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être humain

L'homme est constitué de gènes et de neurones, le robot de cristaux et de tubes électroniques. Une cellule nerveuse humaine ne produit d'elle-même aucune impulsion ; elle ne fait que transmettre des stimuli extérieurs. Le cristal d'un robot vibre au rythme de l'impulsion régulière que lui envoie un de ses tubes ; une modification de cette impulsion altère la période de cette vibration. Une telle modification résulte ordinairement d'un stimulus extérieur. Pour conserver son organisme en bon état de marche, l'homme se nourrit et subit des opérations chirurgicales. Dans le même but, le robot recharge ses batteries et remplace ses tubes. L'homme est doué de pensée, le robot aussi. Les organes de l'homme finissent par se détériorer, et la matière qui le compose retourner à son état naturel. De même, le cristal d'un robot, au bout d'un trop grand nombre de variations, se dégrade et se fatigue, ce qui entraîne la mort du robot.
Peut-on dire qu'une de ces deux formes est moins vivante que l'autre ?

Auteur: Van Vogt Alfred Elton

Info: Les Monstres

[ automate ] [ question ] [ science-fiction ]

 

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anatman

Quand j'étais enfant, je croyais qu'il y avait une personne essentielle, une sorte de personnalité centrale autour de laquelle les éléments de surface pouvaient évoluer sans modifier l'intégrité de son identité. Plus tard, j'ai commencé à comprendre qu'il s'agissait d'une erreur de perception, causée par les métaphores que nous employons pour nous définir. La personnalité n'est rien de plus que la forme passagère d'une des vagues devant soi... ou, pour ralentir le processus à une vitesse plus humaine, la personnalité est une dune. Une forme passagère qui répond au stimulus du vent, de la gravité, de l'éducation. De la carte des gènes. Tout est sujet à l'érosion et au changement. La seule façon de rester soi est de se mettre en pile pour toujours.

"De la même façon qu'un sextant primitif fonctionne suivant l'illusion que le Soleil et les étoiles tournent autour de notre planète, nos sens nous donnent l'illusion de la stabilité dans l'univers et nous l'acceptons, parce que sans cette illusion, rien ne peut être accompli."

Auteur: Morgan Richard K.

Info: Takeshi Kovacs, tome 1 : Carbone modifié

[ ego chimère ]

 

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seuil de discernement

La loi de Weber, également appelée loi de Weber-Fechner, est une loi psychologique historiquement importante qui quantifie la perception du changement d'un stimulus donné. La loi stipule que le changement d'un stimulus qui sera juste perceptible est un ratio constant du stimulus d'origine. Il a été démontré que cette loi ne s'applique pas aux stimuli extrêmes.

Cette loi fut d'abord postulée pour décrire les recherches sur l'haltérophilie par le physiologiste allemand Ernst Heinrich Weber en 1834. Elle fut ensuite appliquée à la mesure des sensations par l'élève de Weber, Gustav Theodor Fechner, qui a ensuite développé la science de la psychophysique à partir de cette loi. En établissant une relation entre le monde spirituel et le monde physique, la loi indiquait à Fechner qu'il n'y avait en réalité qu'un seul monde, le monde spirituel. Pour d'autres, la loi signifiait la possibilité d'une psychologie scientifique et quantitative. Les travaux combinés de Weber et de Fechner ont été utiles, en particulier dans la recherche sur l'audition et la vision, et ont eu un impact sur l'évaluation des attitudes et sur d'autres tests et développements théoriques.

Auteur: Lwoff André Michel

Info:

[ mécanisme - animisme ] [ objectif - subjectif ]

 

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vocabulaire

Toute la différence entre le langage animal et le langage humain se situe dans le passage de l'usage de stimuli-signaux à celui de signes-symboles. Alors qu'un signal fait réagir, un signe fait penser. Le signal est en effet quelque chose qui désigne quelque chose d'autre qu'il indique ou demande. C'est un stimulus, càd quelque chose de sensible qui a pour fonction de provoquer une réaction, de faire faire. En présence d'un feu rouge, l'automobiliste s'arrête : il ne se met pas à évoquer des considérations sur la rougeur du feu !

Les stimuli-signaux et, avec eux le "langage" animal, sont des "instruments d'action immédiate". Le signe-symbole est "un instrument de pensée et non seulement d'action immédiate". Il permet l'évocation inactuelle! C'est précisément le jour où Helen Keller cesse de réagir aux stimuli-signaux, auxquels sa gouvernante l'a conditionnée, qu'elle comprend que les mots ont un sens et qu'elle devient capable de "parler" (avec le langage tactile des sourds-muets). 

