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dernières paroles

Enlève tes souliers quand tu rentres de Condorcet, tes souliers salissent toute la maison.

Auteur: Cocteau Eugénie

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[ . ]

 

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justification pour gamin

Ou, si tu rentres un peu tard à la maison et que te maman demande : pourquoi as-tu 2 heures de retard, indique lui que tu étais à une réunion de l'école. Ça fonctionne presque toujours..

Auteur: Internet

Info:

 

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guerre

" Soldat, tu oublies le danger, parce qu’il est constant ici. " Il marqua une pause et s’alluma une cigarette. […] "Mais si tu rentres aux États-Unis dans ta tête avant que tes fesses soient là-bas aussi, tu es un putain d’homme mort. "

Auteur: Powers Kevin

Info: Yellow Birds

[ déconcentration ]

 

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redécouverte

J'éprouve cette impression de second souffle que peut donner un paysage nouveau, et que je n'éprouvais plus depuis longtemps. Le paysage auquel tu t'es habitué procure une sensation différente, de familiarité, ou d'oppression parfois, mais en vérité tu ne le vois même plus, sauf quand tu rentres d'un long voyage ou à travers les yeux d'un nouveau venu.

Auteur: Cognetti Paolo

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[ décor ] [ nouveau point de vue ] [ rafraîchissement ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

rétroaction

Pendant plus de mille ans, les hommes qui ont beaucoup vécu livrés à eux-mêmes- les moines dans les montagnes, les ermites, les marins, les bergers et les explorateurs qui sont rentrés chez eux-ont été convaincus que la réponse aux mystères de la vie se trouvait dans le silence. Voilà l'essentiel. Tu traverses l'océan en voilier et quand tu rentres, tu trouves peut-être en toi-même ce que tu cherchais.

Auteur: Kagge Erling

Info: Quelques grammes de silence, p 79

[ expérience miroir ] [ fertile solitude ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

râteau

<Laeti> c'est trop la lose, j'en suis à 6 mois sans rapport sexuel!!! tu te rends comptes?
<thib> Euh oui, moi c'est un peu plus ^^
<Laeti> te vexe pas mais toi c'est normal, tu passes la journée dans des tableaux actuariels à faire du calcul différentiel et quand tu rentres chez toi, tu lis de la heroic Fantasy
<Laeti> moi je sors souvent et les gens me trouvent des airs de Scarlett Johannson
<thib> C'est pas faux.
<Laeti> ceci dit, j'te trouve cool hein, d'ailleurs je serai pas contre l'idée de coucher avec toi
<thib> Ah oui? Mais pourquoi moi en particulier?
<Laeti> 2 raisons
<Laeti> t'es un peu le seul mec avec qui je discute ces derniers temps
<Laeti> et j'ai décidé de privilégier l'intelligence au physique.

Auteur: Internet

Info:

[ femmes-hommes ] [ dialogue-web ]

 

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épouvantes

Il y a 3 types de terreur. Le dégoût : vision d'une tête coupée qui dégringole des escaliers, ou, alors que la lumière diminue et que quelque chose de vert et visqueux t'éclabousse le bras. L'horreur : ce qui est contre nature, des araignées de la taille d'un ours, des morts qui se réveillent et se promènent, ou quand les lumières s'éteignent et qu'un truc avec des griffes t'attrapes le bras. La dernière sorte c'est la pire : La terreur ; quand tu rentres chez toi et que tu remarques que tout ce que tu possèdes a été enlevé et remplacé par un substitut exact... Et puis, après avoir éteint, tu sens quelque chose derrière toi, tu l'entends, tu sens son souffle contre ton oreille, mais quand tu allumes et te retournes, il n'y a rien...

Auteur: King Stephen

Info:

[ hiérarchie ] [ frousses ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

alcool

Tu rentres saoul tous les soirs mais la police ne t’a jamais interpellé parce que ta voiture, une Ford LTD de 1971, est magique. Tu as vingt minutes de trajet depuis le bar jusque chez toi à travers des rues et des autoroutes désertes et normalement tu aurais dû être arrêté des centaines de fois, mais les pouvoirs de la voiture sont tels que même lorsque des flics roulent derrière toi ils demeurent aveugles et sourds à ta conduite hasardeuse et au crissement de tes pneus. Parfois tu ne te souviens même pas d’être rentré en voiture et tu t’aperçois ensuite que les ailes avant et arrière sont cabossées et rayées, pourtant tous les matins tu te réveilles dans ton lit, pas dans une cellule, et tu te demandes si la voiture est devenue magique après que tu en as fait l’acquisition ou si elle l’était déjà en sortant de l’usine.

Auteur: deWitt Patrick

Info: Ablutions

[ automobile ] [ ivresse ]

 

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déclic

Si j'essaye d'expliquer mon inquiétude, je peux dire qu'elle repose sur la peur d'attendre tellement longtemps que je ne saurais plus ce que j'attends. Tu vois ce que je veux dire ? Tu te dis qu'à force, tu oublieras même que tu attends. Exemple tu te lèves, tu pars bosser, tu rentres, tu te mets devant la télé. Ou t'allumes la radio. Tout d'un coup, tu baisses le son : attends, t'as le sentiment d'avoir oublié quelque chose. Tu te poses des questions, ça t'intrigue, c'est quoi ce truc? Puis tu laisses tomber. Tu remets le son. Tu te dis que ça doit être un truc au boulot - un truc trivial. Pas important. Bon laisse tomber. Mais ce moment en vérité - voilà ce qui me fait flipper si j'y pense sérieusement-, correspond à l'instant précis où tu oublies que tu attends quelque chose. Et alors sans t'en rendre compte tu perds espoir.

Auteur: McIntosh Matthew

Info: Well

[ déprime ] [ littérature ] [ introspection ] [ amorce ] [ perdu ] [ toska ]

 
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faux semblants

Tu n’as pas changé, m’avait écrit Richard. […] viens me retrouver dès que tu rentres de ces fichues vacances, j’ai soif de toi comme un mourant. J’avais refermé mon ordinateur. J’avais enfoui ma tête dans mon bras et j’avais couru, la bouche pleine d’un feu pâle, jusqu’à la forêt qui n’avait plus de réalité qu’au fond de moi. Quand j’étais arrivée dans le jardin, pieds nus, chacun avait déjà mis la table, et, juchée sur des escarpins vertigineux, Nathalie Popesco, cheveux mouillés parfaitement plaqués en arrière sur sa nuque éternellement bronzée, était en train de montrer aux enfants comment faire des origamis. Paul la regardait, admiratif. Et ma joie reflua. L’horreur que m’inspira ce que je vis dans les yeux de mon compagnon lorsqu’il s’écria, attendri, Regarde, c’est formidable, tout ce que Nathalie a fait pour les enfants !, et le petit couinement qu’elle poussa pour accueillir son compliment me glacèrent. Des paquets de nuages crevèrent dans ma tête. Je pleurai à l’intérieur mais personne ne le vit. Mon esprit se retrancha plusieurs dizaines d’années en arrière et, simultanément, dans les bras de Richard, pour n’en plus bouger. De là où je me trouvais, tout ce que j’avais créé avec Paul, tout ce qui, au fil des jours, avait façonné notre vie commune, toute cette fausse sagesse profane que, comme tous les couples, nous avions accumulée, année après année, pour nous aider à vivre ensemble, sembla se défaire sous mes yeux, tel un origami dont jamais je n’arriverais à maîtriser les pliages.

Auteur: Chiche Sarah

Info: Dans "Les enténébrés" page 269

[ double vie ] [ répulsion ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson