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art pictural

Ce que j'aime le plus, c'est l'observation du mouvement des couleurs. C'est seulement en ça que j'ai trouvé les lois de ces contrastes de couleurs simultanés et complémentaires qui nourrissent le rythme réel de ma vision. En cela je trouve l'essence réelle, une essence qui n'est pas issue d'un système ou d'une théorie a priori.

Auteur: Macke August

Info:

[ création ] [ peinture ] [ instinct ]

 

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synchronisme

Une définition de la simultanéité diffère d'une autre parce que des événements qui sont simultanés dans une définition peuvent se produire de manière successive dans une autre. Ce qui peut être la projection simultanée d'un segment en mouvement dans une définition se passe comme pour une "photographie par obturation à plan focal" dans une autre.

Auteur: Reichenbach Hans

Info: The Philosophy of Space and Time 1928, traduit par Maria Reichenbach, 1957, p 25

[ complexité ] [ continuité ] [ à-coups ]

 

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continent contrapuntique

L’opulence des polyphonies européennes a témoigné en faveur des ambitions des créateurs qui les ont servies : mettre en place un monde esthétique dans lequel sons simultanés et sons successifs sont inséparables les uns des autres, comme devraient l’être les habitants des cités d’Europe. Même la thermodynamique de Boltzmann, qui tente de contenir dans une seule unité de gaz stable les mouvements incontrôlables des particules individuelles de ce gaz, ne pourrait apprivoiser une telle multiplicité d’événements. La générosité esthétique l’emporte à l’évidence sur l’ambition calculatrice. Ainsi allaient les compositeurs européens, jusqu’à une époque récente où les nuages lourds des décibels amplifiés n’emportaient pas encore dans leurs orages tétanisants la subtilité des harmonies concertantes. 

Auteur: Gautier Jean-François

Info: Ce que nous sommes. Aux sources de l’identité européenne, Philippe Conrad dir., édition Institut Iliade / Pierre-Guillaume de Roux, 2018

[ ancien monde ] [ analogie musicale ] [ passéisme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

écrivaine

Dans ce sujet télévisé sur Anaïs Nin il est raconté combien elle fut louvoyeuse, menteuse, libre... 

Elle multiplia les amants simultanés, ne pouvait s'imaginer en mère et se fit avorter, demandant qu'on ne l'anesthésie pas durant l'opération afin de pouvoir mieux conter la chose. (12 pages dans son journal)

Retrouvant son père à l'âge de 30 ans - après quasi 20 ans de séparation - elle coucha de plein gré avec lui, deux fois, mais sans parvenir à la jouissance, preuve d'une "limite" dans sa psyché... 

Nancy Huston analyse la vie d'Anaïs comme la transmutation de cette incarnation-là en littérature alors que Belinda Cannone, en toute fin, la considère comme insaisissable.

Auteur: Mg

Info: A propos du documentaire d'Daniel Ablin et Serge July "Anïs Nin : Vivre sans entrave"

[ personnage ] [ résumée ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

manifestation actée

La vraie, la seule histoire d’une personne humaine, c’est l’émergence graduelle de son vœu secret à travers sa vie publique; en agissant, loin de le souiller, elle le purifie. La vraie, la seule histoire d’un peuple, c’est la montée folklorique de ses réactions collectives, thèmes archétypiques lui servant à classer et à juger les témoins "engendrés" par sa masse. Le peuple les somme, au nom de serments communs; mais eux doivent fidélité privée à leurs vœux. Aussi la courbe de vie de chacun de nous se tend, pour l’ordalie; se noue, en "nœud d’angoisse", prise entre son vœu et ses serments; jusqu’à réaliser, parfois, une prise de conscience héroïque du sacré, expiatrice de la crise collective. L’âme subit alors le choc de l’événement réalisant son vœu par les serments mêmes qui en brisent le secret, l’interprétant comme l’intersigne*, très folklorique, du thème de son destin.

