dernières paroles
Petite âme, vaguelette, mignonnette,
Très chère compagne de mon corps,
Où descends-tu... seulette
Toute livide grelottante et nue
Jamais plus ne seras guillerette!
Auteur:
Hadrien
Années: 0076 - 0138
Epoque – Courant religieux: Empire romain
Sexe: H
Profession et précisions: empereur
Continent – Pays: Europe - Italie
Info:
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sémiotique
Une vraie et profonde quête étymologique devrait pouvoir s'aborder comme une étude pétrographique qui part de la formation des atomes produits par le cosmos.
Elle prendrait ensuite et alors sa source dans l'étude des sens et caractéristiques évolutives de l'espèce observée, ensuite de ses signes symboles primitifs, pour s'intéresser alors aux évolutions diverses de ses langages construits et articulés - avec compréhension holistique de leurs développements sémantiques aux fils des générations et des civilisations.
FLP ne serait à cet égard qu'infinitésimal grain de sable, perdu sur quelque plage d'une planète oubliée de la galaxie. Cette dernière toute seulette parmi ses milliards de consoeurs.
Auteur:
Mg
Années: 1958 - 20??
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: musicien, compilateur, sémioticien, directeur, guitariste, compositeur-chercheur, entrepreneur, astacologue, écrivain, imprimeur-éditeur-producteur, linguiste, père de famille, chansonnier, politicien très local, brocanteur, bûcheron, agent-couchettes...
Continent – Pays: Europe - Suisse
Info:
4 août 2018
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citation s'appliquant au logiciel
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géologie
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synéchisme
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déclaration d'amour
Or que l'hiver roidit la glace épaisse,
Réchauffons-nous, ma gentille maîtresse,
Non accroupis près le foyer cendreux,
Mais aux plaisirs des combats amoureux.
Assisons-nous sur cette molle couche.
Sus ! Baisez-moi, tendez-moi votre bouche,
Pressez mon col de vos bras dépliés,
Et maintenant votre mère oubliez.
Que de la dent votre tétin je morde,
Que vos cheveux fil à fil je détorde.
Il ne faut point, en si folâtres jeux,
Comme au dimanche arranger ses cheveux.
Approchez donc, tournez-moi votre joue.
Vous rougissez ? Il faut que je me joue.
Vous souriez : avez-vous. Point ouï
Quelque doux mot qui vous ait réjoui ?
Je vous disais que la main j'allais mettre
Sur votre sein : le voulez-vous permettre ?
Ne fuyez pas sans parler : je vois bien
A vos regards que vous le voulez bien.
Je vous connais en voyant votre mine.
Je jure Amour que vous êtes si fine,
Que pour mourir, de bouche ne diriez
Qu'on vous baisât, bien que le désiriez ;
Car toute fille, encor' qu'elle ait envie
Du jeu d'aimer, désire être ravie.
Témoin en est Hélène, qui suivit
D'un franc vouloir Pâris, qui la ravit.
Je veux user d'une douce main-forte.
Hà ! Vous tombez, vous faites jà la morte.
Hà ! Quel plaisir dans le coeur je reçois !
Sans vous baiser, vous moqueriez de moi
En votre lit, quand vous seriez seulette.
Or sus ! C'est fait, ma gentille brunette.
Recommençons afin que nos beaux ans
Soient réchauffés de combats si plaisants.
Auteur:
Ronsard Pierre de
Années: 1524 - 1585
Epoque – Courant religieux: renaissance
Sexe: H
Profession et précisions: poète
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Recueil : Second livre des Amours, Amourette
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poème
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