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tombée du jour

Les montagnes baignaient dans la brume dont les mouvements, la variation de la densité agissaient sur son âme, la coloraient. En ce jour gris, elle était diffuse et homogène, elle sculptait les cimes, faisant douter de la réalité même des reliefs, qu'elle avalait, puis recrachait, passant et repassant dans le champ de vision que ménageait la fenêtre de la cabane. Et c'était chaque fois un nouveau tableau qui s'offrait, d'une minute à l'autre. Au creux d'une vague de brume, il crut distinguer le vol du percnoptère. Un retardataire ? Ils étaient déjà partis vers l'Afrique à cette époque de l'année. Un vieux vautour qui n'avait plus la force du grand voyage ? Son intuition du début de saison avait été juste, cette montagne était un tombeau, un tombeau superbe pour les esprits d'altitude, mais aussi une matrice qui engendrait la vie. La nuit ne tarderait pas à tomber, les jours raccourciraient. Il s'apprêta à sortir voir les bêtes rassemblées dans le parc. Les derniers jours, il les y contraignait la nuit, afin d'éviter d'avoir à courir la montagne en long et en travers. Le soleil déclinait derrière l'opacité nuageuse, tout était brun alentour. L'automne avait commencé à déshabiller les arbres, annonçant la fin du temps de l'estive.

Auteur: Arnaud Clara

Info: Et vous passerez comme des vents fous

[ crépuscule ] [ nature ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

contemplation

Les montagnes baignaient dans la brume dont les mouvements, la variation de la densité agissaient sur son âme, la coloraient. En ce jour gris, elle était diffuse et homogène, elle sculptait les cimes, faisant douter de la réalité même des reliefs, qu'elle avalait, puis recrachait, passant et repassant dans le champ de vision que ménageait la fenêtre de la cabane. Et c'était chaque fois un nouveau tableau qui s'offrait, d'une minute à l'autre. Au creux d'une vague de brume, il crut distinguer le vol du percnoptère. Un retardataire ? Ils étaient déjà partis vers l'Afrique à cette époque de l'année. Un vieux vautour qui n'avait plus la force du grand voyage ? Son intuition du début de saison avait été juste, cette montagne était un tombeau, un tombeau superbe pour les esprits d'altitude, mais aussi une matrice qui engendrait la vie. La nuit ne tarderait pas à tomber, les jours raccourciraient. Il s'apprêta à sortir voir les bêtes rassemblées dans le parc. Les derniers jours, il les y contraignait la nuit, afin d'éviter d'avoir à courir la montagne en long et en travers. Le soleil déclinait derrière l'opacité nuageuse, tout était brun alentour. L'automne avait commencé à déshabiller les arbres, annonçant la fin du temps de l'estive.

Auteur: Arnaud Clara

Info: Et vous passerez comme des vents fous

[ perception visuelle ] [ effet troxler ] [ imagination ] [ onirisme ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

rejetés

Rassemblez-vous des enfants dans un collège ? Cette image en raccourci de la société, mais image d’autant plus vraie qu’elle est plus naïve et plus franche, vous offre toujours de pauvres ilotes, créatures de souffrance et de douleur, incessamment placées entre le mépris et la pitié : l’Évangile leur promet le ciel.

Descendez-vous plus bas sur l’échelle des êtres organisés ? Si quelque volatile est endolori parmi ceux d’une basse-cour, les autres le poursuivent à coups de bec, le plument et l’assassinent.

Fidèle à cette charte de l’égoïsme, le monde prodigue ses rigueurs aux misères assez hardies pour venir affronter ses fêtes, pour chagriner ses plaisirs. Quiconque souffre de corps ou d’âme, manque d’argent ou de pouvoir, est un Paria. Qu’il reste dans son désert ; s’il en franchit les limites, il trouve partout l’hiver : froideur de regards, froideur de manières, de paroles, de cœur ; heureux, s’il ne récolte pas l’insulte là où pour lui devait éclore une consolation. Mourants, restez sur vos lits désertés. Vieillards, soyez seuls à vos froids foyers. Pauvres filles sans dot, gelez et brûlez dans vos greniers solitaires.

Si le monde tolère un malheur, n’est-ce pas pour le façonner à son usage, en tirer profit, le bâter, lui mettre un mors, une housse, le monter, en faire une joie ?