Auteur: Massignon Louis

Info: Un vœu et un destin : Marie-Antoinette, reine de France. *lien mystérieux qui unirait deux faits simultanés mais géographiquement ou temporellement séparés

[ révélation progressive ] [ privé-public ] [ psycho-sociologie ] [ notoriété responsable ] [ fait source ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

coopération

La notion de coopétition désigne l'association de comportements stratégiques de coopération et de compétition (concurrence) simultanés de la part de deux ou plusieurs entreprises. Cette notion provient du travail de deux auteurs américains : Nalebuff et Brandenburger - coopération Cette logique de coopétition est présente dans le concept d'écosystème d'affaires et explique comment deux entreprises bien que concurrentes puissent être également partenaires. Par exemple, en novembre 2005, IBM et Oracle, bien que rivales dans plusieurs secteurs d'activités, ont établi un partenariat afin de capter le marché des ERP pour PME (middle market). Oracle va profiter du réseau de distribution d'IBM tandis que les ingénieurs commerciaux d'IBM pourront profiter d'un transfert de compétences. Par exemple aussi, lorsque deux associations à but non lucratif présentent chacune un dossier pour répondre à un appel à candidature afin d'obtenir un financement public, et qu'elles s'informent ouvertement de leurs intentions en publiant leur projet sur le web, elle adoptent une approche coopétitive. Cela favorise la compétition transparente, l'émulation de nouvelles démarches, l'intelligence collective, l'émergence de communautés de pratiques.

Auteur: Internet

Info: Wikipedia

[ alliance ]

 

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baise

A la différence de la lecture des pages écrites, la lecture que les amants font de leur corps (de ce concentré de corps et d’esprit dont les amants se servent pour coucher ensemble) n’est pas linéaire. Commencée n'importe où, elle saute, se répète, revient en arrière, insiste, se ramifie en messages simultanés et divergents, elle revient pour converger, elle affronte des moments de lassitude, tourne la page, retrouve le fil, se perd. On peut y reconnaître une direction, un parcours dirigé vers une fin, dans la mesure où elle tend vers un climax, et qu'en vue de cette fin elle dispose des phases rythmiques, des scansions métriques, des retours de motifs. Mais le climax est-il vraiment sa fin ultime ? Ou la course en direction de cette fin ne s'oppose-t-elle pas à un autre élan qui s'épuise, à contre-courant, à remonter les instants, à récupérer du temps ?

Si l'on voulait représenter l'ensemble au moyen d'un graphique, chaque épisode nécessiterait, avec son point culminant, un modèle à trois dimensions, peut-être à quatre ; aucun modèle, aucune expérience ne peut se répéter. Ce par quoi l'acte sexuel et la lecture se ressemblent le plus, c'est que s'ouvrent en eux des temps et des espaces différents du temps et de l'espace mesurables.

Auteur: Calvino Italo

Info: Si par une nuit d'hiver un voyageur, 2015 : pp. 220-221

[ rencontre ] [ analogie ]

 

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science-fiction

Ce décodeur multi-quantique universel, en permettant de geler et de fixer certaines plages-séquences - elles-mêmes complexes enchevêtrements simultanés en mouvement - permet alors de les comparer entre elles via de très raffinées simulations. Ces simulations comparatives, qui ne sont encore que de pauvres transpositions de qualité médiocres, apportent cependant un nouvel éclairage. Ce que nous appelons un changement de paradigme véritable.

Ecoutez-moi bien : les planètes sont des matrices, chacune est le socle créateur où se développe un éco système interconnecté, évolution locale fondée et auto imprégnée des couches successives d'une évolution propre articulée sur des spécificités et des paramètres d'un temps T à un endroit E. Résultat : chaque développement organique planétaire a des bases si "originales" en terme de syntonisation de ses vibrations sources que l'intrication singulière développée sur une planète X ou Y rend la vie de sa surface invisible aux autres, sauf rarissimes exceptions que la théorie prédit mais n'a pas encore découvertes.

Par exemple nous autres ne pouvons distinguer que des amas gravitationnel rond, constitués d'atomes et de particules en apparence identiques aux nôtres, ce qui est une erreur.

