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présage

Si vous êtes la première personne à entendre le roucoulement de la colombe au printemps, vous serez marié avant la fin de l'année.

Auteur: Éricson Jonathan S.

Info: Superstitions, coutumes et croyances

[ superstition ]

 

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pensée-de-femme

Après l'étreinte les femmes recherchent l'épanchement, ce moment où elles appartiennent le plus totalement aux hommes, où elles roucoulent et avouent l'amour si légèrement.

Auteur: Bombardier Denise

Info:

[ sexe ]

 

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absurde

Qu'est-ce qui est petit, poilu, et qui roucoule au fond d'un garage ?
Une portugaise qui aide son mari à garer la voiture : " roucoule, roucoule "

Auteur: Internet

Info:

[ humour ]

 

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homme-animal

Souvent roucoule la tourterelle. Cette musique est agréable. J'aime ce chant. J'aime la tourterelle. Je l'aime tellement que l'entendre m'est insupportable. Je crie à mon tour. Tais-toi tourterelle ! Cesse de me ramener à ma condition d'humain, à ma prison. Tu es libre, toi !

Auteur: Horiot Hugo

Info: L'empereur, c'est moi

[ miroir pénible ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

matin

La rosée, sous la caresse du soleil, diamantait les grands genêts dont la floraison vigoureuse nimbait d'or la verdure sombre ; elle se suspendait aux fougères dentelées, aux touffes de pâquerettes blanches dédaignées des brebis, aux bruyères grises, et masquait d'une buée uniforme l'herbe fine des clairières. Cependant que des bouchures, des buissons et de la forêt s'élevaient sans fin des trilles, vocalises, pépiements et roucoulements, tout le concert enchanteur des aurores d'été.

Auteur: Guillaumin Emile

Info: La vie d'un simple

[ nature ]

 

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nourrisson

Bien conçu, enfant en bas âge entièrement fonctionnel. Fournit de la vie chez quelqu'un aussi bien qu'une autre bouche à nourrir. Roucoule, glougloute et autres bruits adorables. Peut provoquer de semblables comportements chez les adultes proches. Pleure si affamé, somnole ou juste comme ça. Se lave avec de l'eau chaude et du savon doux, tapoter, pour le séchage, avec un tissu mou avant de mettre du talc. Les mécanismes internes sont auto nettoyants... Deux Genres : Mâle. Femelle. Cinq Couleurs : Blanc. Noir. Jaune. Rouge. Camouflage.

Auteur: Gingold Alfred

Info:

[ robot ] [ humour ]

 

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femmes-hommes

Depuis l'âge de dix ou onze ans, j'ai commencé à m'apercevoir que les filles et les garçons avaient une manière de se tourner autour parfaitement ridicule. Tout ce qui ressemble de près ou de loin à un début de relation amoureuse s'apparente à une parade nuptiale digne des dindons. On se gonfle les plumes, on se rengorge (pour le mâle), on se tortille du derrière, on roucoule (pour la femelle). On en devient moche, on en devient con(ne), on laisse tomber ses ami(e)s, on prend des airs niais, on rit pour un rien, enfin on ne rit plus du tout. On fait des serments, on les viole, on ment, on se sépare. Au suivant ! Et ça recommence.

Auteur: Percin Anne

Info: Comment bien rater ses vacances

[ adolescent ]

 

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éthologie

Que ces animaux dans leur état sauvage aiment, ainsi que beaucoup d'autres, la solitude pour se livrer paisiblement et sans risque d'être troublé, à l'acte régénérateur ! cela peut être ; mais c'est un goût qu'ils se passent aisément de satisfaire, et quand, privés, ils sont sous les yeux des hommes, ce goût ne l'emporte pas, et ce serait en vain qu'on chercheroit en eux les effets de la pudeur ! Eh ! quelle notion d'indécence trouveroient-ils donc à se reproduire ? Quelle seroit cette perfection ou cette exaltation de l'intelligence, qui leur feroit distinguer l'honnête du malhonnête dans un acte auquel les pousse la nature. Ah ! que l'homme civilisé, pour le maintien de ce que l'on appelle les moeurs publiques, pour multiplier les liens des familles, et ne point détruire les rapports sociaux, se soit fait des loix de pudeur, j'y consens ; mais que l'Eléphant soit plus scrupuleux que ne l'est le cheval, cet utile compagnon de nos travaux ; que ne l'est le taureau vigoureux qui, sous les yeux de l'innocente pastourelle, saille la vache qu'elle conduit ; que l'âne qui, dans le milieu des villes, offre à tous les regards les symptômes étonnans de sa passion qu'il assouvit ; que le chien qui, dans les rues, dispute à vingt rivaux la proie de son amour, et long-temps laisse apercevoir la preuve de son union ; que le coq qui, voltigeant de belle en belle, chante à chaque fois sa victoire, sans que les crêtes de ses poulettes acquièrent un rouge plus foncé ; que la simple et timide colombe qui roucoule tout haut ses amour et bat des ailes en signe du plaisir qu'elle a de se reproduire... ; cela paroît une erreur. 

Auteur: Houël Jean-Pierre

Info: A propos de la prétendue pudeur des éléphants - in "Histoire naturelle des deux éléphants mâle et femelle du muséum de Paris", p. 106-107 - disponible sur Gallica

[ moralité ] [ zoologie ] [ sexualité ] [ homme-animal ] [ copulation ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

allaiter

Bois, mon petit, à ma poitrine qui coule,
Je suis ta source – Bois ! – ta tiède fontaine,
Bois ce doux lait qui coule en ta gorge pleine
Avec un bruit de colombe qui roucoule.

Pose ta joue à la place la plus tendre
De ma chair. Mords-moi de ta petite bouche.
Du bout de mon sein mol je tente, je touche
Ta lèvre qui se trompe autour… Viens le prendre !

Bois, mon petit avide, emplis ta faiblesse
De moi qui me penche et qui te suis versée.
Capte ce lait chaud de m’avoir traversée
Au bourgeon de la mamelle… Ah ! tu me blesses !

Le savais-je la douceur d’être blessée,
Ouverte et saignant comme une orange vive
Qui fond en miel et n’est plus sous la gencive,
Plus rien qu’une joie à la gorge laissée ?

Adam ! Adam ! la douceur d’être mangée,
Qui la savait ? Qui savait le cher supplice
D’être la gorgée émouvante qui glisse
Et m’entraîne toute en mon petit changée ?

La douceur de mourir, la tendre aventure
De me perdre sans yeux ni route, en allée
Dans le noir de toi qui m’attendais, mêlée
Aux chemins naissants de ta force future !

Mourir… m’évader de cette solitude,
De ce moi qui tient ma richesse captive
Pour te rejoindre, ô soif qui cherche, l’eau vive,
Et calmer à ton besoin ma plénitude…

Bois. Jusqu’à tes os je ruisselle et j’écoute
Quand le lait heureux chemine en toi, cher être,
Un peu de moi dans tes veines disparaître,
Un peu de moi qui devient toi goutte à goutte.

J’écoute. J’entends dans ma gorge profonde
Que la clarté du lait qui sourd illumine,
Ne parle pas, Adam ! Adam ! je devine
Où passait la joie en s’en venant au monde.

Auteur: Noël Marie Rouget

Info: ÈVE

[ pensée-de-femme ] [ poème ]

 

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