Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 22
Temps de recherche: 0.0344s

mémoire

Nous nous souvenons tous des jours les plus sombres de notre vie, qui deviennent, au gré du temps, indissociables de notre être.

Auteur: Patterson James

Info: Rendez-vous chez Tiffany

[ souffrance ] [ cicatrice ] [ personnalité ]

 

Commentaires: 0

chair-esprit

Ne t’agite pas, mon être, ne te lamente pas, ne me brise pas

Souvenons-nous de nous retenir

Dans l’amitié du silence

enfonçons seuls dans la nuit immense.


Auteur: Michaux Henri

Info: A distance

[ soliloque ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

mémoire

Les expériences dont nous nous souvenons de manière intrusive, bien que nous voulions désespérément les bannir de notre esprit, sont étroitement liées à, et parfois menacent, les perceptions de ce que nous sommes et de ce que nous voudrions être.

Auteur: Schacter Daniel Lawrence

Info: The Seven Sins of Memory: How the Mind Forgets and Remembers

[ sélective ] [ inconscient ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

symbiose

L'heure de notre terre, c'est quand nous nous souvenons de ce que nous avons oublié. Nous ne sommes pas la seule espèce qui vit et rêve sur cette planète. Il y a quelque chose de durable qui circule au cœur de la nature et qui mérite respect et notre attention.

Auteur: Terry Tempest Williams

Info:

[ environnement ] [ conscience ] [ écologie ]

 

Commentaires: 0

mémoire

Les expériences mystérieuses peuvent être indélébiles, mais, en même temps, et paradoxalement, les détails dont nous nous souvenons sont peut-être infimes, sans rapport, voire stupides. Notre degré d'excitation imprime au fer dans notre mémoire des perceptions déterminées, mais les empêche en même temps d'être les plus adaptées pour décrire objectivement l'ensemble.

Auteur: Somoza José Carlos

Info: La théorie des cordes, p.190

[ sélective ] [ inexact ] [ imparfaite ]

 

Commentaires: 0

sexualité spirituelle

Mais il n’y a pas que le sexe dans la vie ! Il y a même tout sauf ça ! Souvenons-nous de Mélidonian, apprenant au hasard d’une lecture que la sexualité s’auto-détruit quand elle ne sait pas "rencontrer l’Autre". Sacro-saint Autre ! On n’y pense jamais trop à celui-là, c’est bien vrai. Oui, mais pourquoi faudrait-il le rencontrer ? Pour se coller à lui ? C’est ça ? Je crois réentendre Mélidonian. Pour se souder ? Marier ? Matrimonier ? Redoutable Autre à tout faire ! Vampire de la Solidarité universelle !

Auteur: Muray Philippe

Info: Dans "On ferme !" page 151

[ unité originelle ] [ fantasme ] [ romantisme ] [ encadrement social ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

moment fort

On dit que le temps ralentit dans des moments de stress très intense. J’ai fait quelques recherches sur le sujet, et en fait, ce qui se passe, c’est que la mémoire devient incroyablement fidèle. En temps normal, l’esprit ne se raccroche qu’aux images et aux événements importants. Nous nous souvenons des grandes choses et oublions les petites. En situation ​de stress, toutefois, notre cerveau stocke tout. Le temps s’écoule à la même vitesse que d’ordinaire, mais avec le recul, le souvenir devient photographique. C’est comme si la trotteuse avait ralenti, comme si nous étions capables de voir le monde qui nous entoure dans des détails aussi fantastiques que précis.

Auteur: Abby Geni

Info: Farallon Islands

[ bullet-time ] [ intensité ] [ émotion ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

vieillesse

Plus nous nous approchons de la mort, plus nous nous rapprochons de la terre, non point de la terre en général, mais du lopin, du coin de terre minuscule mais tant aimé et regretté où s'est écoulée notre enfance, où nous avons eu nos jeux et connu l'irrécupérable enchantement de nos jeunes années. Alors, nous nous souvenons d'un arbre, d'un visage ami, d'un chien, d'un ruisseau, d'un sentier poussiéreux en été dans la chaleur de midi, avec le crissement des cigales, de bien d'autres choses encore ; pas de grandes choses, de petites, de très modestes choses, mais qui dans le moment qui précède la mort prennent une importance inimaginable.

Auteur: Sabato Ernesto

Info: oeuvres romanesques

[ sensibilité ]

 

Commentaires: 0

maintenant

Le présent est une prison sans barreaux, un filet invisible, sans odeur et sans masse, qui nous enveloppe de partout. Il n'a ni apparence ni existence, et nous n'en sortons jamais. Aucun corps, jamais, n'a vécu ailleurs que dans le présent, aucun esprit, jamais, n'a rien pensé qu'au présent. C'est dans le présent que nous nous souvenons du passé, c'est dans le présent que nous nous projetons dans l'avenir. Le présent change tout le temps et il ne cesse jamais d'être là. Et nous en sommes prisonniers. Passagère et précaire, affreusement temporaire, coincée entre un avenir qui l'envahit et un passé qui la ronge, notre vie ne cesse jamais de se dérouler dans un présent éternel - ou quasi éternel - toujours en train de s'évanouir et toujours en train de renaître.

Auteur: Ormesson Jean d'

Info: C'est une chose étrange à la fin que le monde

[ instant ] [ réalité ]

 

Commentaires: 0

épidémie

Fontenelle disait que si la raison dominait sur terre, il ne s’y passerait rien. Ce qui risque fort de se produire avec l’amplification exponentielle du principe de précaution.

Souvenons-nous qu’en 1698 et 1969, un virus respiratoire avait déjà franchi les frontières de Chine – c’était la fameuse grippe de Hong-Kong – et avait à son actif plus d’un million de morts dans le monde. Pour l’Europe, les chiffres sont les mêmes que ceux du Covid-19 (environ 31 000 morts en France) et un taux d’attaque qui touchait toutes les classes d’âge. Et pourtant, aucun gros titre dans les journaux, aucune mesure gouvernementale, ni même d’alerte médicale.

"Le flegme et les bons mots l’emportaient sur une possible mobilisation" relève l’historien Patrice Bourdelais. L’inverse de ce à quoi nous assistons aujourd’hui. Voilà qui nous laisse songeurs et dubitatifs quant aux progrès de la médecine et à la volonté des gouvernements d’instaurer un État Thérapeutique.

Auteur: Jaccard Roland

Info: Dans "La nuit où j'ai cru devenir fou", 2020

[ historique ] [ implication gouvernementale ] [ dictature sanitaire ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson