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question

Serons-nous capables de choisir les éléments de la technologie qui améliorent la qualité de vie et d'éviter ceux qui la détériorent ?

Auteur: Baltimore David

Info:

[ progrès ]

 

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temporel-éternel

Ne vous inquiétez donc pas, et ne dites pas : Que mangerons-nous ? que boirons-nous ? de quoi serons-nous vêtus ? Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus. Ne vous inquiétez donc pas du lendemain : car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine.

Auteur: La Bible

Info: La Sainte Bible, traduction Louis Segond, Évangile de Matthieu, 6, 31-34

[ présent ] [ confiance ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

religion

Le salut n'est pas chose facile. Le salut est une énigme, la plus complexe jamais imaginée. Dans un millier d'années, nous serons peut-être en mesure enfin de déchiffrer le premier mot de la question. Dans un millions d'années, nous pourrons nous mettre au travail pour trouver la réponse. Et quand l'univers se sera effondré sur lui-même, et que les mondes dispersés en son sein auront été dévorés par des soleils voraces, peut-être serons-nous au seuil du triomphe, prêts à rejoindre les anges.

Auteur: Somers Jeff

Info: Avery Cates, tome 1 : Église Électrique

[ mystère ]

 

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obligation

Le devoir est une chose triste, laide, inventée pour abêtir et duper les hommes. Rien que le mot est disgracieux. Il éveille la contrainte, l'ennui. Il n'y a que les sots pour le prendre au sérieux. Regardez la figure niaise d'un homme qui se félicite d'accomplir son devoir. Voyez comme sont peu aimables les femmes qui n'ont jamais oublié leur devoir. Rappelez-vous toutes les phrases hypocrites et creuses avec lesquelles on célèbre le devoir. Il en est du devoir comme de la vertu : chose et mot, c'est haïssable. Le plaisir est bien autrement important. Il ne faut jamais hésiter à le faire passer avant. La vie est si courte, si rapide ! Serons-nous encore là demain ? Il faut détester tout ce qui, sous une forme ou une autre, s'oppose au plaisir.

Auteur: Léautaud Paul

Info: Le théâtre de Maurice Boissard, Oeuvres, Mercure de France 1988, p.1639

[ négatif ]

 

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séparation

Puisqu'il n'y a plus d'espoir, partons sur un baiser.

Pour moi tout est fini, je vous le dis sans honte,

Et je me sens heureux, le cœur vraiment léger,

De m'être libéré de vous à si bon compte.

Lors serons-nous la main, annulons tout nos vœux.

Si le hasard un jour voulait notre rencontre,

Que dans notre visage ou l'écho de nos yeux

Notre commun passé aucun signe ne montre.

En ce jour d'agonie où notre amour s'endort,

Où le pouls faiblissant la passion succombe,

Où la foi en priant veille à son lit de mort,

Et l'innocence enfin lui prépare une tombe,

Ce jour si tu voulais, quand tous le voient mourir,

Il pourrait grâce à toi par miracle guérir.

Auteur: Drayton Michael

Info: Idea, traduction inédite de Henri Suhamy

[ soulagement ] [ renouveau ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

infigurable

Et si nous revenons à la solitude, il devient de plus en plus clair qu'elle n'est pas une chose qu'il nous est loisible de prendre ou de laisser. Nous sommes solitude. Nous pouvons, il est vrai, nous donner le change et faire comme si cela n'était pas. Mais c'est tout.

Comme il serait préférable que nous comprenions que nous sommes solitude ; oui : et partir de cette vérité ! Sans nul doute serons-nous alors pris de vertige, car tous nos horizons familiers nous aurons échappé ; plus rien ne sera proche, et le lointain reculera à l'infini. Seul un homme qui serait placé brusquement, et sans y avoir été aucunement préparé, de sa chambre au sommet d'une haute montagne, éprouverait quelque chose de pareil : une insécurité sans égale, un tel saisissement venu d'une force inconnue, qu'il en serait presque détruit. S'il imaginait qu'il va tomber, ou être jeté dans l'espace, ou encore éclater en mille morceaux, quel monstrueux mensonge son cerveau devrait-il inventer pour qu'il puisse recouvrer ses sens et les mettre en ordre ! Ainsi pour celui qui devient solitude, toutes les distances, toutes les mesures changent.

Beaucoup de ces changements sont subits. Comme chez cet homme au sommet de la montagne, naissent en lui des images extraordinaires, des sentiments étranges qui semblent défier sa résistance. Mais il est nécessaire que nous vivions cela aussi. Nous devons accepter notre existence aussi complètement qu'il est possible.

Au fond, le seul courage qui nous est demandé est de faire face à l'étrange, au merveilleux, à l'inexplicable que nous rencontrons.

Auteur: Rilke Rainer Maria

Info:

[ réel ] [ radicalement autre ] [ changement de point de vue ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

quête

Nous autres microbes avons réalisé au cours du temps que nous vivions sur une sphère posée dans l'espace. Puis la notion de pôles apparut, la terre se retrouva avec un axe de rotation, le pôle nord en haut, le pôle sud en bas. Est-ce ainsi posé de manière subjective ? Pourquoi pas le sud en haut ?
Et ce deuxième axe, le soleil, pulsation centrale d'un insecte terre qui lui tourne autour de manière cyclique, sur une orbite conditionné par quelque hasard cosmique, sous tendu lui-même et explicité par des lois physiques humaines transitoires. Astre du jour avec ses humeurs, coups de chaud, éruptions électro magnétiques... et son cortège de planètes en orbites, presque toutes sur le même plan. L'ensemble avec l'aspect graphique d'un atome géant, un parmi les 200 millards de la galaxie, elle-même perdue parmi une infinité d'autres ?
Quelle sera la prochaine avancée dans la représentation spatiale des hommes et de leur vaisseau mère? Quelle sera celle donnée par leur quête des fondements de la matière ? Serons-nous appelé à véritablement agrandir cette connaissance intérieure qui, que ce soit vers l'infiniment grand ou le minuscule ultime, apparait de plus en plus comme une démonstration de nos limites... ou le miroir de nos cerveaux ?
Ou devrons-nous trouver la voie hors du chemin d'une étude cartésienne de la matière minérale et ce prisme de nos perceptions étriquées ?
Parce que par exemple, dans l'histoire des sciences, nous sommes passé d'une physique bien carrée... pour arriver au mur tout aussi complexe de la biologie, de moins en moins réductible à de simples causes/conséquences...
Ainsi la génétique nous à permis de creuser et d'affiner, sans arriver à quitter les démonstrations "mécanistes"... Multipliant les incertitudes
Avec ce trou béant en biophysique.
Bon. Disons qu'on arrive à avancer sensiblement dans notre compréhension de ces choses.
Alors ensuite : on quitte la matière pour de bon, on se met sur un autre plan ?

Auteur: Mg

Info: 27 mai 2012

[ interrogation ] [ question ]

 

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