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justification pour arrivées en retard

J'ai pris trop de somnifères.

Auteur: Internet

Info:

[ médicaments ]

 

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insomnie

Je crois que tous les somnifères que l'on avale lorsqu'on est adulte, ce sont toutes les berceuses que l'on ne nous a pas chantées quand on était enfant.

Auteur: Massarotto Cyril

Info: Dieu est un pote à moi

[ inversion ]

 

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Justification pour absence

Je ne peux pas venir aujourd'hui... Parce que mon colocataire était ivre et il s'est enfermé à clef dans la salle de bains après avoir bu une bouteille entière de somnifères. Je dois le conduire à l'hôpital.... maintenant que nous l'avons trouvé ".

Auteur: Internet

Info:

 

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malbouffe

Manger de la viande, c'est devenir addict aux somnifères dont on a gavé les bestiaux pour les rendre amorphes et donc plus faciles à manipuler et à égorger. C'est toute la société qui est ainsi empoisonnée par ce produit insidieux, et ça semble aller en empirant.

Auteur: Werber Bernard

Info: Le sixième sommeil

[ carnivores ] [ industrielle ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

lecture

Quel plaisir d'avoir sous la main un mystique allemand, un poète hindou ou un moraliste français, à l'usage de l'exil quotidien !... Lire jour et nuit, avaler des tomes, ces somnifères, car personne ne lit pour apprendre mais pour oublier, remonter jusqu'à la source du cafard en épuisant le devenir et ses marottes !

Auteur: Cioran Emil Michel

Info: Des larmes et des saints 1995 , p.329

[ thérapie ]

 

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comparaison

Il se surprit à réfléchir, comme il le faisait souvent, à l'étrangeté des adultes. Il fallait qu'ils prennent des laxatifs, de l'alcool, des somnifères, pour échapper à leurs angoisses et trouver le sommeil ; et pourtant, comme leurs craintes étaient ordinaires et faciles à maîtriser ! (...) Comme elles paraissaient ternes à côté des terreurs que chaque enfant retrouve le soir, dans l'obscurité de sa chambre, sans espoir d'être compris de personne excepté d'un autre enfant !

Auteur: King Stephen

Info: Salem

[ peur ] [ imagination ]

 

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insomnie

Arrivé à ce stade de l'ouvrage, le lecteur doit retenir une chose essentielle, véritable moteur de ma motivation à écrire, le mot "somnifère" comme le mot "hypnotique" reposent sur un abus de langage, pour ne pas dire une escroquerie intellectuelle: l'état d'inconscience dans lequel on est plongé quand on prend des somnifères ou des hypnotiques ressemble plus à une anesthésie légère qu'à du sommeil réparateur. Pour que le sommeil soit vraiment du sommeil, il doit être naturel, sinon, au bout de quelques semaines, on ne fait qu'oublier qu'on ne dort pas.

Auteur: Lemoine Patrick

Info: Dormir sans médicaments... ou presque

[ thérapie ]

 

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remède

A partir de ces trois exemples, très documentés, je suis convaincu que notre cerveau est un fantastique laboratoire pharmaceutique capable de lancer la fabrication de tous les médicaments dont a besoin le corps : antidouleur, anti-fièvre, antibiotiques, cicatrisants, anti-inflammatoire, antistress, somnifères, antidépresseurs, tranquillisants, anti-cholestérol, anti-fatigue, anti-hypertension, anti-cancéreux… La liste est sans doute infinie. J'extrapole, mais trop peu de gens s'intéressent à la pharmacologie du placebo qui pourtant est un domaine majeur de la médecine. On dit toujours que l'effet placebo compte pour un tiers, au moins, du toutim thérapeutique mais si on se donnait la peine on trouverait des endo-hypnotiques, des endo-antihistaminiques, des endos ceci cela.
On connaît un peu les endo-antimitotiques. Mais nous avons beaucoup à découvrir encore.

Auteur: Lemoine Patrick

Info: Le mystère du placebo

[ santé ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

normalisation

Si l'on ressentait le moindre élancement, on prenait un ibuprofène. Si l'on était endormi, on prenait de la caféine. Après quoi, si l'on arrivait plus à dormir, on pouvait prendre des somnifères. Dans l'intervalle, si l'on ne faisait pas son caca du matin bien dans les temps, on prenait un laxatif, mais s'il ne sortait pas proprement, on pouvait prendre un antidiarhéique. Si l'on restait trop longtemps assis sur le trône à lire le Wall Street Journal, on risquait de choper des hémorroïdes, auquel cas on pouvait se fourrer dans le cul un suppositoire à la glycérine. Si l'on passait une sale journée, on prenait la pilule blanche. Mais si l'on était trop heureux, on prenait la pilule rose pour calmer sa joie. Des pilules, des pilules, des pilules jusqu'à ce que tout le monde soit le même mâle blanc homogène, robotique, souriant (mais pas trop), de la classe moyenne supérieure, possédant une maison de 180 mètres carrés, deux Volvo assorties, 2.5 enfants, une femme pom-pom girl et un golden retriever nommé Sunny.

Auteur: Molles DJ

Info: Les survivants, tome 3 : Réfugiés

[ middle class ] [ médicaments ]

 

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littérature

Après plusieurs heures d'une lutte sans nom, Link finit par s'endormir grâce à la forte dose de somnifères qui lui était prodiguée en continu par intraveineuse. Son pouls redevenait régulier et ses autres signes vitaux se stabilisaient progressivement. Il s'engouffrait désormais dans le grand sommeil noir, première étape vers le repos des braves.
Dehors, la foule nombreuse était littéralement suspendue aux lèvres des médecins qui s'occupaient de Lui. Sans volonté métaphorique aucune, cela faisait plusieurs semaines que le monde s'était arrêté de tourner. Aux quatre coins du globe, les Grands Conseillers avaient proclamé le stand-by général. Sur la Place Saint-Pierre à Rome, devant le Mur des Lamentations ou encore face aux écrans géants de Times Square, partout régnait la même tension. Dans chaque grande ville ou petit village où l'information était parvenue, les masses s'étaient spontanément rassemblées à l'annonce de l'hospitalisation de leur Héros. Les gens ne rentraient même plus chez eux pour manger ou pour dormir. Ils ne vivaient plus, ils attendaient. Une attente insupportable que quelques oiseaux de mauvais augure rendaient plus pénible encore par le colportage de fausses rumeurs. Par nécessité, d'immenses convois acheminaient des vivres sur les lieux de rassemblement. Pour fuir la réalité, les meilleurs musiciens n'avaient de cesse d'interpréter leurs plus belles oeuvres, devant des publics en transe implorant le Seigneur de laisser la vie sauve à son dernier Prophète. Le havre de paix créé par Link était en pleine effervescence, malgré la probabilité élevée d'une épreuve traumatisante à venir. Les hommes ne voulaient tout simplement pas songer à ce qui se produirait s'Il venait à disparaître. Les derniers grands philosophes soutenaient que face à une telle perte l'humanité retournerait certainement à la précarité ; de la même façon qu'elle s'y était embourbée la première fois, rapidement et inéluctablement. Mais cela faisait bien longtemps que plus personne ne prêtait attention à ces mauvaises langues charlatanes.

Auteur: Bicchielli Dario

Info: Tragédies salutaires

[ idolâtrer ]

 

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