Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 17
Temps de recherche: 0.0399s

slogan

Rose : reine des fleurs et fleur des reines.

Auteur: anonyme

Info:

[ chiasme ]

 

Commentaires: 0

dernières paroles

Voici la reine des reines. Que de bien elle a fait.

Auteur: Tourguéniev Ivan

Info: Peu auparavant, il avait écrit cette phrase à Tolstoï: Monsieur, ce fut un grand bonheur que d'avoir été votre contemporain

[ . ]

 

Commentaires: 0

analogie

Une colonie cellulaire est comparable à une ruche d'abeilles où seules les reines se reproduisent et les ouvrières restent stériles.

Auteur: Gernez André

Info: La ciné cellulaire: extrait des mises au point de la biologie, 2008, 2ème semestre, p. 1

[ biologie ]

 

Commentaires: 0

langage

Aimer... Quel drôle de mot... La langue d'Homère distingue et nomme quatre formes d'amour possible... Éros, le plaisir charnel. Agapè, l'amour désintéressé, divin, universel. Philia, l'amitié, l'amour bienveillant. Storgê, l'attachement familial ?

Auteur: Gloris Thierry

Info: Les Reines de sang - Cléopâtre, la reine fatale T02

[ précision ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

vocabulaire

Dans une récente chronique, je donnais le mot "amant" comme exemple d'un terme dont le sens avait évolué et n'était pas le même dans la langue classique et et dans la langue moderne. Une lettre de protestation émanant d'un lecteur m'invite à préciser un peu les choses. Le changement de sens est indiscutable et signalé dans tous les dictionnaires importants. Dans la langue du XVIIe siècle, il désignait le plus souvent un amoureux, un soupirant et n'impliquait pas de relation sexuelle. Cela se vérifie dans des expressions comme les vers de Corneille, qui écrit :

"Tant qu'ils ne sont qu'amants, nous sommes souveraines,

Et jusqu'à la conquête ils nous traitent de reines."

Auteur: Romilly Jacqueline de

Info: Dans le jardin des mots

[ relatif ] [ diachronie ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

misère

[...] Sur le trottoir visqueux et humide de crachats, ils ramassaient des morceaux de pelures d'oranges et de pommes, des queues de grappes de raisins, et les mangeaient. Ils faisaient craquer entre leurs dents les noyaux de reines-claudes pour en faire sortir l'amande. Ils ramassaient des miettes de pain de la grosseur d'un pois, et de trognons de pommes si noirs et si sales qu'ils n'en avaient même plus l'apparence. Et ces deux hommes portaient à leur bouche toutes ces choses repoussantes, les mâchaient et les avalaient. Et cela, entre six et sept heures, dans cette soirée du 20 août de l'an de grâce 1902, dans le coeur de l'empire le plus vaste et le plus puissant que le monde ait jamais connu.

Auteur: London Jack

Info: Le Peuple de l'abîme, Page 78

[ ville ] [ british ]

 

Commentaires: 0

déclarations d'amour

Je pense à vous. Mes yeux vont du buisson de roses
aux touffes du chaud seringa.
Je voudrais vous revoir quand les raisins muscats
dorment auprès des reines-claudes.
Depuis que je suis né, je sens au fond du coeur
je ne sais quoi d'inexplicable.
Je vous dis que la rose est tombée sur le sable,
que la carafe est sur la table,
que la fille a mis ses sandales
et que le scarabée est plus lourd que la fleur.
- Mais tous ces foins, les aura-t-on bientôt fanés?
- O mais, mon amie, tout se fane:
le foin tremblant, le pied de l'âne,
les chants du merle et les baisers.
- Mais nos baisers, ami, ne se faneront point?
Non certainement. Que le foin
se fane, disais-je, c'est bien.
Mais nos baisers, amie, ne se faneront point.

Auteur: Jammes Francis

Info: Clairières dans le Ciel, Je pense à vous... 1906

[ poésie ]

 

Commentaires: 0

incarnation

Je jette une orange

Vers l'astre mort

Quand s'éveille l'ange dans

Mon pauvre corps

J'arrache les pierres

Au mur épais

Du tombeau de terre où

Tu m'as jeté



Et je monte à grand peine

Par les chemins

Que prennent les reines

Les assassins

Dans cet univers de cendres

Où aimer n'existe pas

Parfois je prie mon ange

Eh, ne m'oublie pas



Chaque jour

Les nostalgies nous rongent

Sans retour

Nous dérivons

Privés de tout retour



Je crains tant le souffle

Du temps sur moi

J'ai connu sa bouche

Dans l'au-delà

Fais de mon âme une branche

De mon corps un talus

Mais Dieu apaise l'ange

L'ange déchu

Auteur: Murat Jean-Louis

Info: Chanson "L'ange déchu"

[ prison ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

habit

Les rois et les reines qui ne portent leurs vêtements qu'une fois, bien qu'ils soient faits par un tailleur ou une couturière à la mesure de leurs majestés, ne connaissent pas le plaisir de porter un vêtement qui leur va. Ils ne sont que des portemanteaux de bois sur lesquels on pend les vêtements propres. Chaque jour, nos vêtements épousent plus exactement notre personnalité, recevant la marque du caractère de celui qui les porte, si bien que nous hésitons à les laisser de côté, retardant le moment de le faire, leur administrant des soins médicaux et entourant leur départ de quelque solennité, comme nous le faisons pour notre corps. Nul homme n'a jamais baissé dans mon estime parce qu'il avait un habit rapiécé ; cependant je suis sûr que la plupart des gens désirent bien plus avoir des vêtements à la mode, ou du moins propres et sans raccommodages, que d'avoir la conscience nette.

Auteur: Thoreau Henry David

Info: Walden ou la vie dans les bois, 1854, collection bilingue Aubier 1967, p.99

[ . ]

 

Commentaires: 0

déclaration d'amour

Je t'aime d'être faible...
Je t'aime d'être faible et câline en mes bras
Et de chercher le sûr refuge de mes bras
Ainsi qu'un berceau tiède où tu reposeras.

Je t'aime d'être rousse et pareille à l'automne,
Frêle image de la Déesse de l'automne
Que le soleil couchant illumine et couronne.

Je t'aime d'être lente et de marcher sans bruit
Et de parler très bas et de haïr le bruit,
Comme l'on fait dans la présence de la nuit.

Et je t'aime surtout d'être pâle et mourante,
Et de gémir avec des sanglots de mourante,
Dans le cruel plaisir qui s'acharne et tourmente.

Je t'aime d'être, ô soeur des reines de jadis,
Exilée au milieu des splendeurs de jadis,
Plus blanche qu'un reflet de lune sur un lys...

Je t'aime de ne point t'émouvoir, lorsque blême
Et tremblante je ne puis cacher mon front blême,
Ô toi qui ne sauras jamais combien je t'aime !

Auteur: Vivien Renée

Info: Recueil : A l'heure des mains jointes

[ poème ]

 

Commentaires: 0