait dans la cour, la règle ordonnait "de mutiler la jambe gauche et de casser la jambe droite". Quant à celle qui pénétrait dans les autres palais sans permission, "elle serait au moins expulsée du palais si on ne lui coupait pas la tête".

Auteur: He Rong Er

Info: Mémoires d'une dame de cour dans la Cité Interdite

[ femmes ] [ punies ] [ esclaves ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

déguster

Carpe diem (Cueille le jour) : Litt. Ces deux mots sont tirés d'un court poème d'Horace (Odes I, XI, 8) et sont une invitation à profiter de chaque instant de la vie. Le poème, teinté de mélancolie, est consacré au temps qui fuit et à la mort qui approche. Il s'adresse à Leuconoé, dont le nom est celui d'une fille de Minyas qui, ayant préféré resté chez elle à filer la laine au lieu de participer aux fêtes du culte de Dionysos, le dieu du vin, en fut punie par ce dernier : elle et ses soeurs furent transformées en chauves-souris. Le poème s'achève par : "Pendant que nous parlons, le temps envieux s'enfuit. Cueille le jour, et crois le moins possible au lendemain". (Dum loquimur, fugerit inuida aetas : carpe diem, quam minimum credaul postero).

Auteur: Klein Bernard

Info: La cuisse de Jupiter, 300 proverbes et expressions hérités du latin et du grec

[ jouir ] [ profite de la vie ] [ instant présent ]

 

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dictature

Le trait dominant chez les chefs, autant que j'ai pu voir, c'est la paresse, fruit du pouvoir absolu. Faire travailler les autres, faire surveiller le travail, faire juger les surveillants et même le travail fait, tel est le métier de chef. Par exemple celui qui ordonne de creuser un abri, en tel lieu, ne saura jamais qu'on a rencontré du roc et usé des pioches ; il n'y pense même point. Et cette méthode qui rend ingénieux, patient et obstiné celui qui exécute, produit les effets contraires en celui qui ordonne car il ne s'exerce jamais contre le roc, ni contre l'eau ; il s'exerce seulement contre l'homme ; mais, par l'institution militaire, la discussion n'étant pas permise, et la révolte étant punie de mort, il n'y a point de vraie résistance ; le moyen est simple et toujours le même ; aussi fait-il des esprits enfants. Ainsi la volonté, l'esprit d'observation et de vigilance, le jugement enfin se retirent de ceux qui ordonnent. De là des erreurs incroyables, et qui même accablent l'esprit, tant qu'on ne remonte pas aux causes.

Auteur: Alain

Info: Marche ou la guerre jugée

 

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psycho-sociologie

Par l’intermédiaire de la lutte contre le père et la mère, en tant que cibles personnelles d’amour et d’agression, la jeune génération entrait dans la vie sociale avec des impulsions, des idées, des besoins qui, dans une large mesure, lui appartenaient en propre. Par conséquent, la formation du surmoi, la modification répressive des instincts, la renonciation et la sublimation étaient des expériences très personnelles. Justement à cause de ça, leur adaptation laissait des cicatrices douloureuses, et la vie sous le principe de rendement conservait encore une sphère de non-conformisme privé.



Maintenant, sous le règne des monopoles culturels, économiques et politiques, la formation du surmoi adulte semble sauter l’étape de l’individualisation : l’unité génétique devient directement une unité sociale. L’organisation répressive des instincts semble être collective et le moi semble être prématurément socialisé par tout un système d’agents et d’agences extra-familiaux. Dès le niveau pré-scolaire, les "bandes", la radio et la télévision fixent le modèle du conformisme et de la rébellion ; les incartades commises par rapport à ce modèle sont punies non pas tant à l’intérieur de la famille qu’à l’extérieur et contre elle. Les experts des mass-media transmettent les valeurs exigées : ils offrent une parfaite éducation de l’efficacité, de la ténacité, de la personnalité, de la rêverie et du sentimentalisme. Contre une telle éducation, la famille n’est plus capable de lutter. Dans la lutte entre les générations, les rôles semblent être inversés : le fils a une connaissance meilleure ; il représente le principe de réalité la plus moderne, contre les formes paternelles désuètes. Le père, premier objet d’agression dans la situation œdipienne, apparaît maintenant comme un but d’agression plutôt inadéquat. Son autorité comme dispensateur de la richesse, de l’habileté et de l’expérience se trouve considérablement réduite. 

Auteur: Marcuse Herbert

Info: Dans "Eros et civilisation", trad. de l'anglais par Jean-Guy Nény et Boris Fraenkel, éditions de Minuit, Paris, 1963, pages 91-92

[ évolution ] [ économie psychologique ] [ identifications ]

 

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Ajouté à la BD par miguel