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être humain

Ce qui constitue, en premier lieu, l’être actuel de l’Esprit humain n’est rien d’autre que l’idée d’une chose singulière existant en acte.

Auteur: Spinoza Baruch

Info: L'éthique

[ séparé du reste ] [ isolé ] [ dissocié ]

 

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autisme

Tous les hommes ont connu cet instant singulier où l'on se sent brusquement séparé du reste du monde par le fait qu'on est soi-même et non ce qui nous entoure.

Auteur: Green Julien

Info: Partir avant le jour

[ isolement ]

 

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créationnisme

Je ne peux pas imaginer que le monde tel que nous le voyons soit le résultat du hasard ; et pourtant ne puis considérer chaque chose séparée comme le résultat d'un dessein... Je suis, et resterai toujours, dans une confusion désespérée.

Auteur: Darwin Charles

Info: La vie et les lettres de Charles Darwin (Volume 2) Darwin à Gray, 26 novembre 1860 (p. 146) D. Appleton & Company. New York, New York, États-Unis. 1896

[ doute ]

 
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égoïsme

Chacun se voit comme une entité séparée ; chacun se sent fort de son intelligence propre, de ses capacités propres et surtout de sa liberté propre. Mais c’est justement cette sensation d’être libre, séparé du reste du monde, qui nous donne un sentiment de grande solitude et de tristesse.

Auteur: Terzani Tiziano

Info: Un autre tour de manège

[ à double tranchant ] [ mélancolie ] [ bipolaire ]

 

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songes

Bien que la plupart de nos visions nocturnes ne soient peut-être rien d’autre que de vagues et bizarres reflets de nos expériences à l’état de veille – n’en déplaise à Freud avec son symbolisme puéril -, il en reste néanmoins dont le caractère dépaysant et éthéré ne permet aucune interprétation banale, et dont l’effet vaguement provocateur et inquiétant évoque la possibilité de brefs aperçus dans une sphère d’existence mentale non moins importante que la vie physique, et pourtant séparée d’elle par une barrière pratiquement infranchissable.

Auteur: Lovecraft Howard Phillips

Info: Le mythe de Cthulhu, Par-delà le mur du sommeil

[ voyage astral ] [ oubli ] [ rêves ]

 

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unicité

Un être humain est une partie d'un tout que nous appelons : Univers. Une partie limitée dans le temps et l'espace. Il s'expérimente lui-même, ses pensées et ses émotions comme quelque chose qui est séparé du reste, une sorte d'illusion d'optique de la conscience. Cette illusion est une sorte de prison pour nous, nous restreignant à nos désirs personnels et à l'affection de quelques personnes près de nous. Notre tâche doit être de nous libérer nous-même de cette prison en étendant notre cercle de compassion pour embrasser toutes créatures vivantes et la nature entière dans sa beauté.

Auteur: Einstein Albert

Info: Lettre, 1950

[ appartenance ] [ spiritualité ] [ grandir ]

 

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tribalisme

La société primitive est le lieu du refus d’un pouvoir séparé, parce qu’elle-même, et non le chef, est le lieu réel du pouvoir. La société primitive sait par nature que la violence est l’essence du pouvoir. En ce savoir s’enracine le souci de maintenir constamment à l’écart l’un de l’autre, le pouvoir et l’institution, le commandement et le chef. Et c’est le champ même de la parole qui assure la démarcation et trace la ligne de partage. En contraignant le chef à se mouvoir seulement dans l’élément de la parole, dans l’extrême opposé de la violence, la tribu s’assure que toutes choses restent a leur place, que l’axe du pouvoir se rabat sur le corps exclusif de la société et que nul déplacement des forces ne viendra bouleverser l’ordre social .

Auteur: Clastres Pierre

Info: La société contre l’État, p. 42.

[ démocratie ]

 

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sagesse

Un être humain est une partie de la totalité, que nous appelons "univers", une partie limitée dans le temps et dans l'espace. Il fait l'expérience de lui-même, de ses pensées et de ses sentiments, comme quelque chose de séparé du reste - une sorte d'illusion optique de sa conscience. Cette illusion est une sorte de prison pour nous, nous limitant à nos désirs personnels et à notre affection pour quelques personnes les plus proches de nous. Notre tâche doit être de nous libérer de cette prison en élargissant notre cercle de compassion pour embrasser toutes les créatures vivantes et la nature entière dans sa beauté. Personne n'est capable de réaliser cela complètement, mais tendre à cet accomplissement est en soi une part de la libération et le fondement d'une sécurité intérieure.

Auteur: Einstein Albert

Info:

[ incarnation séparation ] [ élévation ]

 

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spiritualité

Le Lakota était empli de compassion et d'amour pour la nature, et son attachement grandissait avec l'âge. (...) C'est pourquoi les vieux Indiens se tenaient à même le sol plutôt que de rester séparés des forces de vie. S'asseoir ou s'allonger ainsi leur permettait de penser plus profondément, de sentir plus vivement. Ils contemplaient alors avec une plus grande clarté les mystères de la vie et se sentaient plus proches de toutes les forces vivantes qui les entouraient.
Le vieux Lakota était un sage. Il savait que le coeur de l'homme éloigné de la nature devient dur. Il savait que l'oubli du respect dû à tout ce qui pousse et à ce qui vit amène également à ne plus respecter l'homme. Aussi maintenait-il les jeunes sous la douce influence de la nature.

Auteur: Standing Bear

Info: sagesse amérindienne

[ nature ] [ colonialisme ]

 

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nature

Qui n'a rêvé devant un arbre au printemps ? Qui n'a ressenti son calme épanouissement comme une invite ? Même l'homme moderne, qui a perdu la faculté de s'émerveiller, sauf peut-être et pour un temps devant les inventions nées de son cerveau, ne peut y rester insensible. Mais que l'on imagine que l'humain des temps anciens, vivant au sein de la nature, pour qui l'alliance avec elle n'était point soumission, comme on veut nous le faire croire, mais harmonie, ou, mieux encore, que l'on pratique la méditation, alors une telle rêverie retrouve son utilité première, elle redevient ce qu'elle était, authentique, vitale, elle constitue un mode d'être, le plus authentique, le plus clairvoyant qui soit. Ainsi, au pied de l'arbre, rêve le Bouddha, et il s'éveille du trop humain cauchemar. Durant la méditation devant le figuier sacré, surgit du tréfonds de l'être la compréhension intuitive de l'univers dont l'individu cesse d'être séparé, celle de la place qu'il y occupe, du rôle qu'il doit y jouer, compréhension spontanée, nécessaire et suffisante, que possède tout vivant et qui n'est refusée qu'à l'homme, ou plutôt que l'homme seul se refuse.

Auteur: Brosse Jacques

Info: Mythologie des arbres

[ contemplation ]

 

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