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coincidences

Nous ne créons pas notre destin; nous participons à son déroulement. La synchronicité fonctionne comme un catalyseur vers l'élaboration de ce destin.

Auteur: Richo David

Info: The Power of Coincidence: How Life Shows Us What We Need to Know

[ existence ]

 

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enfance

La plupart des criminels condamnés sont des personnes qui n'ont simplement pas été visiter les musées ou les shows musicaux de Broadway quand ils étaient petits.

Auteur: Gelman-Waxner Libby Paul M. Rudnick

Info:

[ éducation ] [ essentiel ]

 

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question

Combien y a-t-il d'informations utiles dans ce monde ? 90 % des informations que je reçois tous les jours sont de la merde ! Des messages de Facebook ou de WhatsApp, des nouvelles de stars, des shows de téléréalité, de la publicité, des spams, des consignes de mes patrons ! La seule manière d'organiser ces informations, c'est de les foutre à la poubelle.

Auteur: Elsberg Marc

Info: Zero : Ils savent ce que vous faites, p. 48

[ gafam ] [ spam ] [ Internet ]

 

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perdu

Je suis un homme invisible... Je suis un homme de substance, de chair et d'os, fibres et liquides - on pourrait même dire que je possède un esprit. Je suis invisible, comprenez, simplement parce que les gens refusent de me voir. Comme ces corps sans têtes qu'on voit parfois dans les shows du cirque. C'est comme si j'étais entouré de miroirs distortionnants. Quand ils m'approchent ils voient seulement ce qui m'environne, eux-mêmes, ou des fragments de leur imagination - c'est ça, tout et n'importe quoi, moi excepté.

Auteur: Ellison Ralph Waldo

Info: Invisible Man, Narrator, p. 3, Vintage, 1995, orig. 1947, Prologue

[ foule ]

 

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sécularisation

D'obédience pentecôtiste, Hillsong est une Église évangélique fondée en 1983 par le pasteur australien Brian Houston et sa femme Bobbie. Elle est aujourd'hui implantée dans le monde entier. L'influence de cette megachurch que certain·es comparent à un empire s'étend ainsi dans une vingtaine de pays. De Bali à Buenos Aires, en passant par Berlin, Oslo, Paris, Moscou ou encore Johannesburg, on y retrouve partout la même recette qui a fait le succès d'Hillsong: des shows spectaculaires où le rock chrétien occupe une place centrale. Depuis sa création, l'Église a en effet produit pas loin de soixante-trois albums, le second opus de son groupe Hillsong Young & Free lui valant même une nomination aux Grammy Awards.

Avec, d'après son site officiel, pas loin de 110.000 dollars (98.000 euros) de recettes en 2017 et une affluence de 130.000 personnes par semaine, le succès d'Hillsong ne semble pas se démentir. La raison de cette réussite: le magnétisme qu'elle opère sur les plus jeunes, puisque près de 70% de ses fidèles ont moins de 34 ans. Pour ramener ce public sur les bancs de l'église, Hillsong a mis en place une stratégie qui leur parle. Présente sur YouTube, elle est aussi sur Instagram, où elle reprend les codes graphiques des millennials. En France, l'Église, implantée dans les villes de Paris, Massy, Lyon et Marseille, communique sur ses soirées "Cœur et âme" ou ses aprèms "Ping-pong et Planchas". Les fidèles les plus fervent·es peuvent même se laisser tenter par le tote bag "†=♥" ou par des casquettes et bonnets siglés.

Auteur: Rey Adrienne

Info: https://www.slate.fr/story/175113/hillsong-eglise-evangelique-millennials?

[ adaptation ] [ entertainment ] [ temps modernes ] [ réinvention ] [ drague ] [ prosélytisme ] [ secte ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

industrie du divertissement

Ce sont des Juifs qui ont imaginé la technique perverse des burlesque shows, l'exploitation systématique d'un érotisme que l'on exacerbe avec de diaboliques raffinements sans jamais lui permettre de se satisfaire. Ce sont eux qui ont inventé les taxi girls, cette forme de la traite des blanches plus avilissante que la prostitution. Ce sont eux qui ont multiplié à travers New-York ces gigantesques salles de spectacle dont la monstruosité est la honte de notre époque. À Paris, le Rex de M.Jacques Haïk, avec son plafond badigeonné au bleu d'outremer et piqué d'étoiles, avec ses nymphes de plâtre, ses minarets, ses balcons gothiques et ses pergolas, nous offre un assez bel exemple de ce que peut réaliser Israël lorsqu'il a les coudées franches. Les Juifs de New-York ne sont ni moins ni plus barbares que M.Jacques Haïk, mais comme ils sont beaucoup plus puissants que leurs compatriotes du ghetto de Paris, leur mauvais goût s'étale et s'impose avec plus d'insolence encore. C'est une débauche de colonnades corinthiennes et de gargouilles, d'ornements massifs outrageusement dorés, et de lambris aux couleurs criardes, l'accumulation forcenée de tout ce qu'il ne faut pas faire, de tout ce qu'il faut éviter. Le voyageur qui a visité le Paramount de New-York, ou le Roxy, ou l'Hippodrome, se hâte de conclure que les Américains ne conçoivent que des monstruosités. Ce qui est très injuste. Je ne prétends certes point que les Américains ont dans l'ensemble le goût très sûr. (Ils ont cependant créé en Nouvelle-Angleterre et dans les États du Sud un "style colonial" qui ne manque pas de charme). Mais les fautes de goût les plus visibles, les plus affligeantes que l'on note à New-York et ailleurs (je pense aux castels médiévaux des ploutocrates d'Hollywood) sont d'abord la manifestation de l'esthétique juive triomphante. Les vrais Américains — en ceci comme pour bien d'autres choses — supportent les conséquences de leur méconnaissance du problème juif. Ils se sont laissé asservir et on les tient pour responsables des attentats auxquels se livrent leurs conquérants. On dit également chez nous, pour flétrir l'immonde Paris-Soir des distingués industriels Beghin et Prouvost, qu'il a introduit dans notre presse les mœurs américaines. Américaines ? Allons donc... Il n'y a pas de journaux américains à New-York. Il n'y a que des journaux juifs. Et ceux qui ne le sont pas complètement ont bien été forcés de suivre le mouvement, de copier la formule qui réussit si merveilleusement, de tout sacrifier au scandale, au sensationnel, de fignoler des présentations tapageuses, d'élever à la hauteur d'un art le mépris du lecteur.

Auteur: Cousteau Pierre-Antoine

Info: l'Amérique Juive (1942, 100 p.)

[ laideur ] [ antisémitisme ] [ nouveau monde ] [ presse ] [ colonisation ] [ noyautage ] [ capitalisme ] [ cosmopolitisme ]

 

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