Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 14
Temps de recherche: 0.0375s

femmes-hommes

Je dormais en le tenant bien fort dans ma main et cela réduisait mon homme à son pénis, moins dangereux et tellement plus doux...

Auteur: Gersant Michèle

Info:

[ pensée-de-femme ] [ sexe ] [ verge ]

 

Commentaires: 0

volupté

Si l’orgasme se réduisait au corps nous nous réduirions à des consommateurs, semblables à des bœufs, heureux simplement dès qu’ils trouvent du fourrage à manger. 

Auteur: Massat Guy

Info: Les fragments d'Héraclite

[ chair-esprit ] [ unification ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

adultère

Découvrir une liaison ne se réduisait pas à tomber sur un unique gros titre. Cela ressemblait plutôt à ouvrir des matriochkas : des mensonges à l'intérieur de mensonges, à l'intérieur de mensonges...

Auteur: McFarlane Mhairi

Info: C'est pas moi, c'est toi

[ gamberge ] [ parano ] [ gigogne ]

 

Commentaires: 0

personnage

Le colonel Arrex en imposait tant qu'il ne parlait pas. Car dès qu'il ouvrait le bec, un léger zozotement réduisait à néant l'aura d'autorité naturelle qui, jusque-là, avait émané de toute sa personne.

Auteur: Stolze Pierre

Info: Teophano 960

[ défaut ]

 

Commentaires: 0

introspection

Tout son enseignement (ndr : de Maharshi) se réduisait pourtant à une seule, unique et simple directive : "demandez-vous sans cesse : qui suis-je ?, disait-il, et ainsi, peu à peu, vous finirez par connaître votre Maître intérieur qui est votre Moi véritable, alors qu'actuellement vous vous prenez pour le corps et pour le mental..."

Auteur: Blanquart Henri

Info: La Spiritualité fondamentale dans les dialogues avec l'ange

[ moi ] [ corps causal ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

famine

La disette était si grande en 1795 que le peuple de Paris n'avait qu'une très petite portion de pain chaque jour, ce qui fit dire que tout ce que la Convention avait fait, réduisait les Français à l'admiration (la demi ration). On chantait alors dans tous les spectacles le Réveil du peuple. Un jour qu'on le criait à l'Opéra plus haut encore qu'à l'ordinaire, un plaisant se lève et dit: " Ne l'éveillez pas ; qui dort dîne !

Auteur: Internet

Info: in le Dictionnaire encyclopédique d'anecdotes modernes, anciennes, françaises et étrangères d'Edmond Guerard, Revolutioniana

[ jeu de mots ]

 

Commentaires: 0

simplicité

Peut-être la loi de la jungle, en dépit de ce qu'elle avait d'impitoyable sur le plan physique, était-elle reposante. Elle libérait des petites tracasseries de la vie quotidienne, des inégalités sociales. Imposait une vie simple, sans artifices ni contraintes ulcérantes. Dans l'univers de la jungle, la responsabilité se réduisait à l'os de la survie. Les compromis n'y avaient pas droit de cité, on ne s'y battait pas pour de l'argent, on ne s'y usait pas les nerfs à gravir les barreaux de l'échelle sociale. On n'y connaissait qu'une question : être ou ne pas être.

Auteur: Matheson Richard

Info: L'homme qui rétrécit

[ instant présent ]

 

Commentaires: 0

censure

Ce grand feu rassemblait, grondait et hypnotisait, poursuivait Livio, le feu gagnait, cette fois sans pitié, réduisait toutes les pages, mangeait tous les mots, le feu avalait la pensée, exactement comme l'avaient espéré les nazis, le feu dévorait la science, la connaissance, la littérature, le théâtre, l'idée même de la vie et de sa complexité, et en premières lignes, les œuvres de Freud, de Marx, d'Einstein, de Heine, de Remarque, de Brecht, de Döblin, de Zweig, de Tucholsky, balancées dans les flammes, parce que jugées trop juives, trop communistes, trop pacifistes, trop libérales, trop pulsionnelles, trop décadentes, trop traîtres, trop libres, trop vraies, trop affectées.

Auteur: Giraud Brigitte

Info: Jour de courage

[ autodafé ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

périple

Deux ou trois jours avant mon départ pour le Labrador, j'avais accueilli l'écrivain voyageur italien Paolo Rumiz.
(...) il me dit qu'il n'emportait plus aucun livre depuis des années, car un livre, c'était comme un père, il te prenait par la main pour te guider, or en route il préférait lire les paysages et les visages.
(...) à chaque nouveau voyage, il réduisait ses bagages et se préparait ainsi à son ultime expédition. En partant, Paolo me fit cadeau d'un carnet avec un magnifique poème en exergue :
"Voyager, c'est construire des ponts et en même temps les détruire derrière soi
Ce n'est pas chercher la certitude mais renoncer à la trouver
C'est tout miser sur une carte, c'est comme une renaissance
Voyager, c'est marcher et donc c'est une histoire, notre unique compagne."

Auteur: Wilk Mariusz

Info: Dans le sillage des oies sauvages, p 134

[ poésie ]

 

Commentaires: 0

dialogue

"Pasternak disait que c’était comme une marque sur du linge."
- Qui ça ?
- Pasternak.
- Pasternak disait que quoi était comme une marque sur du linge ? Il fit un geste, seulement de l’épaule, pour désigner le ciel assombri. "L’avion."
Ce qui me força à lever les yeux vers le ciel, par-delà l’étendue du parc, en direction de l’avion. La distance donnait l’impression qu’il était planté, immobile, dans le banc de nuages. Il ressemblait effectivement à un genre de monogramme. Une inscription apposée sur le bas d’une vaste chemise de ciel comme en laissent les employés du nettoyage à sec.
Cela ne m’aurait pas agacé outre mesure, si je n’avais pas ajouté bêtement : "C’est dans Jivago ? - Non. Dans un poème." Le ton impliquait, bien sûr, que tout ce que je connaissais de Pasternak se réduisait à Docteur Jivago et que je ne le connaissais que parce qu’on en avait tiré un film. Le fait que le garçon eût raison – je n’avais pas lu Docteur Jivago et j’avais vu le film – n’aidait pas.

Auteur: Hayes Alfred

Info: C'en est fini de moi

[ littérature ] [ cinéma ]

 

Commentaires: 0