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dernières paroles

Oui.

Auteur: Ravel Maurice

Info:

[ . ]

 

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coutume

La tradition c'est la personnalité des imbéciles.

Auteur: Ravel Maurice

Info:

[ conservatisme ]

 

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transposition

J'ai écrit le Boléro de Ravel en images maman pour que les sourds puissent l'entendre.

Auteur: Delacourt Grégoire

Info: La liste de mes envies, p.25

[ musique ] [ peinture ]

 

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musique

Rien ne ressemble plus à du Mozart que du Ravel quand on n'y connaît rien.

Auteur: Internet

Info:

[ ignare ] [ humour ]

 

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vacherie

S'il avait fait des casiers à huîtres pendant la guerre c'eut probablement eu été mieux pour la musique.

Auteur: Saint-Saëns Camille

Info: à propos de Maurice Ravel

 

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immigration

Les croyants musulmans savent très bien que leur fertilité est telle aujourd'hui, qu'ils l'appellent... le grand remplacement. Ils vous disent d'une manière très calme et très
positive: "un jour, tout cela sera à nous... "

Auteur: Ravel Luc

Info:

[ colonialisme ] [ natalité ] [ islam ] [ envahisseurs ]

 

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éloge

Mozart et Ravel sont les anges de la musique. Si Mozart est déjà loin de nous et qu'il faille le lire dans le texte, comme on lit Virgile et Racine, Ravel, lui, est la lampe douce qui luit sur la médiocrité contemporaine. Son verbe gracieux est notre verbe. Qu'on le veuille ou non, depuis 1937, on attend toujours l'AUTRE, celui qui sera aussi grand que lui.

Auteur: Ferré Léo

Info:

[ classique ]

 

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romantisme

J'avais toujours pensé que la différence entre Chopin et les autres compositeurs était qu'il écrivait à la première personne, et non à la troisième. Beethoven, Mozart, Liszt, Ravel, Schumann, Debussy : tous, ils racontaient ce qui arrivait à d'autres gens, d'autres pays, d'autres sociétés. Seul Chopin parlait de lui. C'était l'honnêteté nue et brûlante de ses phrases musicales qui le distinguait de ses pairs. Mais Dieu qu'il était difficile d'être honnête en musique !

Auteur: Grozni Nikolai

Info: Wunderkind

[ classique ]

 

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musique

Ravel s'est employé à calquer sa ligne mélodique sur celle de la phrase parlée, s'inspirant des faibles accentuations toniques de la langue française au point de subordonner l'ampleur de la ligne mélodique à cet impératif du texte. Là peut-être pourrait-on voir une limite trop définie au génie mélodique ravélien, car cette faiblesse de l'accent tonique qui caractérise la français bride toujours quelque peu une ligne vocale qui s'en inspirerait, en même temps qu'elle défie par là une véritable transposition musicale.

Auteur: Stricker R.

Info:

[ technique ] [ analysée ] [ classique ] [ langage ]

 

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concision

La conclusion du premier mouvement d’une symphonie de Dvorak (symphonie en fa majeur, assez rarement jouée) illustre bien cette sorte de mutisme, de "silence musical" ou de "musique qui se tait" comme dirait Federico Mompou (Musica callada). Dvorak a développé cet allegro initial autour d’un thème simplissime qui apparaît dès la première mesure de l’œuvre et consiste en une broderie en arpège du deuxième renversement de l’accord parfait de fa majeur : do fa ; do la do fa la fa. Il conclut son premier mouvement par ce même thème énoncé paisiblement en solo, sans le moindre soutien harmonique hormis la tenue de l’accord de fa majeur, aussitôt suivi d’un point final (c’est-à-dire sans la succession d’accords qui annoncent généralement, dans la symphonie romantique, la fin du morceau par une péroraison académique, parfois interminable et pompière). Cette fin peut prendre l’auditeur de court, comme surprirent en leur temps les fins abruptes de Ravel, bientôt suivi par les compositeurs qui héritèrent de lui l’art de savoir interrompre. – Quoi, c’est déjà fini ? – Oui, c’est fini, j’ai dit tout ce que je voulais dire. – Mais que vouliez-vous dire au juste ? – Eh bien, précisément cela : do fa ; do la do fa la fa. Le poumon, vous dis-je.

Auteur: Rosset Clément

Info: Dans "L'invisible" pages 23-24

[ interprétation ]

 
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