C'est à dire que tout monde-sphère autre que le sien apparaît comme "désert" aux yeux de l'explorateur étranger, même si ces deux mondes sont dans le même système solaire. Les vies des planètes sont isolées les unes des autres à cause de ces déphasages.

Une autre équipe à aussi montré que deux mondes proches avec un paramétrage biophysique d'origine quasi similaire ne font pas émerger des systèmes de vie perceptibles l'un pour l'autre, ce qui donne une idée de l'infinie finesse de ces variations poly vibratoires. Tout décalage biophysique quantique originel modifie donc profondément la perception de ce que l'observateur appelle "vie non minérale évoluée" à la surface d'une planète autre que la sienne.

Ici telle planète-civilisation très ancienne et complexe apparaît comme un monde invivable parce que déchiré par de puissants cyclones sous des pressions atmosphériques inimaginables pour nous. Là une autre sphère biotope à un stade plus précoce de son évolution, qui est vue comme un enfer désertique et glacial douché par de fréquentes pluies de méthane. Ou là encore, telle planète, sans lumière parce que trop éloignée de son soleil et entièrement recouverte d'un océan-banquise instable, empêchera même d'imaginer un vie à sa surface. Et pourtant cet obscur chaudron abrite des organismes, si loin de nous que vouloir les décrire, même si c'est formellement possible, constitue une entreprise ridicule.

C'est de ces constats que naquit l'hyper-relativité.

Auteur: Mg

Info: 26 octobre 2017 - Les théories de Piel Essiarf, In "A la recherche de Zoul"

[ solipsisme planétaire ] [ dé-syntonisation ] [ limitations sensorielles ] [ niveaux vibratoires ] [ autopoïèse ] [ self-organisation ] [ exoplanètes ]

 
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injonction contradictoire

Vous avez pu entendre Madame Pankow vous parler de quelqu’un qui est loin d’être né de la dernière pluie, à savoir Monsieur G. Bateson, anthropologue et ethnographe, qui a apporté quelque chose qui nous fait réfléchir un peu plus loin que le bout de notre nez, concernant l’action thérapeutique. Il essaye de formuler quelque chose qui est au principe de la genèse du trouble psychotique, dans quelque chose qui s’établit entre la mère et l’enfant, et qui n’est pas simplement l’effet de tension, de rétention, de défense, de ratification, de frustration, au sens élémentaire que je précise, de relation inter-humaine, comme si c’était quelque chose qui se passait au bout d’un élastique, [mais quelque chose] qui essaye de mettre dès le principe la notion de la communication en tant qu’elle est centrée, non pas simplement sur un contact, sur un rapport, sur un entourage, mais sur une signification, de la mettre au principe de ce qui s’est passé d’originairement discordant, déchirant, dans ce qui lie l’enfant dans ses relations avec la mère, et quand il désigne, quand il dénote comme étant l’élément discordant essentiel de cette relation, le fait que la communication se soit présentée sous une forme de double relation, comme vous l’a très bien dit hier soir Madame Pankow en vous disant que dans le message qui est celui où l’enfant a déchiffré le comportement de sa mère, dans le même message il y a deux éléments qui ne sont pas définis l’un par rapport à l’autre, en ce sens simplement que l’un se présente comme la défense du sujet par rapport à ce que veut dire l’autre, ce qui est la notion commune que nous avons dans ce qui se passe au niveau du mécanisme de la défense que vous analysez.

[...] Il s’agit de quelque chose qui concerne l’autre, et qui est reçu par l’autre de telle façon que, s’il répond sur un point, il sait de ce fait même qu’il va se trouver coincé dans l’autre. Comme nous l’a dit hier Madame Pankow, si je réponds à la déclaration d’amour que me fait ma mère, je vais provoquer son retrait, et si je ne l’entends pas comme telle, c’est-à-dire si je ne lui réponds pas, je vais la perdre.

