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télévision

Ce monde des hommes où tout est marchandise, mis dans des cases, conditionné par les vendeurs et leurs affidés médiatiques qui, non seulement se financent par la pub (parfois et heureusement marrante ou créative) mais surtout "formatent" le monde. Ainsi le standard de la propagande consumériste fait disparaître les nuances, les dégradés, ambiguïtés... Le monde du décor médiatique ne prend plus en compte que ce qui est clinquant, identifié, dans la focale du "nommable"... Du côté clair de la force.
Le reste n'est plus même pris en compte par les viseurs des preneurs d'image et de son. Réalité fabriquée, clinquante et monnayable contre réel authentique, lui baignant dans la richesse infinie du flou, de l'éphémère, de la poésie, du mal lavé et des erreurs.

Auteur: Mg

Info: 23 avril 2017

[ capitalisme ] [ néolibéralisme ]

 

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efficacité

Commerce international - un bouquin qui se vend au grand nombre par exemple -, va vers une négation de la singularité.
Que ce soit des chaussettes ou de la littérature, on fait baisser les prix en produisant d'immenses quantités, gommage de toutes les variations auxquelles la nature nous a habitués lorsqu'elle produit en masse. On dirait bien que l'identique, la non variation, le consensus des idées, c'est la mort.
Lorsque une force énigmatique produit 7 milliards d'humains (ou de fourmis, ou de pommes...) sur une planète , il n'y a aucune notion de "rendement" dans sa poussée, elle "ouvre" sa réponse au réel en ne se refusant à aucune variation.
L'efficience capitalistico consumériste standardise. Elle doit. Ajoutez-y un peu de socialisme démocratique et nous voilà conduits vers des sociétés post orwelliennes. La nature reste de droite, l'homme techno néo libéral fonce à gauche toute.

Auteur: Mg

Info: 24 juillet 2017

[ productivisme ] [ uniformité ] [ gauche-droite ] [ paradoxe ]

 

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consommateur idéologique

Victime de la mode, comme le bourgeois. Changeant, mobile, fantasque, romantique, comme le bourgeois. Avide de jouissances immédiates, de spectacles et de fêtes, comme le bourgeois. Véritable enfant, à bien des points de vue, de tête peu solide, aimant se nourrir des abstractions les plus abstruses, amoureux des métaphysiques les plus folles, de l'abracadabra démocratique comme de l'abracadabra anarchiste, les deux faisant la paire, - comme le bourgeois. L'homme, en un mot, de la démocratie, le croyant de l’État, en qui il voit une Providence laïque chargée de réaliser le paradis terrestre ; le dévot, enfin, de la Science, de la science abstraite et cosmo-logique, de la science qui, alliée au pouvoir, doit résoudre le problème du bonheur humain, faire disparaître tout mystère et tout tragique de la vie, pour la couler dans la plate transparence et l'insipide limpidité d'un rationalisme primaire, antipoétique, anti-métaphysique et anti-vital.

Auteur: Berth Edouard

Info: Les méfaits des intellectuels

[ gogo naïf ] [ critique ] [ pseudo-élites ] [ standard consumériste ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

extraterrestres

Un point de vue fixe est une limitation.
Mais notre imagination a besoin de clarté, de netteté. D'une image précise.
Ainsi des OVNIS : il y a chez l'humain ce besoin d'identifier, de comprendre, de voir et détailler afin d'intégrer un phénomène dans son système, déjà bien montré par ce besoin naturel de se raccrocher à quelque chose, (les standards SF comme la soucoupe ou le cigare par exemple).
Ce qui est assez stupide, à y réfléchir. Car l'alien est peut-être, visuellement pour nous, une vague et fugace brume. Ou une entité qui se déplace si lentement qu'elle présente les caractéristiques d'un massif de montagnes. Alors que les humains, médias de masse surtout, qui se doivent d'être fédérateurs et donc stupides, veulent à tout prix un machin qui soit bien dans la focale, discernable, à leur niveau. Une focale tout à fait relative, puisque elle n'est que celle de l'être humain d'une époque donnée... Un humain éventuellement si corrompu par ses propres stimuli (TV, Internet, compétitions, etc...) qu'il a perdu quelques aptitudes à certaines perceptions subtiles. Un peu comme s'il s'était petit à petit aveuglé lui-même en s'enfermant dans son univers égocentré de consumériste débile et clinquant de dominateur de l'univers.
Bref, au lieu de se rapprocher d'une réalité subtile, il s'en éloignerait. Régression.
Mais je désaxe le propos. Je voulais juste évoquer cette propension, lorsqu'il s'agit appréhender un phénomène non connu, non répertorié et basiquement non reconnaissable, à aller se perdre dans les théories hautement spéculatives (mais très intéressantes) genre Vallée ou Guillemant. Théories qui, grand défaut selon moi, veulent conclure en présentant un système qui unifierait tout.
Cool les gars, certes... Mais pourquoi être si pressé ? Ça se déguste les découvertes. Celles sur nos limites ou nos défauts par exemple.

Auteur: Mg

Info: 2 janv. 2015

[ quête ] [ parapsychologie ]

 

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