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déclaration d'amour

Le sentier de neige couvrant la vallée
Où dansent en cortège des sapins gelés
Est resté bien sage, témoin d'un baiser
Que sur ton visage, je t'avais volé.

Les flocons de neige couvraient tes cheveux
Et la lune beige nous rendait heureux,
Je t'ai dit: "Je t'aime", dans la paix des bois,
La neige en Bohème fondait sous nos pas.

Auteur: Les Classels

Info: Le sentier de neige, premier et deuxième couplet

[ chanson ]

 

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grand nord

Les feuillus se font de plus en plus rares, peu à peu remplacés par des sapins et des bouleaux, dont la densité diminue également au fur et à mesure que l'on gagne le septentrion. Bientôt, cette taïga rassurante pour les yeux s'achève et l'on entre alors dans le monde de la toundra, un univers quasi désertique où seuls les bouleaux et les saules nains rampent à quelques centimètres du sol.

Auteur: Vernay Pierre

Info: Arctique : Un monde à protéger

[ végétation ] [ plaine ] [ décors ] [ voyage ] [ sibérie ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

expérience

J'ai appris que quoi qu'il arrive et même si le présent parait insupportable, la vie continue toujours, et demain sera meilleur. J'ai appris qu'on peut en savoir long sur une personne d'après sa façon d'affronter les 3 situations suivantes :
une journée pluvieuse, la perte de ses bagages et des guirlandes lumineuses emmêlées dans un sapin de Noël. J'ai appris que gagner sa vie n'est pas vivre. J'ai appris que la vie apporte parfois une seconde chance (...) J'ai appris que les gens oublient ce que l'on a dit.

Auteur: Pasini Willy

Info: Le Couple amoureux

[ triade ] [ révélateur ]

 

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futur

Est-ce que la ville va s'étendre au point que les gens perdent tout contact avec la nature ? Viendra t'il ce jour où le seul oiseau exotique que l'enfant américain verra jamais sera un canari aperçu au travers de la fenêtre de magasin d'animaux ? Quand le seul animal sauvage qu'il pourra connaître sera un rat - vu en pleine nuit dans certains taudis de la ville ? Quand le seul arbre qu'il touchera sera en plastique, un sapin toujours vert, habilement fabriqué pour faire de l'ombre à ses cadeaux le matin de Noël ?

Auteur: Ikard Frank N.

Info:

[ sinistre ] [ écologie ]

 

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mystère

(A propos d’un épicéa suédois âgé de 9550 ans !)
Au passage, cet épicéa a fait un sort à quelques doctrines scientifiques. Jusque-là, personne ne savait que l’espèce pouvait dépasser les 500 ans. Surtout, il était généralement admis que les épicéas n’étaient apparus dans cette partie de la Suède que 2 000 ans après le recul des glaciers.
(...)
Pour mois ce petit végétal qui n’a l’air de rien est symbolique du peu que nous comprenons des arbres et des forêts, et de tous les prodiges de la nature qu’il nous reste encore à découvrir.

Auteur: Wohlleben Peter

Info: La vie secrète des arbres, p 95

[ sapin ] [ Mathusalem ] [ longévité ]

 

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déboisement

Ye Wenjie n’avait qu’un seul mot pour décrire la déforestation dont elle était témoin : “folie”. Les hauts et nobles mélèzes de Dahurie, les pins sylvestres à feuilles persistantes, les gracieux bouleaux de Mandchourie, les trembles qui touchaient les nuages, les sapins de Sibérie, les bouleaux noirs, les ormes des montagnes, les frênes de Mandchourie, les chosenias, les chênes de Mongolie : ils coupaient tout ce qui se trouvait sur leur chemin. Les tronçonneuses fondaient sur les arbres comme un essaim de criquets d’acier. Partout où étaient passées les unités du Corps, il ne restait plus qu’un parterre de souches.

Auteur: Liu Cixin

Info: Le problème à trois corps

[ incompréhension ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

tanière

Je demeure chez moi autant que je le peux, dans ma soupente, au huitième étage, où il fait très froid l'hiver, trop chaud l'été. Je suis revenu aux mansardes de mon enfance. Ma soupente ressemble par ses dimensions à une cellule, à une cabine de transatlantique, à un belvédère, ou bien, quelquefois, à une dunette... Elle est meublée d'une armoire blanche, d'une table de sapin teinte au brou de noix, sur quoi j'écris, d'une chaise, d'un lit-divan où je dors, où je rêve les yeux ouverts, ou fermés, pendant que le réveil-matin grignote ce qui reste de la nuit.

Auteur: Calet Henri

Info: Le tout sur le tout

[ littérature ] [ terrier ]

 

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retour

A quinze ans je pars aux guerres, Je n'en reviens qu'à quatre-vingts, Sur le chemin quelqu'un de mon village. - Que reste-il encore chez moi ? - Voilà là-bas ta maison, Les sapins et toutes les tombes. Les lapins entrent par le trou du chien, Les faisans s'envolent des poutres, Le riz sauvage croit dans la cour, Les mauves croissent près du puits. Je pile du riz pour le faire cuire, Je cueille des mauves pour en faire un bouillon. Riz et bouillon sont bientôt prêts. Mais avec qui les partager ? Je franchis la porte et regarde vers l'Est, Les pleurs trempent mon habit.

Auteur: Guillermaz Patricia Hu P'in-ch'ing Hu Pinqing

Info: La poésie chinoise : Des origines à la révolution, Anonyme, Dynastie Han 206 à 219 av J.C.

[ solitude ] [ chagrin ]

 

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personnage

L'archiviste en chef des Archives départementales de Larcheville : Tout était facile pour cette poupée Carabosse. Elle circulait entre les bureaux avec une vélocité gracieuse, déposait une punaise dans un cendrier, compulsait un catalogue, rajustait l'alignement d'une pile de magazines, émettait des sourires menus comme les messages des abeilles, mais si sincères et si profonds qu'on les percevait comme des ondes. Elle prononçait des paroles d'une parfaite accortise. On la sentait amicale. Elle rayonnait. Peut-être pas comme un matin de printemps, mais au moins comme un sapin de Noël. Elle avait les mêmes clignotements joyeux, quelque chose de pailleté comme la fête, une allure de guirlande posée sur un bûche.

Auteur: Bartelt Franz

Info: Hôtel du Grand Cerf

[ femme-par-homme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

réminiscences

Matins d'hiver, lampe rouge dans la nuit, air immobile et âpre d'avant le lever du jour, jardin deviné dans l'aube obscure, rapetissé, étouffé de neige, sapins accablés qui laissiez, d'heure en heure, glisser en avalanches le fardeau de vos bras noirs, coups d'éventails des passereaux effarés, et leurs jeux inquiets dans une poudre de cristal plus ténue, plus pailletée que la brume irisée d'un jet d'eau... Ô tous les hivers de mon enfance, une journée d'hiver vient de vous rendre à moi ! C'est mon visage d'autrefois que je cherche, dans ce miroir ovale saisi d'une main distraite, et non mon visage de femme, de femme que la jeunesse va bientôt quitter...

Auteur: Colette Sidonie Gabrielle

Info: Cadeaux de Noël

[ hiémales ]

 

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