Vous voyez donc que nous voilà introduits dans cette dialectique du double sens, en ceci déjà qu’il intéresse un élément tiers. Ce n’est pas l’un derrière l’autre — c’est-à-dire quelque chose qui est au-delà du sens, un sens qui aurait ce privilège d’être le plus authentique — ces deux messages simultanés dans la même émission, si l’on peut dire, de signification qui créent dans le sujet une position telle qu’il est en impasse. Ceci vous prouve que même en Amérique on est en énorme progrès.

Auteur: Lacan Jacques

Info: Leçon du 8 janvier 1958

[ double bind ] [ parole ] [ impossibilité logique ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

femmes-hommes

Orgasmes masculin et féminins
L'orgasme féminin est la manifestation physique de l'extase qui emporte, du plaisir absolu, corps, coeur et tête à la fois. Cet orgasme "total" demande un concours de circonstances très favorables, différentes pour chaque femme, et se produit donc assez rarement. Quand la communion entre les partenaires est proche de la perfection ou quand la femme est en parfaite harmonie avec elle-même, on appelle ce moment magique "la petite mort" parce que la femme a atteint un tel degré d'excitation et de plaisir qu'elle a le sentiment d'arriver à un point de non-retour et a quasi l'impression qu'elle va mourir, ou perdre conscience. C'est pourquoi il faut que, avec le temps, la femme arrive à dominer la peur et à se laisser aller au seul plaisir. Cet orgasme est si intense qu'une femme n'en aura généralement qu'un et devra prendre le temps de "récupérer" si elle souhaite qu'un autre se produise. A un degré moindre, d'autres types d'orgasmes sont possibles qui sont aussi très satisfaisants et qui, eux, peuvent se suivre assez rapidement. Le corps est alors saisi d'une réaction due à un plaisir sexuel très fort. Ce plaisir peut venir du corps seulement ou de la tête seulement ou des deux à la fois. Cette réaction se propage dans l'ensemble du corps mais se ressent en particulier dans le ventre et dans le sexe.
Il faut aussi savoir que dans un rapport de couple, le besoin de la femme en orgasme est moins impérieux, moins fort. Il n'est donc pas nécessaire que pour qu'un rapport sexuel soit réussi, une femme ait absolument un orgasme. Beaucoup d'hommes cherchent ainsi, à tout prix, à déclencher celui de leur compagne, et beaucoup de femmes en font une exigence... c'est se fixer une performance : le résultat risque d'être décevant. Une femme peut ressentir une intense volupté, un énorme plaisir, même si son orgasme ne se déclenche pas.
L'orgasme féminin est compliqué : à la suite d'une stimulation - génitale ou autre - le cerveau envoie un message qui traverse la colonne vertébrale et provoque une série de contractions rythmiques de la région interne du premier tiers du vagin, de l'utérus et de la région anale mettant trois groupes musculaires en jeu. L'orgasme se produit au terme de la phase de plateau : quand l'excitation s'intensifie et que la tension sexuelle et musculaire augmente. Le premier tiers du vagin se gonfle et resserre l'ouverture, les deux tiers du fond du vagin s'arrondissent. Le clitoris se presse contre l'os du pubis, et les petites lèvres deviennent plus foncées et plus épaisses. Si rien ne vient perturber le processus physiologique (téléphone, bébé qui pleure...), l'orgasme peut alors se produire, ne durant souvent que quelques secondes : il peut y avoir de 2 à 3 contractions musculaires, distantes l'une de l'autre de moins d'une seconde.
