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paresse

Si tu te reposes, tu te rouilles.

Auteur: Hayes Helen

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[ abrutissement ] [ habitude ]

 

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prière

Du sein de Dieu où tu reposes... révèle-moi ces vérités qui dominent la mort, empêchent de la craindre et la font presque aimer.

Auteur: Proust Marcel

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déclarations d'amour

Parce que tu reposes à côté de moi maintenant, je rêve de cerfs-volants et de carrousels et je dors en paix avec moi-même et n'ai plus peur de la nuit..

Auteur: Sexton Robert

Info:

[ gratitude ]

 

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deuil

Après une vie bien remplie, tu te reposes à jamais "au bord de la Vasque" ....
Remets le bonjour à tous nos compagnons
Sois fier de ta vie, nous, nous le sommes...

Auteur: Internet

Info:

[ condoléances ]

 

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fin de vie

La vie a dansé pour toi, dans sa beauté la plus cruelle, avant de se retirer. Tu reposes désormais, le regard incendié de rose, sur ton lit d’hôpital, dans le souvenir flamboyant de ton existence.

Auteur: Joly-Girard Constance

Info: Over the Rainbow, p 171

[ fille-père ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

mensonge

Quand je te pose une question qui t'embarrasse, tu la répètes toujours avant de me répondre. Si je te demande:
- Qu'est-ce que tu as fait de 5 à 6?
Tu te reposes la question:
- Ce que j'ai fait de 5 à 6?
C'est ainsi que tu prends ton élan pour mentir.

Auteur: Guitry Sacha

Info: Elles et toi. 1947

 

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pouvoir

Garde tes distances envers les subordonnés, qui ne sont rien et aux intentions desquels on ne prête pas attention !
Ne te mêle pas à eux quand tu es seul,
Ne fais confiance à aucun frère, ne connais aucun ami.
Ne te fais pas de client : cela ne sert à rien.
Lorsque tu te reposes, garde-toi toi même,
Car l'on n'a pas d'amis le jour du malheur !
J'ai donné au pauvre et aidé l'orphelin,
J'ai fait parvenir à celui qui n'avait rien comme à celui qui avait du bien,
Et celui qui mangeait ma nourriture, voilà qu'il complote !
Celui à qui j'ai tendu la main, voilà qu'il en profite pour fomenter des troubles !
Celui que vêt mon lin fin, voilà qu'il me regarde comme un paillasson !
Ceux qu'ont oint ma myrrhe, voilà qu'ils me crachent dessus !
Les images vivantes qui m'ont été attribuées,
Ils ont ourdi contre moi un complot inouï et un grand combat,
Comme on n'en a jamais vu.

Auteur: Amenemhat

Info: Extrait de ses enseignements

[ méfiant ]

 

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insatisfaction

Joakim, exaspéré :
- Toi, tu parles de gratter d’un bout de l’année à l’autre ? Tu n’as pas honte ? C’est toi qui grattes le pays d’un bout à l’autre et ne t’arrêtes nulle part !
Edevart fit dévier la discussion.
- Tu peux dire que je cours tout le temps d’un endroit à l’autre. Mais vaut-il donc mieux rester ici à pourrir dans la baie, comme vous le faites, Ezra et toi ?
- Ezra ! … Es-tu fou ? s’écria Joakim. Sais-tu qu’Ezra, avec le temps, deviendra propriétaire de la plus grande ferme du pays ?
- Oui. Quand il se sera éreinté à défricher et à bêcher sa ferme !
- Quoi ? Il ne devrait pas travailler, peut-être ?
- Et quand Hosea s’éreinte aussi comme une esclave pour ses vaches et ses champs ! poursuivit Edevart. Elle fait peine à voir.
- Tu es trop bête, grommela Joakim. Tu ne vois donc pas comme ils sont contents tous les deux ?
Une réminiscence passa par l’esprit d’Edevart et il dit :
- Ça vient de ce qu’ils ne connaissent rien de mieux.
- Qu’est-ce qu’il y a de mieux ? Ils se donnent du mal avec ce qu’ils ont ; mais ça fait leur joie et ils ne souhaitent pas autre chose.
- Et avec tout le mal qu’ils se donnent, ils ont tout juste de quoi manger.
- Non. Ils ont commencé les mains vides ; mais maintenant, ils ont une maison et un foyer, ils ont des champs, ils ont trois vaches, et bientôt ils auront un cheval.
- Cause toujours ! railla Edevart.
- En outre, ils vivent en paix. Et toi pas ! ils se couchent le soir et ils dorment.
- Je ne dis pas non.
- Mais c’est ce que tu ne fais pas, toi qui cours partout du Nord au Sud, et t’imagines faire beaucoup mieux ! Je t’ai déjà entendu la nuit : tu te tortilles comme un ver avant de t’endormir ; et quand tu ronfles, à la fin, tu geins dans ton sommeil, à propos de ta chute d’eau, et d’August, et de la Floride en Amérique, et de ta ferme. C’est comme ça que tu te reposes la nuit ! Je ne voudrais pas changer avec toi !

Auteur: Hamsun Knut

Info: Dans "Vagabonds", édition Pochothèque, trad. J. Petithuguenin, page 1172

[ simplicité ] [ fuite en avant ] [ dialogue ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson