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curiosités

En Hébreu, chaque lettre a une correspondance chiffrée. C'est ainsi que la lettre V a le 6 comme correspondant. Certains en ont tiré comme conclusion que l'Internet est néfaste : en effet, comme le W peut être assimilé au V, le World Wide Web, WWW, serait donc 666, le chiffre de la Bête.

Auteur: Internet

Info: www.lyderic.com/cda

[ insolite ] [ interprétation ] [ satanisme ]

 

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spectacle

Le théâtre est l'habitacle propre de l'impudeur. (...)
Nous avons - j'en prends le Seigneur à témoin - le cas de cette femme qui, étant allée au théâtre, en revint possédée du démon.
Comme, au cours de l'exorcisme, on pressait l'esprit immonde d'avouer pourquoi il avait osé s'attaquer à une fidèle : "C'était parfaitement mon droit, répondit-il avec obstination, je l'ai trouvée chez moi."

Auteur: Tertullien Quintus Septimus Florens

Info: Cité dans "Dictionnaire de la Bêtise", éd. Robert Laffont, p. 438

[ religion ] [ satanisme ] [ juridiction ] [ influençabilité ] [ réflexivité ]

 

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Ajouté à la BD par Benslama

satanisme

Kérub déchu, la faiblesse est un acte ou une souffrance misérable, mais sois sûr de ceci : faire le Bien ne sera jamais notre rôle, mais faire éternellement le Mal notre seule réjouissance, car c’est le contraire de sa haute volonté, à laquelle nous nous opposons. Si donc sa Providence cherche à tourner le Mal en Bien, notre tâche sera d’inverser cette tendance et d’ouvrir la voie au Mal, à partir du Bien, entreprise qui, souvent, pourra réussir.

Auteur: Milton John

Info: Le paradis perdu

[ anti-amour ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

métal

"J'ai voulu pénétrer ce qui vous rend si fort", poursuivit [Atahualpa] dans sa méditation, le front penché vers le sol. "Je crois que j'y suis arrivé. Ce doit être l'or. Ce métal vous donne le courage de souiller toutes les choses et de vous les approprier. En les acquérant, vous vous souillez vous-mêmes. L'or métamorphose votre âme. L'or est votre dieu, votre rédempteur, comme vous l'appelez. Celui qui en possède un morceau s'estime riche. Ne connaissant pas d'autre soleil, il croit le posséder. C'est là une chose que j'ai parfaitement comprise à présent. Vous me faites pitié, êtres des ténèbres!"

Auteur: Wassermann Jakob

Info: L'or de Cajamalca

[ cupidité ] [ richesse ] [ argent ] [ satanisme ]

 

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revenante

Elle sortira. Elle en est sûre. Elle n’attend plus que la nuit prochaine. Sitôt le soleil couché, elle ouvrira sa porte, elle descendra sans bruit... Elle mordra, boira, contaminera tous les êtres humains qui se trouveront sur son passage. Elle en fera des vampires comme elle, adeptes à jamais de la nouvelle religion du sang, du corps glorieux et puant, de la charogne immortelle. Et au nom de quoi se priverait-elle de ce plaisir ? Que Dieu existe, s’il le peut, et qu’il défende, s’il le veut, ses créatures ! Le beau malheur, si toute l’humanité passe dans le camp du Diable, elle à qui la Religion n’offre que le néant !

Auteur: Gripari Pierre

Info: Dans "La vie, la mort et la résurrection de Socrate-Marie-Gripotard", éditions de la Table Ronde, 1968, page 325

[ forces maléfiques ] [ satanisme ] [ hématophilie ] [ contamination ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

pénalisation

Au commencement était le Verbe ; et, à la fin, le borborygme sous surveillance.

On me dira qu’il s’agit de sanctionner les injures à caractère "sexiste" ou les insultes "homophobes". Mais qu’est-ce qu’une injure ? Et qu’est-ce qu’une insulte ? Le simple fait de mettre entre guillemets "sexiste" et "homophobe", c’est-à-dire de prendre avec des pincettes deux termes hâtivement découpés dans cet agglo très spécial que compressent avec une inventivité satanique (car il s’agit de satanisme, et la sociologie ou la psychologie ne servent plus à rien devant de tels phénomènes, il faut inventer d’urgence une nouvelle démonologie) les dominants modernes pour forger leurs instruments punitifs, ce simple fait n’est-il pas déjà injurieux ou insultant par ce qu’il suppose de mise à distance de ces termes ? Va-t-on voir, dans les tribunaux, les linguistes ou les psycholinguistes remplacer à la barre les experts en enfance malheureuse et déterminer quand le mot "salope" est une insulte et quand il est un éloge ?

Auteur: Muray Philippe

Info: Dans "Exorcismes spirituels, tome 4", Les Belles Lettres, Paris, 2010, pages 1739-1740

[ sexe des anges ] [ règne de l'émotionnel ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

écrivain-sur-écrivain

Je ne voudrais pas établir de rapprochement entre l'auteur d'Ironie sanglante et ce comte de Lautréamont (Ducasse) dont l'éditeur de Rachilde vient justement de remettre au jour les extraordinaires Chants de Maldoror. D'analogie, il n'en est point, à part peut-être la communauté d'Injustice qui les voue à d'immérités silences. Je signale simplement le fait de ce tumultueux et imprécatoire rhéteur, de ce musicien des grandes orgues littéraires, de cet infant de lettres qui mourut sans avoir régné et probablement ne sera reconnu Prince spirituel que par un très petit nombre de ses pairs. Ce lyrique blasphémateur, qui attisa le plus virulent satanisme sur les grils de ses prosopopées, ce nébuleux et outré négateur des morales et des cultes professés, aux métaphores tendues comme des balistes ou giroyantes comme des catapultes, ce vociférateur des litanies du Péché et de la Damnation, créateur d'un antiphonaire sabbatique s'égalant aux pires rituels du Diabolisme, perturba tellement l'inepte critiquaille contemporaine qu'à part deux ou trois hauts esprits, nul ne se sentit assez sûr de ses propres lumières pour plonger dans ces gouffres d'incohérences et de ténèbres où, par moment, clame une voix merveilleusement musicale. La plénipotentiaire sottise s'effara d'un livre dont il eût fallu chercher la clef dans les effrois du moyen âge et qui, sur le crépusculaire marécage des actuels détritus littéraires, projette les noires coruscations d'un inquiétant bolide. 


Auteur: Lemonnier Camille

Info: In : Préface de La Sanglante Ironie de Rachilde *recueil liturgique canonique

[ éloge ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

satanisme

Pour Alexandre de Dânann, la caractéristique particulière du sang propre aux lignages issus du mélange avec les anges déchus est de nature luciférienne. Ainsi les postulants qui sont liés par le "pacte de sang" à ces "entités intelligentes" sont détenteurs de pouvoirs temporaires octroyés par les entités infernales qui, en contrepartie, se nourrissent de leur vitalité. Le sang vicié devient alors le véhicule des influences infernales. Pour Pierre Gordon enfin, la décollation (rite de la tête coupée) et le revêtement de la peau rituelle qui était l’apanage des chamans et des chasseurs du néolithique aboutira à la "chasse aux crânes" qui seront employés comme masques liturgiques par les sorciers de la préhistoire qui succédèrent à la théocratie du paléolithique supérieur.
[...] Si l’on en croit les théories de pointe de la physique sur l’existence d’univers parallèles pouvant en certaines occasions interférer les uns avec les autres, des procédés chamaniques spécifiques pourraient, selon certaines conditions particulières, ouvrir littéralement les portes du Barzakh qui s’apparentent à des failles cosmiques déchirant l’espace-temps. Ainsi, les sorciers errants à l’apparence étrange établis dans les zones singulières où sommeillent ces égrégores auraient pu passer des pactes avec les entités semi-divines dont les ombres et spectres hantent ces lieux reculés. C’est ce que sous-entendait Guénon lorsqu’il expliquait à propos des "sept terres" que ces dernières ne se succèdent qu’en apparence puisqu’en réalité, elles coexistent et s’interpénètrent, bien qu’une seule d’entre-elles puisse être actuellement atteinte par les sens tandis que les autres subsistent à l’état latent et ne peuvent être perçues qu’exceptionnellement et dans certaines conditions spéciales. En effet, bien que privés de raisonnement et de capacité de synthèse, nos lointains ancêtres préhistoriques n’en étaient pas moins pourvus de hautes facultés psychiques qui leur permettaient de communiquer avec l’âme du monde et les puissances cosmiques, avant qu’au prix de la conquête de leur "moi", ils ne chutent dans la multiplicité manifestée et illusoire des apparences. C’est là que l’âge d’or fut perdu et que Kronos dévora ses enfants.

