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classiques et poncifs

Familles! Je vous hais! Foyers clos; portes refermées; possessions jalouses du bonheur.

Auteur: Gide André

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justification simple pour retard au travail

J'ai repeint ma porte et l'ai malencontreusement refermée, ça a séché... impossible de l'ouvrir. Finalement j'ai dû sortir par la fenêtre.

Auteur: Internet

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sénéscence

C'est peut-être cela, vieillir. Commencer à voir les portes se fermer l'une après l'autre. Un beau matin, nous nous levons et nous nous apercevons qu'une porte que nous avions laissée ouverte en nous couchant s'est refermée durant la nuit. Pour la rouvrir, macache ! Elle est verrouillée de l'intérieur, la clef dans la serrure, avec le bruit des pas qui s'éloignent de l'autre côté, les souvenirs.

Auteur: Maréchal Fabien

Info: Nouvelles à ne pas y croire

[ déclin ] [ vieillesse ] [ littérature ]

 

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femmes-par-homme

Évidemment, il y a parmi nous celles qui donnent enfin une vraie grandeur à leur choix : le plaisir et rien que le plaisir, derrière une porte refermée... Celles-là montent à l'assaut et ne cachent pas leur ardeur. Elles se laissent caresser et dévoilent toute leur féminité. Celles-là ont souvent le visage qui ruisselle de beauté. Enfin, il y a celles à qui on reproche un vocabulaire et une démarche sans équivoque.

Auteur: Mansour Ali

Info: Le porte-monnaie

[ sexe ] [ vulgarité ]

 

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ténèbres

Je m’avançai hors du cercle de lumière, dans l’obscurité qui se dressait devant moi comme un mur. En un pas, j’y pénétrai. Telle devait être l’obscurité d’avant la création. Elle s’était refermée derrière moi. Je savais que j’étais invisible pour l’homme de barre. Je ne pouvais rien voir non plus. Il était seul, j’étais seul, chacun des hommes était seul où il se tenait. Et toute forme avait disparu aussi, espars, voiles, ferrures, lisses ; tout était effacé dans la terrible uniformité de cette nuit absolue. 

Auteur: Conrad Joseph Teodor Korzeniowski

Info: La Ligne d'ombre, The Shadow-Line. 1929. Trad F. Herbulot. Folio 5046

[ maritimes ] [ clair-obscur ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

friandise

Il s'était laissé avoir. Elle lui avait filé un de ces bonbons pièges, ceux qu'il faut sucer et ne jamais mâcher, parce qu'en ce cas, une fois votre machoire refermée, aucune garantie de pouvoir la rouvrir, à moins d'y laisser une molaire, ou, moindre mal, tout ou partie d'un plombage. Solution : garder les dents serrées et espérer que la salive et les caresses latérale de votre langue viendraient, avec le temps, à bout de cette colle forte à prise rapide qui vous avait piégé. Le fameux bonbon maudit.

Auteur: Mg

Info:

[ humour ] [ manger ]

 

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anthropomorphisme

Ainsi, en effet, se trouva rompu un équilibre vital, fondé sur la communion de tous les êtres vivants, de cette rupture, nous subissons aujourd'hui les ultimes conséquences. D'ouverte qu'elle était jadis, l'humanité s'est de plus en plus refermée sur elle même. Cet anthropocentrisme absolu ne peut plus voir, hors de l'homme, que des objets. La nature tout entière s'en trouve dévaluée. Autrefois, en elle tout était signe, elle-même avait une signification que chacun, en son for intérieur, ressentait. Parce qu'il l'a perdue, l'homme aujourd'hui la détruit et par là se condamne."

Auteur: Brosse Jacques

Info: Mythologie des arbres. Dans la conclusion, accusant le monothéisme "dogmatique, intolérant et manichéen" d'avoir étouffé un langage symbolique ouvert à la diversité et à la complémentarité.

[ aveuglement ]

 

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post néolibéralisme

Quel futur imaginez-vous une fois refermée l'ère du néolibéralisme ?

- C’est délicat de se prononcer car de nombreux scénarii sont possibles, et cela sur du long terme. Après avoir encaissé l’échec du marxisme, il nous faut désormais digérer celui de la "révolution" néolibérale. Ce double dépassement doit définitivement nous enseigner qu’il n’y a pas de sens pré-écrit à l’histoire. À l’avenir, nous devrons donc refuser l’injonction à l’adaptation permanente sans pour autant céder au ressentiment, et c’est une tâche difficile. Cela devrait probablement passer par un réenracinement des questions écologiques et sociales dans les environnements locaux des organismes individuels et collectifs.

Auteur: Stiegler Barbara

Info: Usbek & Rica 26/02/2019

[ adaptation ] [ discernement ] [ avenir ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

dernières paroles

- Relu (frère de Cioran) est resté jusqu'à la fin ?
- Non. Je me souviens encore de la dernière fois où il est venu à l'hôpital. Je suis allé l'accompagner sur le palier pour qu'il prenne l'ascenseur, et on s'est dit au revoir. Je pensais qu'on ne se reverrait plus, on est trop vieux l'un et l'autre, et ça m'a fait un certain effet de le voir partir, je me disais : c'est quelque chose qui est arraché aussi à Cioran. La porte de l'ascenseur s'est refermée, je suis restée là et je me suis mise à pleurer. Et puis, je suis retournée dans la chambre de Cioran, qui était couché. Je ne peux pas dire ce qui s'est passé, aucun mot n'a été prononcé. Je l'ai regardé, il m'a regardée, et je lisais des choses dans son regard que je n'avais pas lues depuis très longtemps.

Auteur: Boué Simone

Info: Interviewée par Norbert Dodille

[ littérature ]

 

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mégapole

(Dans le métro) Aucune expression sur les visages autour de lui. Ces gens-là se repliaient sur eux-mêmes plutôt que d'être confronté à ce qui n'était jamais qu'un supplice monotone, propre à vous rendre claustrophobe. Rébus se sentait déprimé. Et fatigué. Mais en tant que touriste il se devait d'en profiter.
(...)
Il eut même droit à la visite d'un clochard dans son wagon. A peine les portes refermées et la rame repartie, celui-ci se mit à délirer, mais son auditoire, sourd-muet en plus d'être aveugle, ignora splendidement son existence, jusqu'à l'arrêt suivant où, découragé, il descendit d'un pas trainant sur le quai. (...)
Une prestation stupéfiante, pas de la part du clochard, mais des voyageurs. Ils s'étaient tous renfermés, refusant de s'impliquer. Agiraient-ils de même au cours d'une bagarre ? En voyant un type baraqué voler le portefeuille d'un touriste ? Oui, sans doute oui. Ici le bien et le mal n'existaient pas : c'était le vide moral.

Auteur: Rankin Ian

Info: Rebus et le Loup-Garou de Londres

[ ville ] [ solitude ]

 

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