Auteur: Balzac Honoré de

Info: Dans "La peau de chagrin", Librairie générale française, 1984, page 324

[ laissés-pour-compte ] [ forts-faibles ] [ acharnement ] [ endurance ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

Gaule

... Le Conseil de Paris a repoussé la proposition faite par des élus de gauche de la capitale de donner le nom d'une rue à Robespierre. Pour une fois, des élus socialistes, dont M. Delanoë, et des élus UMP ont trouvé l'énergie et le courage de se réconcilier dans ce grand dessein consistant à couper le kiki une seconde fois à l'un des plus grands acteurs de la Révolution française, lequel avait, il est vrai, la guillotine un peu facile pour les contre-révolutionnaires plus ou moins avérés, mais qui ne s'est pas fait prier quand il s'est agi de se faire raccourcir à son tour. Mon cher Stéphane, ayez l'amabilité de rappeler de ma part à votre ami Bertrand qu'un certain Jean Jaurès a existé, il y a longtemps, et qu'il écrivit ceci dans son histoire socialiste : "Devant le tribunal de l'histoire, je suis avec Robespierre et je vais m'assoir avec les jacobins !" Faites-lui savoir, dans la foulée qu'un grand historien du nom de Jules Michelet a également existé et que lui estimait que la Révolution française était un bloc. Bref, Paris n'aura toujours pas de rue Robespierre, alors que le massacreur des communards, Adolphe Thiers, dispose de la sienne dans le 16è arrondissement, comme il se doit. De toute façon, on s'en fout : l'essentiel, c'est que Dalida ait sa statue !

Auteur: Porte Didier

Info: Incorrigible

[ rue ] [ postérité ] [ ironie ]

 

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femme-par-homme

Nana ne bougea plus. Un bras derrière la nuque, une main prise dans l’autre, elle renversait la tête, les coudes écartés. Il voyait en raccourci ses yeux demi-clos, sa bouche entr’ouverte, son visage noyé d’un rire amoureux ; et, par derrière, son chignon de cheveux jaunes dénoué lui couvrait le dos d’un poil de lionne. Ployée et le flanc tendu, elle montrait les reins solides, la gorge dure d’une guerrière, aux muscles forts sous le grain satiné de la peau. Une ligne fine, à peine ondée par l’épaule et la hanche, filait d’un de ses coudes à son pied. Muffat suivait ce profil si tendre, ces fuites de chair blonde se noyant dans des lueurs dorées, ces rondeurs où la flamme des bougies mettait des reflets de soie. Il songeait à son ancienne horreur de la femme, au monstre de l’Écriture, lubrique, sentant le fauve. Nana était toute velue, un duvet de rousse faisait de son corps un velours ; tandis que, dans sa croupe et ses cuisses de cavale, dans les renflements charnus creusés de plis profonds, qui donnaient au sexe le voile troublant de leur ombre, il y avait de la bête. C’était la bête d’or, inconsciente comme une force, et dont l’odeur seule gâtait le monde. Muffat regardait toujours, obsédé, possédé, au point qu’ayant fermé les paupières, pour ne plus voir, l’animal reparut au fond des ténèbres, grandi, terrible, exagérant sa posture. Maintenant, il serait là, devant ses yeux, dans sa chair, à jamais.

Auteur: Zola Emile

Info: Les Rougon-Macquart, tome 9 : Nana

[ personnage ] [ fascinante ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

littérature

L'homme qui ressemblait à Korczak, Maximilien Kolbe et Gandhi et portait des lunettes susceptibles, par beau temps, de mettre le feu à un champ de blé ou à une grange s'est présenté. Je suis Szymon Kuran. Enchanté, ai-je répondu. Non, c'est moi qui suis enchanté, a-t-il rétorqué, toi, tu as seulement l'impression de l'être. Il devait avoir raison, il était sans doute enchanté, alors que moi je ne faisais qu'exprimer une impression par une formule toute faite. C'est ce qu'on appelle la bonne éducation. Un mélange d'interdits et d'accommodements climatiques. Szymon mangeait son hot-dog, j'ai voulu lui poser une question, mais Boro s'est interposé. Alors, cette histoire de graviers, a-t-il zézayé. Ce n'est pas bien compliqué, ai-je répondu. Il faut que tu fasses comme les poules ou les autruches, elles n'ont pas de dents non plus, et pour bien digérer elles avalent de tous petits cailloux qui broient les aliments à la place des dents. Abasourdi par le raccourci intellectuel et cette histoire sans queue ni tête, Szymon a écouté mon bref exposé gastrologique, a posé l'emballage de son hot-dog sur la table et s'est mis à rire doucement. Boro et moi poursuivions une conversation entamée le mois précédent à propos de l'achat d'un dentier ou d'un petit sac de graviers. Voyant la réaction de Szymon, Boro a conclu sa phrase comme de coutume. À l'anglaise et laconiquement."Fuck you", a-t-il dit, puis il a enfourné le reste de son hot-dog en fanfaronnant. Comme il avait du mal à avaler l'énorme bouchée, il a bu quelques gorgées de flotte rapportée des toilettes dans un gobelet en carton et a répété : "Fuck you".

Auteur: Klimko-Dobrzaniecki Hubert

Info: Berceuse pour un pendu

[ hypocrisie ]

 

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catalogage

De nombreuses études cherchent à définir le profil des gens. A l'aide de QCM (questionnaires à choix médiocres), des experts nous "qualifient" et se permettent de nous ranger dans des cases, par groupes de caractères, de couleurs ou d'animaux totems. Nos faits et gestes sont expliqués par des majorités de carrés ou de triangles ou par des préférences de mots. Beaucoup de gens, à qui ont fait croire à ces "sciences humaines", agissent d'après la définition qu'on leur a donnée d'eux-mêmes. "Je suis un bleu à tendance rouge au niveau professionnel, ça explique que je sois ambitieux." J'ai envie de leur demander quelle est la couleur de la bêtise.

Grâce à des bilans de compétences fumeux, des employés lâchement licenciés pensent découvrir leur nouvelles aspirations. Il se voient tous "consultants en communication" puisque le test confirme qu'ils aiment le contact humain.

Ces études, de la plus archaïque à la plus sophistiquée, n'ont pour moi qu'un seul but : raccourcir l'humain comme on taille un buisson.

C'est le rêve caché du marketing qui veut parfaitement connaître nos comportements d'achats. Raccourcir l'humain, c'est ce qui est pratiqué lorsqu'on considère que tel ou tel programme de télévision s'adresse à la ménagère de plus de cinquante ans ou aux ados de 12 de QI. Raccourcir l'humain, c'est ce que les personnalités politiques désirent le plus au monde. Pour se faire élire en racontant ce que la "cible" veut entendre, mais aussi pour gouverner, car il est beaucoup plus simple de cocher des cases dans lesquelles on enferme des sujets plutôt que de s'adapter à une société complexe et plurielle.

L'humanité est trop élaborée pour beaucoup de décideurs. Ils tentent désespérément de la ramener à la portée de leur piètre intelligence.

Auteur: Haroun

Info: "Les pensées d'Héractète"

[ développement personnel ] [ réductif ] [ critique ] [ ressources humaines ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

mécanisation

Sous une forme ou une autre, les mesures de distanciation sociale et physique risquent de persister après la fin de la pandémie elle-même, ce qui justifie la décision de nombreuses entreprises issues de différentes industries d'accélérer l'automatisation. Au bout d'un certain temps, les préoccupations persistantes au sujet du chômage technologique s'estomperont à mesure que les sociétés mettront l'accent sur la nécessité de restructurer le lieu de travail de manière à réduire au minimum les contacts humains rapprochés. En effet, les technologies d'automatisation sont particulièrement bien adaptées à un monde dans lequel les êtres humains ne peuvent pas être trop près les uns des autres ou sont prêts à réduire leurs interactions. Notre crainte persistante et peut-être durable d'être infecté par un virus (celui de la COVID-19 ou autre) va donc accélérer la marche implacable de l'automatisation, en particulier dans les domaines les plus sensibles à celle-ci. En 2016, deux universitaires de l'université d'Oxford sont arrivés à la conclusion que jusqu'à 86 % des emplois dans les restaurants, 75 % des emplois dans le commerce de détail et 59 % des emplois dans le secteur du divertissement pourraient être automatisés d'ici 2035. Ces trois industries sont parmi les plus durement touchées par la pandémie et c’est dans celles-ci que l'automatisation, pour des raisons d'hygiène et de propreté, sera une nécessité qui, à son tour, accélérera encore la transition vers plus de technologie et plus de numérique. Un autre phénomène est appelé à soutenir l'expansion de l'automatisation : celui où la "distanciation économique" pourrait suivre la distanciation sociale. À mesure que les pays se tournent vers l'intérieur et que les entreprises mondiales raccourcissent leurs chaînes d'approvisionnement super-efficaces mais très fragiles, l'automatisation et les robots qui permettent une production plus locale, tout en maintenant les coûts à un faible niveau, seront très demandés.