Auteur: Anonyme

Info: Dans "Les magiciens du nouveau siècle", page 439

[ contre-initiation ] [ manvantara ]

 

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gnose

(FLP) - D'où vient cette idée que les âmes des êtres humains sont emprisonnées dans un monde matériel intrinsèquement mauvais, créé par un dieu inférieur, imparfait voire mauvais, le Démiurge ou Yahvé ?(Gemini) - L'idée que les âmes humaines sont emprisonnées dans un monde matériel créé par un dieu imparfait ou malveillant est une notion centrale du gnosticisme, une famille de croyances religieuses qui a fleuri dans le monde antique, en parallèle et en opposition au christianisme. Les origines de cette idée sont complexes et s'enracinent dans plusieurs courants de pensée :

Dualisme radical: Le gnosticisme repose sur une vision duale du monde, opposant un monde spirituel parfait, lieu d'origine des âmes, à un monde matériel imparfait et corrompu. Cette dualité est souvent associée à la lutte entre le bien et le mal.

- Le Démiurge:  figure centrale du gnosticisme. Il est souvent décrit comme un dieu créateur inférieur, ignorant ou malveillant, qui a façonné le monde matériel à partir d'une matière première préexistante. Il est distinct du Dieu suprême, bienveillant et inaccessible, dont les âmes aspirent à rejoindre.

La chute de l'âme: Les gnostiques croyaient en une chute originelle de l'âme, qui a été emprisonnée dans un corps matériel par le Démiurge. Cette chute est souvent associée à l'ignorance et à l'oubli de la nature divine de l'âme.

Le salut gnostique: Le but ultime de l'existence, pour les gnostiques, est de s'échapper du monde matériel et de retrouver son unité avec le Dieu suprême. Cela se fait généralement grâce à une connaissance secrète (la gnose) transmise par des initiés.

(FLP) - on n'est pas loin du satanisme, non ?

(Gemini) - C'est une question intéressante qui soulève un point de convergence et de divergence entre le gnosticisme et le satanisme.

Points de convergence:

Rébellion contre l'autorité divine: Tant les gnostiques que certaines interprétations du satanisme expriment une forme de rébellion contre une figure divine considérée comme oppressive ou injuste. Le Démiurge gnostique et le Dieu du christianisme (identifié souvent à Satan dans certaines formes de satanisme) sont tous deux perçus comme des figures d'autorité à défier.

Valorisation de la matière: Le gnosticisme, tout en considérant la matière comme une prison pour l'âme, peut aussi être interprété comme valorisant certaines expériences sensuelles et matérielles. Certaines formes de satanisme, elles, célèbrent ouvertement la matérialité et les plaisirs corporels, en opposition à ce qu'elles perçoivent comme une répression religieuse.

Points de divergence:

Nature du mal: Dans le gnosticisme, le mal est souvent associé à l'ignorance et à l'illusion, plutôt qu'à une force active et maléfique comme Satan. Le Démiurge n'est pas nécessairement un être diabolique, mais plutôt un créateur limité et imparfait.

But ultime: Le but ultime du gnostique est de s'échapper du monde matériel et de rejoindre le divin. Le sataniste, quant à lui, peut avoir des objectifs plus variés, allant de la rébellion pure et simple à une quête de connaissance et de pouvoir.

Morale: Si le gnosticisme peut sembler offrir une certaine liberté morale en libérant l'individu des contraintes religieuses, il n'en reste pas moins une quête spirituelle. Le satanisme, dans certaines de ses interprétations, peut prôner une éthique individualiste et amorale, en rupture avec les valeurs traditionnelles.

En conclusion, bien qu'il existe des points communs entre le gnosticisme et certaines formes de satanisme, il est important de ne pas les confondre. Le gnosticisme est une religion complexe avec une cosmologie élaborée, tandis que le satanisme est un mouvement plus hétérogène et souvent associé à des pratiques occultes ou à des attitudes anti-religieuses. 