Ainsi, jusque-là elle n'avait fait que réagir au mot eau. A présent ce mot évoquait pour elle l'eau elle-même, "ce quelque chose de merveilleux qui était en train de couler sur sa main". Le langage est ainsi ce par quoi se réalise en l'être humain l'ouverture de son moi hors de l'immédiateté de l'instant, donc à l'universel.

Auteur: Ruyer Raymond

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[ parole ] [ représentation ] [ sémiose ] [ déclic ] [ abstraction ] [ saut qualitatif ]

 
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illusionnisme

Je vous ai déjà parlé de l'art de capter l'attention. La plupart des spectateurs croient savoir que l'un des secrets des magiciens, c'est son contraire : le détournement d'attention. Cependant, l'expression est mal choisie. Le vrai pouvoir du magicien, c'est celui de la misdirection.

Quelle est la différence ? Et d'abord qu'est-ce que la misdirection ?

Détourner l'attention, ça veut bien dire ce que ça veut dire : provoquer un stimulus, souvent évident, avec pour objectif de masquer une action, une manipulation censée être secrète.

Le magicien utilise en fait assez rarement cette technique, sauf dans le cas d'un détournement d'attention actif : le spectateur est mis à contribution, tous les regards sont dirigés vers lui. Dans ce cas là, l'illusionniste a tout le temps - et le loisirs - de s'emparer d'un gimmick, empalmer une carte, se décharger d'un objet etc...

La misdirection est beaucoup plus subtile : il s'agit là d'attirer et surtout de maintenir l'attention pour la diriger... et l'éloigner de la méthode utilisée pour réaliser un tour. Cette technique s'apprend avec le temps. Pour parvenir à la maîtriser, l'artiste doit notamment avoir compris les fondamentaux de l'attention et travailler sur sa mise en scène. Car c'est en effet dans la construction de son numéro qu'il parviendra à captiver ses spectateurs et à les inciter à ne regarder que ce qu'il veut qu'ils voient.

Auteur: Anonyme

Info: contributeur splitch sur Technique magique : Misdirection et détournement d'attention, 15 janvier 2011

[ défini ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

perception

Pour chaque espèce, le monde extérieur tel qu'il est perçu dépend à la fois des organes des sens et de la manière dont le cerveau intègre événements sensoriels et moteurs. Même lorsque des espèces différentes perçoivent une même gamme de stimulus, leur cerveau peut être organisé pour sélectionner des particularités différentes. L'environnement tel qu'il est perçu par des espèces différentes peut, selon la manière dont est traitée l'information, diverger aussi radicalement que si les stimuli reçus venaient de mondes différents. Nous-mêmes, nous sommes si étroitement enfermés dans la représentation du monde imposée par notre équipement sensoriel et nerveux, qu'il nous est difficile de concevoir la possibilité de voir ce monde de manière différente. Nous imaginons mal le monde d'une mouche, d'un ver de terre ou d'une mouette.
Quelle que soit la manière dont un organisme explore son milieu, la perception qu'il en tire doit nécessairement refléter la "réalité" ou, plus spécifiquement, les aspects de la réalité qui sont directement liés à son comportement. Si l'image que se forme un oiseau des insectes qu'il doit apporter en nourriture à ses petits ne reflétait pas certains aspects au moins de la réalité, il n'y aurait plus de petits. Si la représentation que se fait le singe de la branche sur laquelle il veut sauter n'avait rien à voir avec la réalité, il n'y aurait plus de singe. Et s'il n'en était pas de même pour nous, nous ne serions pas ici pour en discuter. Percevoir certains aspects de la réalité est une exigence biologique.

Auteur: Jacob François

Info: Le jeu des possibles, Fayard 1981 <p.109-110>

 

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obstination

Ceux qui font carrière dans le spectacle de masse, pratiquent ce principe fondamental de la pédagogie, ils répètent et re répètent les mêmes choses jusqu'à laisser une trace forte dans un inconscient collectif. Un peu comme d'autres enseignent aux groupes. On présente un stimulus, un raisonnement, une musique... et on l'imprime au forceps, en le rabâchant et le ressassant - ce que les marketeurs musicaux américains appellent "heavy rotation".
Pour maximiser l'attention et donc les ventes, on usera aussi d'effets qui ont déjà montrés leur efficacité. Des effets "pas trop rugueux" pour les oreilles, rassurants, avec juste une petite épice en plus pour attirer l'attention. Nous sommes ici au plus près du talent - étymologiquement une monnaie.
Tout ceci à l'opposé absolu du génie, vu ici comme la singularité profonde d'un être, qui serait parvenu à la transmettre au grand nombre via son art - sa discipline.
Sous cet angle, c'est comme si le marché nous disait : L'art de qualité est foncièrement de droite.
A moins que ce ne soit le pognon (la droite) qui abrutisse les masses en les confortant dans la facilité pour des besoins de rendement.
La culture actuelle semble aller dans cette direction, pilotée par les audimats
Tout ceci est à voir, mais une chose est sûre. L'avènement de la technologie et de son efficacité, couplés avec un monde toujours plus encombré et complexe (la Suisse en est l'exemple frappant) nous promettent un avenir où l'humain dans sa singularité et sa complexité sera toujours plus sous contrainte dans une société constamment plus régulée.
Perso ça me fout les boules, surtout à contempler la résignation générale devant ce phénomène. Du coup j'autorise mes mômes - dès désormais et à partir de dorénavant - à me traiter de sale con.
Comment leur conserver un peu d'espace, territorial... mental ?

Auteur: Mg

Info: 22 mars 2014

[ redite ] [ standardisation ] [ création ] [ visionnaire ]

 

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céphalée

Migraine, points établis

1. Une affaire de sommation. Entre l’élément déclencheur et l’éruption des symptômes, il se passe des heures, voire des jours. On a comme la sensation qu’un obstacle est surmonté et qu’ensuite un processus se poursuit.

2. Une affaire de sommation. Même sans élément déclencheur, on a l’impression qu’il a fallu qu’un stimulus s’accumule, celui-ci étant présent au début de l’intervalle en très petite quantité, en très grande quantité vers la fin.

3. Une affaire de sommation, dans laquelle la sensibilité aux étiologies reste au niveau du stimulus déjà présent.

4. Une affaire à étiologie complexe, peut-être selon le schéma de l’étiologie en chaîne, où une cause immédiate peut être produite directement et indirectement par de nombreux facteurs, ou bien selon le schéma de l’étiologie supplétive où, à côté d’une cause spécifique, peuvent intervenir, pour la remplacer quantitativement, des causes banales.

5. Une affaire sur le modèle de la migraine menstruelle et appartenant au groupe sexuel. Preuves :

a) Très rare chez les hommes en bonne santé.

b) Limitée à l’âge sexuel de la vie, enfance et vieillesse quasiment exclues.

c) Si elle est produite par sommation, le stimulus sexuel est aussi quelque chose qui est produit par sommation.

d) L’analogie de la périodicité.

e) Fréquence chez des personnes à éconduction sexuelle perturbée (neurasthénie, coitus interruptus).

6. Production certaine de la migraine par des stimulus chimiques : toxine humaine, sirocco, fatigue, odeurs. Or le stimulus sexuel est aussi un stimulus chimique.

7. Arrêt de la migraine pendant la grossesse, où la production est probablement dirigée ailleurs.

En fonction de cela, on serait en droit de penser que la migraine constitue l’effet d’une action toxique, elle est produite par la substance stimulante sexuelle quand celle-ci ne trouve pas d’éconduction suffisante, ce à quoi se rapporte peut-être encore le fait qu’une certaine voie, qu’il faudra déterminer topiquement, se trouve dans un état de réceptivité particulière. Se demander quelle est cette voie, c’est se demander quelle est la localisation de la migraine.

Auteur: Freud Sigmund

Info: Manuscrit I dans une lettre à Wilhelm Fliess (1895), trad. Françoise Kahn et François Robert, éditions P.U.F., Paris, 2006

[ explication ] [ psychanalyse ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

non-réciprocité

Tout d'abord, l'amour est une expérience commune entre deux personnes - mais le fait qu'il s'agisse d'une expérience commune ne signifie pas qu'il s'agit d'une expérience similaire pour les deux personnes concernées. Il y a l'amant et le bien-aimé, mais ces deux-là viennent de pays différents. Souvent, le bien-aimé n'est qu'un stimulus pour tout l'amour accumulé qui était resté silencieux au sein de l'amant pendant longtemps. Et d'une certaine manière, chaque amoureux le sait. Il sent dans son âme que son amour est une chose solitaire. Il apprend à connaître une nouvelle et étrange solitude et c'est cette connaissance qui le fait souffrir. Il n'y a donc qu'une seule chose à faire pour l'amoureux. Il doit loger son amour en lui-même du mieux qu'il peut ; il doit créer pour lui-même un tout nouveau monde intérieur - un monde intense et étrange, complet en lui-même. Ajoutons que l'amant dont nous parlons n'est pas nécessairement un jeune homme qui cherche une alliance, il peut être un homme, une femme, un enfant ou toute autre créature humaine sur cette terre.

L'amant peut aussi correspondre à n'importe quelle description. Les personnes les plus farfelues peuvent être le stimulus de l'amour. Un homme peut être  arrière-grand-père et n'aimer qu'une fille étrange qu'il a vue dans les rues de Cheehaw un après-midi il y a vingt ans. Le prédicateur peut aimer une femme déchue. La bien-aimée peut être perfide, au cheveux gris, et avec de mauvaises habitudes. Oui, et l'amoureux peut le voir aussi clairement que n'importe qui d'autre - mais cela n'affecte en rien l'évolution de son amour. Une personne très médiocre peut être l'objet d'un amour sauvage, extravagant et beau comme les lys empoisonnés du marais. Un homme de bien peut être le stimulus d'un amour violent et avili, ou un fou jacassant peut faire naître dans l'âme de quelqu'un une idylle tendre et simple. Par conséquent, la valeur et la qualité de tout amour sont déterminées uniquement par l'amant lui-même.

C'est pour cette raison que la plupart d'entre nous préfèrent aimer qu'être aimés. Presque tout le monde veut être l'amant. Et la vérité crue est que, d'une manière secrète et profonde, l'état d'être aimé est intolérable pour beaucoup. Le bien-aimé craint et déteste l'amant, et ce pour les meilleures raisons. Car l'amant essaie toujours de dépouiller sa bien-aimée. recherche à tout prix une relation avec la personne aimée, même si cette expérience ne peut lui causer que de la douleur.

Auteur: McCullers Carson

Info: The Ballad of the Sad Café and Other Stories

[ passion ] [ déséquilibre ] [ pouvoir ] [ couple ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

mâles-femelles

Cet oiseau doit avoir entendu chanter son père pour se choisir un bon partenaire
Chez le Diamant mandarin, la femelle ayant grandi en l'absence d'un père ne réagit pas comme les autres oiselles au chant de ses prétendants. Le milieu dans lequel grandissent les oiseaux peut avoir un effet déterminant sur leur comportement.
Publié dans la revue Proceedings of the Royal Society B par des chercheurs de McGill, ce constat montre que l'apprentissage et l'expérience, y compris les stimulus auditifs reçus pendant le développement, peuvent façonner la perception des signaux vocaux par le cerveau.
La présente étude vient enrichir l'idée voulant que certaines expériences sont nécessaires au développement du cerveau et, à l'inverse, que l'absence de certains stimulus peut avoir des effets à long terme sur la perception, le traitement de l'information et le comportement.
Le chant fait partie des signaux d'appel nuptial que guettent les oiseaux chanteurs pour trouver un partenaire.
Chez le Diamant mandarin, le mâle n'a qu'un chant, mais il en exécute une version particulièrement mélodieuse lorsqu'il fait la cour à une femelle. Or, de plus en plus de données indiquent que la femelle choisit son soupirant en fonction de la beauté de cette "version améliorée", qui la renseigne sur la qualité, la condition et la forme physique du prétendant.
Vu l'importance de la perception des variations subtiles du chant mâle chez cette espèce, les scientifiques croyaient cette aptitude innée chez la femelle.
Afin de vérifier cette hypothèse, Sarah Woolley, professeure au Département de biologie de l'Université McGill, et Nancy Chen, étudiante aux cycles supérieurs, se sont demandé si l'exposition au chant du mâle adulte pendant le développement influait sur la réaction de la femelle à ce chant.
"Comme la femelle se fonde sur la qualité du chant pour choisir le mâle, nous nous attendions à ce qu'elle ait un penchant pour les chants particulièrement mélodieux", explique la Pr Woolley. Or, les chercheuses ont constaté que la capacité d'un oiseau de distinguer un chant nuptial d'un autre type de chant variait en fonction de l'enfance de l'individu.
Les oiselles ayant grandi avec leurs deux parents réagissaient "normalement", ayant une préférence pour le chant nuptial de leurs prétendants. En revanche, celles qui n'avaient pas été bercées par le chant paternel n'affichaient pas forcément ce penchant.
En d'autres termes, la femelle doit avoir entendu son père gazouiller pour être réceptive au soupirant le plus doué pour lui chanter la pomme.
"Dans la nature, la probabilité qu'une femelle grandisse en l'absence d'un père ou d'un tuteur est très faible, fait observer la Pre Woolley. Cela dit, nos observations pourraient vouloir dire que le milieu dans lequel grandissent les oiseaux influe sur leurs préférences en matière de chant. Déjà, nous savons que les oiseaux mâles peuvent modifier leur chant pour le rendre plus audible dans le bruit des villes. Nos données pourraient néanmoins indiquer que chez la femelle, la capacité de percevoir ce chant est modifiée en fonction des airs ayant bercé son enfance."

Auteur: Internet

Info: http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=16490, Yining Chen & co, Proceedings of the Royal Society B., Etude financée par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada

[ éducation ] [ musique ]

 

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