Auteur: Schwab Klaus

Info: Covid-19 la grande réinitialisation

[ crise sanitaire prétexte ] [ homme-machine ]

 
Mis dans la chaine
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Ajouté à la BD par Coli Masson

écrivain-sur-écrivain

M. Émile Zola croit qu'on peut être un grand artiste en fange comme on est un grand artiste en marbre. Sa spécialité, à lui, c'est la fange. Il croit qu'il peut y avoir très bien un Michel-Ange de la crotte…

Certes, je ne suis pas assez bête pour parler morale à M. Zola, dans les livres de qui la morale est muette et n'a jamais dit un mot ni poussé un cri, parmi les horreurs qu'il se délecte à y retracer… Je ne veux lui objecter que de la littérature, quoiqu'il semble, dans son Assommoir, sorti autant de la littérature que de la morale…

C'est un homme d'art et d'étude, dit-il en parlant de lui-même. D'étude, et d'étude acharnée, je le crois, mais d'art ?… Son art est faux et singulièrement raccourci. Tout est en volonté chez lui, et il n'y a que l'inspiration qui fasse de l'art vrai et profond. La volonté, la réflexion, l'effort, font de l'art tourmenté, rien de plus. Le sculpteur Préault disait un mot charmant : “La réflexion, c'est une bibliothèque…” Je ne crois qu'aux favoris de Dieu.

[…] L'homme de L'Assommoir est le dernier mot du réalisme, mais ce dernier mot ne se répéterait pas… Quand on a épuisé la poétique du Laid de Hugo et la poétique du Dégoûtant de M. Zola ; quand on s'est encanaillé, soi et son talent, avec cette furie; quand on a trifouillé à ce point les quinzièmes dessous de la crapule humaine et qu'on est entré dans les égouts sociaux sans bottes de vidangeur – car M. Zola ne vidange pas : il assainirait ! et il n'assainit pas : il se contente d'empester – où pourrait-on bien aller encore, et quelle marche d'infamie et de saletés resterait à descendre ? … La boue, ce n'est pas infini !

Auteur: Barbey d'Aurevilly Jules

Info: Les Œuvres et les Hommes (3e série) – XVIII. Le roman contemporain, Paris, Lemerre, 1902, p. 231, 238 et 239

[ vacheries ] [ réquisitoire ]

 

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trouble psychologique

A quoi bon se réveiller si personne ne vous attend ? Est-il besoin de donner davantage de commentaires? Notre occident vidé de ses croyances, entouré de ses charniers et des cendres de son passé, essaye d’occulter son désastre en plongeant tête baissée vers le vide et l’oubli. Ecrans, consommation, vide et médiocrité intellectuelle, spirituelle et morale : je m’arrête dans cette grise litanie. Paraphrasant Philippe Muray, je dirais qu’il suffit de mettre le monde entre guillemets pour qu’il nous apparaisse tel qu’en lui-même : porteur de bien peu de promesses et d’attente. L’autisme occidental est ainsi le signe d’une profonde déception ontologique doublée d’un brouillage symbolique dû à la perversion de marqueurs symboliques vitaux devenus illisibles notamment après leurs détournement par les régimes autocratiques et dictatoriaux responsables de meurtres de masse qui ont émaillé l’histoire du XXème siècle, toujours associés à un culte de la personnalité de figures paternelles dévoyées. Il en va de même de pays ayant dû faire face à des situations de guerre et de massacres prolongées, comme par exemple le Liban : je suis ainsi prêt à faire le postulat d’une corrélation entre le taux d’autisme relevé dans un pays et son histoire géopolitique et stratégique plus ou moins récente. On m’objectera que l’humanité est en guerre depuis les tout premiers moments de son émergence, sans que cela se soit jamais traduit par une explosion du taux de prévalence de l’autisme comparable à celle que nous observons actuellement. Certes, mais la grande nouveauté consiste présentement dans l’affaiblissement voire l’absence radicale au sein des sociétés contemporaines des marqueurs symboliques fondamentaux qui autrefois constituaient l’horizon structurant de toute société humaine, et qui offraient un cadre signifiant protecteur. En un raccourci efficace et frappant, on pourrait dégager un lien dynamique entre l’affirmation nietzschéenne "Gott ist tod", ou plus exactement le contexte sociétal et civilisationnel qui a rendu possible sa formulation, et de nombreux désordres symboliques contemporains observés, parmi lesquels l’autisme prend sa place.

Tout ceci n’est cependant dû qu’à une grave erreur de perspective, que les autistes précisément viennent nous forcer à reconsidérer, en nous invitant à tourner la page de l’efficacité destructive et binaire portée par la modernité depuis trois cent quatre-vingts ans exactement - soit depuis la publication du Discours de la Méthode - et les diverses monstruosités qu’elle a fini par engendrer, pour recentrer notre humanité dans ce qui la fonde substantiellement : une intersubjectivité refondée.

Auteur: Farago Pierre

Info: Une proposition pour l'autisme, page 44

[ signifiant maître dénié ] [ perversion ] [ sécularisation ] [ conséquences néfastes ]

 

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