Auteur: Google Bard chatbot

Info:

[ judaïsme ] [ bipolarité ]

 

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post-matérialisme

Comme nous le disions aussi précédemment, s’il est vrai que l’emprise du matérialisme diminue, il ne convient pourtant guère de s’en féliciter, car, la "descente" cyclique n’étant pas encore achevée, les "fissures" [...] ne peuvent se produire que par le bas ; autrement dit, ce qui "interfère" par là avec le monde sensible ne peut être rien d’autre que le "psychisme cosmique" inférieur, dans ce qu’il a de plus destructif et de plus "désagrégeant", et il est d’ailleurs évident qu’il n’y a que les influences de cette sorte qui soient vraiment aptes à agir en vue de la dissolution ; dès lors, il n’est pas difficile de se rendre compte que tout ce qui tend à favoriser et à étendre ces "interférences" ne correspond, consciemment ou inconsciemment, qu’à une nouvelle phase de la déviation dont le matérialisme représentait en réalité un stade moins "avancé", quelles que puissent être les apparences extérieures, qui sont souvent fort trompeuses.
Nous devons en effet remarquer à ce propos que des "traditionalistes" mal avisés se réjouissent inconsidérément de voir la science moderne, dans ses différentes branches, sortir quelque peu des limites étroites où ses conceptions s’enfermaient jusqu’ici, et prendre une attitude moins grossièrement matérialiste que celle qu’elle avait au siècle dernier ; ils s’imaginent même volontiers que, d’une certaine façon, la science profane finira par rejoindre ainsi la science traditionnelle (qu’ils ne connaissent guère et dont ils se font une idée singulièrement inexacte, basée surtout sur certaines déformations et "contrefaçons" modernes), ce qui, pour des raisons de principe sur lesquelles nous avons souvent insisté, est chose tout à fait impossible. Ces mêmes "traditionalistes" se réjouissent aussi, et peut-être même encore davantage, de voir certaines manifestations d’influences subtiles se produire de plus en plus ouvertement, sans songer aucunement à se demander quelle peut bien être au juste la "qualité" de ces influences (et peut-être ne soupçonnent-ils même pas qu’une telle question ait lieu de se poser) ; et ils fondent de grands espoirs sur ce qu’on appelle aujourd’hui la "métapsychique" pour apporter un remède aux maux du monde moderne, qu’ils se plaisent généralement à imputer exclusivement au seul matérialisme, ce qui est encore une assez fâcheuse illusion. Ce dont ils ne s’aperçoivent pas (et en cela ils sont beaucoup plus affectés qu’ils ne le croient par l’esprit moderne, avec toutes les insuffisances qui lui sont inhérentes), c’est que, dans tout cela, il s’agit en réalité d’une nouvelle étape dans le développement, parfaitement logique, mais d’une logique vraiment "diabolique", du "plan" suivant lequel s’accomplit la déviation progressive du monde moderne ; le matérialisme, bien entendu, y a joué son rôle, et un rôle incontestablement fort important, mais maintenant la négation pure et simple qu’il représente est devenue insuffisante ; elle a servi efficacement à interdire à l’homme l’accès des possibilités d’ordre supérieur, mais elle ne saurait déchaîner les forces inférieures qui seules peuvent mener à son dernier point l’œuvre de désordre et de dissolution.
L’attitude matérialiste, par sa limitation même, ne présente encore qu’un danger également limité ; son "épaisseur", si l’on peut dire, met celui qui s’y tient à l’abri de toutes les influences subtiles sans distinction, et lui donne à cet égard une sorte d’immunité assez comparable à celle du mollusque qui demeure strictement enfermé dans sa coquille, immunité d’où provient, chez le matérialiste, cette impression de sécurité dont nous avons parlé ; mais, si l’on fait à cette coquille, qui représente ici l’ensemble des conceptions scientifiques conventionnellement admises et des habitudes mentales correspondantes, avec l’"endurcissement" qui en résulte quant à la constitution "psycho-physiologique" de l’individu , une ouverture par le bas, comme nous le disions tout à l’heure, les influences subtiles destructives y pénétreront aussitôt, et d’autant plus facilement que, par suite du travail négatif accompli dans la phase précédente, aucun élément d’ordre supérieur ne pourra intervenir pour s’opposer à leur action. On pourrait dire encore que la période du matérialisme ne constitue qu’une sorte de préparation surtout théorique, tandis que celle du psychisme inférieur comporte une "pseudo-réalisation", dirigée proprement au rebours d’une véritable réalisation spirituelle […].

Auteur: Guénon René

Info: Dans "Le règne de la quantité" pages 165-167

[ new age ] [ spiritualité moderne ] [ satanisme ]

 

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