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grandir

Nous n'avons pas franchi cette ligne subtile entre l'enfance et l'âge adulte tant que nous n'avons pas passé de la voix passive à la voix active - c'est à dire quand nous remplaçons "je suis perdu" par "je l'ai perdu."

Auteur: Sydney J. Harris

Info:

[ adolescence ] [ innocence ]

 

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compensation

Je ne cherche pas l'amour. Je cherche la consolation. Le réconfort pour tous ces pays que nous perdons depuis le ventre de notre mère et que nous remplaçons par des histoires, comme des enfants avides, les yeux grands ouverts face au conteur.

Auteur: Enard Mathias

Info: Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants

[ quête ]

 

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multivers

Nos équations montrent quelque chose de similaire au big bang, mais différent. D'abord, l'idée d'une explosion, d'un gros Bang, disparait de nos équations. Nous remplaçons ce bang par une particule s'échappant d'un autre univers-trou noir, arrivant dans un plus grand univers avec une densité beaucoup plus faible, causant son inflation extrêmement rapidement.

Quand on dit à un enfant que l'univers a commencé avec une grosse explosion, le Big Bang, la première chose à laquelle l'enfant pense ou dit, c'est "Qu'y avait-il avant l'explosion ?"

Alors que la physique standard est incapable de répondre à cette question, la physique unifiée répond que la création est fractale par nature, et qu'elle est fractale par échelle, produisant une quantité infinie de chemins de création que nous appelons des univers.

Auteur: Haramein Nassim

Info: Resonance Science Foundation

[ sciences prospectives ] [ physique ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

métropolisation

Bref, on se modernisait, à part les retardataires, ceux des générations "sacrifiées" : qu’ils se cachent, ceux-là ! et qu’on les oublie… sauf, bien entendu, pour le payement des impôts. […] Payez pour les sanatoriums et les hôpitaux de Modernopolis – de toute Modernopolis -, qui, de plus en plus, aura besoin de retaper le matériel humain qu’elle abîme, les poumons qu’elle essouffle, les reins qu’elle use, les cerveaux qu’elle fatigue. […] Ne nous laissons pas arrêter par de si mesquines apparences, écoutons les prometteurs, les bâtisseurs, les artisans d’urbanisme, de modernisme – ceux qui voient grand, et vaste, et riche, et "cher" ! Recrutons de la main d’œuvre, renouvelons les villes, élevons des gratte-ciel, remplaçons les vieilles rues par deux ou trois voies superposées ; après quoi, tout sera encore plus complexe, plus coûteux, plus épuisant pour les reins, pour les cerveaux, pour les finances : mais au moins, si nous devons en crever, nous en crèverons au nom du Progrès !
[…]
Car il en avait, des projets grandioses : non seulement pour l’Urbanisme, l’Hygiène, les Sanatoriums, Préventoriums, et pour la modernisation du Travail – "tayloriser", "standardiser", "américaniser" - , mais aussi, et surtout, dans son domaine spécial de technicien, pour l’exploitation rationnelle, intégrale, de toute la Houille blanche du Dauphiné. C’était un cerveau "géométrique" et "mécanique" : l’irrégularité géographique l’exaspérait ; eh bien ! il la ramènerait à la logique et à la raison. Discipliner les chutes d’eau, étager les réservoirs avec une régularité de godets ou de monte-charge, convergeant tous vers le bassin de Grenoble, creuser et cimenter le lit de l’Isère, du Drac, de la Romanche, ménager d’immenses champs d’inondation – l’Agriculture dût-elle en crever -, supprimer les boucles qui gênent l’écoulement normal des crues… que sais-je encore ? rogner les angles, tailler des pans de montagne…

Auteur: Lote René

Info: Dans "Modernopolis. La comédie humaine et le progrès"

[ urbanisation ] [ absurde ] [ homme-nature ] [ fuite en avant ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

monologue

Alors, entrons dans le dialogue avec une question que je me posais depuis très longtemps : comment Dieu parle-t-il, et à qui ? Lorsque je l’ai posée, voici la réponse que j’ai reçue :
Je parle à chacun. Tout le temps. La question n’est pas : à qui je parle, mais : qui écoute ?
Intrigué, j’ai demandé à Dieu d’élaborer à ce sujet. Voici ce que Dieu a dit :
Tout d’abord, remplaçons le mot parler par communiquer. C’est un bien meilleur terme, plus riche, plus précis. Lorsque nous essayons de nous parler (Moi à toi, toi à Moi) nous sommes immédiatement contraints par l’incroyable limite des mots. Voilà pourquoi je ne communique pas seulement en paroles. En réalité, je le fais rarement. Je communique le plus souvent par le sentiment. Le sentiment est le langage de l’âme.
Si tu veux savoir ce qui est vrai pour toi en ce qui concerne une chose précise, observe comment tu te sens par rapport à celle-ci. Les sentiments sont parfois difficiles à découvrir (et souvent même plus difficiles à reconnaître). Mais ta vérité suprême se trouve tapie dans tes sentiments les plus profonds.
Il s’agit d’arriver à ces sentiments. Je te montrerai comment. A nouveau. Si tu le souhaites.
J’ai alors dit à Dieu que je le souhaitais vraiment mais, qu’ à présent, je souhaitais encore davantage recevoir une réponse entière et complète à mes questions. Voici ce que Dieu m’a dit :
Je communique aussi par la pensée. La pensée et les sentiments ne sont pas la même chose, même s’ils se produisent parfois en même temps. En communiquant par la pensée, j’utilise souvent des images. C’est pourquoi les pensées sont plus efficaces que les seules paroles, en tant qu’outils de communication.
En plus des sentiments et des pensées, j’utilise également le véhicule de l’expérience pour communiquer intensément.
Finalement, lorsque les sentiments, les pensées et l’expérience échouent, j’utilise des paroles. En vérité, les paroles sont l’outil de communication le moins efficace. C’est l’outil le plus souvent ouvert à l’interprétation, le plus souvent mal compris.
Pourquoi donc ? A cause de la nature des paroles. Les paroles ne sont que des émissions de sons : des bruits qui représentent les sentiments, les pensées et l’expérience. Ce sont des symboles. Des signes. Des insignes. Elles ne sont pas la vérité. Elles ne sont pas ce qu’elles représentent.

Auteur: Neale Donald Walsch

Info: Conversations avec Dieu

[ mobile ] [ humain ] [ être infini ] [ prière ] [ spiritualité ]

 

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