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dernières paroles

Courage camarade, vive l'anarchie.

Auteur: Santo Geronimo Caserio

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[ exécution ]

 

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danse

Le tango est une pensée triste qui se danse

Auteur: Discépolo Enrique Santos

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[ nostalgie ]

 

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confiance

L'oiseau chante, même si la branche sur laquelle il est perché craque, parce qu'il sait qu'il a des ailes.

Auteur: Santos Chocano José

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sagesse

- Il n'y a pas d'âge pour apprendre, le taquina Alfonso.
- Il n'y a pas d'âge pour apprendre à faire pire, c'est certain. Mais il y a toujours un âge pour apprendre à faire mieux.

Auteur: Yamen Manai

Info: La sérénade d'Ibrahim Santos

[ morale ]

 

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pensée-de-femme

Baiser, embrasser, faire l'amour, j'avais compris aimer moi. Je ne savais pas que les femmes étaient terrain à défricher, herbe brousse à traverser, pissenlit fleurissant or puis duvet, envol quand l'homme respire sur son corps de femme.

Auteur: Santos Emma

Info: La malcastrée

[ femmes-hommes ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

montagne

Le Potala reposait majestueusement sur le rocher escarpé, avec sa longue façade blanche qui tranchait sur la pierre sombre, sa tour rougeâtre dressée telle un donjon et ses étroites fenêtres regardant la ville qui se réveillait. Un palais qui évoquait un phare, une forteresse vigilante et protectrice, s'élevant au-dessus des brumes pour guider l'esprit du Tibet. Des drapeaux ornés de prières claquaient dans le vent.

Auteur: Rodrigues dos Santos José

Info: La formule de Dieu

[ bouddhisme ] [ Asie ] [ palais ]

 

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synesthésie

Après la pluie, le ciel était lavé et la lumière magnifique. Les odeurs bleuissaient doucement. Cette curieuse impression de teinte des odeurs, je la ressentais souvent. C'était aussi le cas pour les choses et les sentiments. La chaleur était jaune, le froid blanc ou transparent, l'attente mauve, la tristesse grise, le bonheur vert, la colère rouge, la douceur en camaïeu et l'amour de toutes les couleurs.

Auteur: Santoul Max

Info: Ménino

[ littérature ]

 

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mercantis

Naples me parut une ville vociférante, pauvre, riche, dépravée, humaine et insistante. Sur les marchés, on voulait nous vendre, nous imposer la marchandise ou les santons de la crèche : on nous mettait sous le nez les bergers, l’Enfant Jésus, la Vierge, les anges, Totò, le trio De Filippo, et les cornes porte-bonheurs. Se libérer du marchand n’était pas chose facile. Dans cette ville aristocratique et bruyante, le baise-main n’était pas rare et l’imagination, tout comme la chanson, faisait partie du décor.

Auteur: Bruck Edith

Info: Le Pain perdu, pp 140-141

[ casse-pieds ] [ italie du sud ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

profession

Les métiers de passages scandaient les saisons. Le rémouleur préférait le printemps, le mercelor suivait l'arrivée des hirondelles, le rempailleur ou mandelier, le collecteur de peaux s'annonçait en patois, le chineur de cuivre et sa carriole à bras, le raccommodeur de porcelaine à la fin de l'été, le vitrier à la morte-saison, le ramoneur avec le raccourcissement des jours, le nain et son poney laineux l'hiver, le montreur d'ours, le photographe...Et en toute saison celui qui reliait le village au monde, c'était le facteur.

Auteur: Santoul Max

Info: Ménino

[ littérature ] [ saison ] [ cycle ]

 

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littérature

Une mouche à la cuirasse verte et luisante n'arrêtait pas de se poser sur le bord épais de ses narines. [...] Il levait le bras en direction de la foule et faisait envers elle de grands gestes elliptiques, comme s'il la couvrait tout entière par la seule paume de sa main. Puis cette même paume venait tapoter avec noblesse sa poitrine décorée. Son autre main bougeait d'une façon nettement moins aristocratique, puisque l'amour que portait la mouche verte à ses narines était à son apogée.

Auteur: Yamen Manai

Info: La sérénade d'Ibrahim Santos, p.55/59

[ insecte ]

 

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