Les différents types d'orgasme féminin : Clitoridien ou vaginal ?... Le clitoris et le vagin sont deux zones de stimulation capables de provoquer le plaisir orgasmique. L'orgasme clitoridien est plus aigu. Grâce à la masturbation, la femme peut y parvenir en quelques minutes. La stimulation du clitoris tend à produire des orgasmes plus intenses. La sensation éprouvée est très puissante. Cet orgasme met en jeu les muscles pelviens et abdominaux. L'orgasme vaginal est, selon Freud, l'orgasme "adulte et supérieur", (contrairement à l'orgasme clitoridien, "infantile et inférieur"). Comme les parois internes du vagin ont des terminaisons nerveuses, un tiers des femmes affirment qu'elles peuvent avoir un orgasme de cette façon. La stimulation du point G pourrait conduire à un orgasme profond. Des sensations de vagues de chaleur inondent alors tout le corps. Il semble en fait qu'il n'y ait pas d'orgasme en fait strictement clitoridien. Mais la stimulation vaginale à elle seule ne suffit pas non plus, pour la plupart des femmes, à produire un orgasme. Une femme n'est pas clitoridienne ou vaginale, mais les deux à la fois. Selon Masters et Johnson, il n'y a en fait qu'un type d'orgasme, provoqué par la stimulation du clitoris et se traduisant par des contractions du vagin. Pour d'autres, il faudrait un orgasme clitoridien préalable pour parvenir à un orgasme vaginal. C'est en fait la stimulation prolongée du clitoris qui finit par provoquer des contractions de la plate-forme vaginale. Ce réflexe clitoris vaginal provoque un orgasme superficiel. L'orgasme dit profond se traduit par des contractions utérines régulières, et procure un sentiment de détente. Les deux types d'orgasmes peuvent se produire de façon simultanée ou successivement.
Les orgasmes multiples : Si la stimulation et l'intérêt sexuel se prolongent par l'orgasme, certaines femmes (une sur dix) peuvent avoir une série d'orgasmes les uns à la suite des autres. Comme les femmes mettent plus de temps à atteindre l'orgasme, elles restent plus longtemps dans la phase de plateau, et peuvent replonger dedans. Contrairement à l'homme, elles ne connaissent pas de période réfractaire et peuvent donc prolonger le plaisir beaucoup plus longtemps. Elles peuvent ainsi avoir 5, 10, voire 20 orgasmes au cours d'un même rapport sexuel. Mais les orgasmes multiples ne sont pas pour autant liés à la satisfaction sexuelle. En avoir ne devrait pas être un but en soi : en fait, beaucoup de femmes trouvent même que la stimulation des parties génitales après l'orgasme n'est pas agréable, voire douloureuse.
En conclusion ce n'est pas la durée de la pénétration, forme trop simple de sexualité, qui permet à la femme de parvenir à l'orgasme. Elle est quasi jamais suffisante pour provoquer l'orgasme. Les femmes ont besoin d'un stimulation directe de leur clitoris, buccales, masturbatoires, certaines doivent même avoir une stimulation des seins. Ne pas parvenir à l'orgasme à chaque rapport sexuel n'est pas synonyme d'échec. 40 % des femmes qui ne parviennent pas à l'orgasme à chaque rapport se disent pourtant tout à fait satisfaites de leur sexualité. La satisfaction sexuelle d'une femme ne dépend pas du nombre de ses orgasmes. Les orgasmes multiples, et les orgasmes simultanés ne devraient pas être le but à atteindre. Le contrôle et la volonté d'être synchros empêchent au contraire de vous abandonner au plaisir. Les femmes peuvent avoir un orgasme sans éprouver de plaisir. Sachez aussi que l'orgasme rend la peau éclatante, améliore le tonus de tout le corps, et a aussi des effets positifs sur le plan cardiovasculaire. Un dernier scoop : L'orgasme aurait une fonction plus utilitaire que le simple plaisir. Une femme éprouverait le désir d'avoir un orgasme à chaque fois que son corps juge que cela peut optimiser ses chances de fécondation. Schopenhauer aurait parlé de ruse de l'espèce. La sexualité ne viserait qu'à transmettre notre capital génétique. D'ailleurs, les femmes qui ont un orgasme expulsent moins de spermatozoïdes dans la demi-heure qui suit l'insémination. Les spermatozoïdes sont ainsi plus nombreux à passer du vagin au canal cervical et à l'utérus.

Auteur: Internet

Info: http://www.affection.org/sexualite/orgasme.html

[ mâles-femelles ] [ vus-scientifiquement ]

 
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