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finances mondiales

L'instabilité vient surtout de l'interface entre le fait que les banques (ou banques de l'ombre) peuvent créer du crédit, de l'argent et du pouvoir d'achat en quantités infinies sans contrainte de notre part, ainsi que par le fait que le crédit est principalement créé pour financer l'achat de biens immobiliers urbains et de terrains, pour lesquels l'offre est assez peu variable.

Auteur: Adair Turner Jonathan baron of Ecchinswell

Info: www.huffingtonpost.com

[ shadow banking ]

 

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finances

Mais le problème ne viendra probablement pas des banques. On assiste aujourd’hui à l’émergence des shadow banking, ce sont des autres entités, souvent des fonds d’investissement, qui agissent et opèrent comme des banques mais qui n’en sont pas. Et ces entités ne sont pas réglementées. C’est une zone grise dans le système financier international. En Chine, la dette globale a doublé en 10 ans. Une partie de cette dette se situe dans les mains du shadow banking. On ne sait pas ce qui se passe là-dedans, on n’y voit pas clair sur les liens avec les banques classiques, c’est très nébuleux et là on peut s’attendre à des surprises.

Auteur: Johan Van Overtveldt

Info: https://www.lecho.be, 21 sept. 2018

[ occultes ] [ paradis fiscaux ]

 

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pouvoir

Dette mondiale : la prochaine crise proviendra de la flambée de l’endettement
Si la grande récession de 2008 n’a pas basculé en grande dépression comme celle de 1929, c’est grâce aux amortisseurs sociaux mis en place au lendemain de la Seconde Guerre mondiale (indemnisation chômage, transferts de revenus, etc.). En outre, les Etats, incités par le G20 et le Fonds monétaire international (FMI), ont appuyé sur l’accélérateur. Tous les grands pays ont augmenté leurs dépenses favorisant un rebond conjoncturel très net. La contraction de l’industrie mondiale a, en effet, été violente et en parfaite ligne avec la crise de 1929. Mais la comparaison s’arrête là avec le rebond apparu dès 2009.
Le prix à payer a été élevé. La dette publique a flambé, pour atteindre des niveaux inconnus jusqu’alors. La France frôle le niveau record de 100 % du PIB, contre à peine plus de 60 % en 2007. En Italie, elle atteint 130 % du PIB depuis des années, obligeant les gouvernements qui se sont succédé à maintenir un large excédent public primaire (hors paiements d’intérêts). Et, pourtant, l’Italie était traitée de passager clandestin pendant la crise pour son manque d’ambition à relancer l’activité. Un comble !
Deux fois et demie le PIB
Il aura fallu dix ans pour que tous les pays de la zone euro voient leur déficit revenir sous la barre des 3 % du PIB, l’un des critères européens. Ces contraintes imposées sont essentielles pour permettre aux Etats de répondre à une nouvelle crise.
L’endettement n’est pas que public. La dette privée est aussi sur la sellette. En France, le secteur privé non financier continue de croître, pour atteindre 130 % du PIB au premier trimestre 2018 (58,4 % pour les ménages et 72,7 % pour les sociétés non financières, selon les chiffres publiés mardi par le Haut Conseil de stabilité financière, HCSF).
Au niveau mondial, la dette totale a atteint 260 % du PIB. Une partie est entre les mains d’acteurs financiers dérégulés, le shadow banking. Ces intermédiaires ont vu leur activité s’envoler avec le durcissement de la réglementation bancaire auquel ils échappent. Il ne faut pas croire que les produits structurés à l’origine de la crise des subprimes aient disparu, ils ont surtout changé de forme et de mains.
C’est en Chine que les craintes sont les plus fortes. La dette, très élevée, est concentrée dans les entreprises d’Etat. Des efforts ont été réalisés, mais insuffisamment aux yeux des experts. C’est une des raisons pour laquelle les capitaux retournent très rapidement aux Etats-Unis (fly to quality) en cas de montée des tensions. Internet,

Auteur: Internet

Info: INVESTIR.FR, 19 sept 2018

[ créanciers ] [ occultes ]

 

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