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malveillance

Qui doit maintenir son estime de soi en rabaissant la réputation des autres ne peut qu'être extraordinairement malheureux.

Auteur: Sullivan Harry Stack

Info: “The Interpersonal Theory of Psychiatry”, p.242, Psychology Press 2003

[ exister ] [ perversité ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

gueule de bois

Sullivan avait mal à la tête. Il avait la bouche pâteuse, comme s'il avait mâché du coton parfumé à la souris moisie.

Auteur: Correia Larry

Info: Chroniques du Grimnoir, tome 1 : Magie brute

 

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refuge

J'ai tâté un certain nombre de religions ainsi que quelques gourous à l'époque, y compris le bouddhisme, mais en fin de compte, rien n'a fait autant pour le sérénité de mon esprit que le snooker.

Auteur: O'Sullivan Ronnie Ronald Antonio

Info:

[ sport ] [ concentration ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

musique

La guitare, c'est un instrument qui vous rend paresseux. On la prend, on joue un air, et puis on la laisse, on flemmarde, on la reprend pour plaquer un ou deux accords ou s'accompagner pendant qu'on siffle.

Auteur: Vian Boris

Info: J'irai cracher sur vos tombes, pseudo de Vernon Sullivan

[ désinvolte ]

 

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parents

Il avait été assez sensé pour ne pas avoir d'enfants, il ne connaissait donc pas cette sensation exaspérante qui consistait à s'inquiéter pour une personne sur laquelle on n'a aucun contrôle. Quelqu'un dont vous êtes responsable et qui, pourtant, n'a pas de comptes à vous rendre.

Auteur: Sullivan J. Courtney

Info: Maine

[ impuissance ] [ papa ] [ maman ] [ enfants ]

 

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rapports humains

Je pense que l'empathie c'est un gars qui te frappe au visage dans une gare routière et que tu es en mesure de le regarder et de savoir dans quelle situation il se trouve, et comprendre qu'il devait le faire et ne pas riposter. Ça c'est de l'empathie, et il ne se passe jamais rien dans l'écriture avec ce genre d'héroïsme moral.

Auteur: Sullivan John Jeremiah

Info:

[ compréhension ] [ vitesse ]

 

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dialogue

Lauren interrompit sa fellation, leva son visage vers James Sullivan :
- Dis, mon chou, tu ne trouves pas que les chapitres de cette histoire deviennent de plus en plus courts ?
Le regard voilé par le plaisir, il soupira :
- Je suppose que c'est une question de rythme...
- Mais on est des personnages secondaires ? À quoi bon mentionner que je te taille une pipe ?
- J'en sais rien, continue, poupée.

Auteur: Incardona Joseph

Info: Lonely Betty

[ mise en abyme ] [ turlute ]

 

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USA

Même dans le Montana, même avec des auteurs du Montana qui s'occupent de chasse et de pêche et de provisions de bois pour l'hiver, ils arrivent à faire des romans qu'on achète aussi bien à Paris qu'à New York. Cela, c'est une chose qui m'échappe. Nous avons des hectares de forêts et de rivières, nous avons un pays qui est deux fois le Montana en matière de pêche et de chasse et nous ne parvenons pas à écrire des romans internationaux.

Auteur: Viel Tanguy

Info: La disparition de Jim Sullivan

[ commerce ] [ business ] [ colonialisme ] [ livres ]

 

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vacherie

Les Goncourt se sont bornés à la divulgation de petites aventures phalliques de quelques peinturiers ou plumassiers de leur connaissance. Soyons justes. Ils ont accompli cette besogne notoire avec une conscience de tous les diables, avec la probité fière des écrivains qui n'ont absolument rien dans l'âme et qui le démontrent loyalement en des volumes de quatre cents pages. Doués d'une obstination d'helminthes ou de dragoncules, ils ont perforé, taraudé, limé, râpé, râclé, frotassé la pauvre langue française en des phrases précieuses dont le piètre objet disparaît lui-même, comme le béton sous la mosaïque.

Auteur: Bloy Léon

Info: Belluaires et Porchers, Editions Sullivan, p. 125

[ littérature ] [ écrivain-sur-écrivain ]

 

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apprentissage du langage

[…] la maîtresse d’Helen Keller, Ann Sullivan, s’efforçait d’apprendre à son élève à communiquer à l’aide de signes, alors confondus à des signaux, en tapant d’une manière déterminée selon les cas, dans la paume de l’enfant. Elle voulait ainsi associer à la perception d’un signal la sensation d’un objet. Par exemple, elle plaçait la main droite d’Helen sous un jet d’eau fraîche, pendant que sur l’autre, elle frappait le signal convenu. Dans cette pratique, spontanément behaviouriste, le signe est conçu comme l’index de son référent, qu’il a pour fonction essentielle d’évoquer. On prouvera qu’on a compris ce qu’est un signe si l’on peut user de cet index pour désigner le référent, quand on en a besoin. Tout être capable d’un tel comportement sera réputé savoir "parler". Or, la difficulté étonnante à laquelle se heurta Ann Sullivan, est que la petite Helen, tout en étant à même de communiquer quelques-uns de ses besoins au moyen des signaux que sa maîtresse lui avait appris à utiliser, semblait néanmoins piétiner à la porte d’un monde interdit. Il y avait là pourtant tous les éléments d’une relation de communication : émetteur, récepteur, médium de transmission et code. Plus encore : cet ensemble fonctionnait, mais la petite Helen – elle avait alors six ans – ne savait toujours pas parler.

Le miracle se produisit le 5 avril 1887. Ann Sullivan s’efforçait inlassablement d’épeler le mot tasse dans la main d’Helen, puis lui en donnait une à tenir. "Elle versait ensuite de l’eau dans la tasse, y trempait le doigt de l’enfant, et attendait, espérant qu’Helen réagirait en épelant e-a-u". En vain. Etant descendue au jardin afin de distraire l’enfant, elle s’approcha avec elle d’un puits d’où le jardinier tirait un seau d’eau. Une dernière fois, elle lui mit la tasse dans la main, y fit couler un peu d’eau, et épela water, sur l’autre main, de plus en plus rapidement, cette eau qu’Helen aimait à faire couler sur sa main. Soudain l’enfant lâcha la tasse, et, pétrifiée, laissa une pensée envahir et illuminer son esprit : w-a-t-e-r ! w-a-t-e-r ! cette chose merveilleusement fraîche, cette chose amie, c’était w-a-t-e-r ! Elle venait de comprendre que toute chose a un nom, que toute chose peut être dite ou signifiée, que le signe énonce la chose, ou encore qu’il l’exprime, c’est-à-dire que le rapport qui unit la chose à son index n’est pas celui d’une association entre deux perceptions sensibles […] mais un rapport de représentation, en sorte que le signe w-a-t-e-r s’identifie à la chose merveilleuse tout en en demeurant distinct : il "tient lieu" de la chose. Dans un tel rapport de signification, les deux éléments mis en relation ne sont plus du même ordre. Ils sont bien perçus tous les deux comme deux réalités également sensibles, et de ce point de vue, rien ne permet de les distinguer. Pourtant, dans le rapport de signification, la présence sensible de l’un cesse de valoir pour elle-même, cesse d’être le signal de son existence, qui est ainsi occultée, et se trouve valoir pour l’existence d’un autre, dont elle tient la place. C’est là l’expérience fondamentale de la signification. Les deux éléments sensibles ne sont plus unis par une relation horizontale de juxtaposition, mais par une relation verticale, et purement intellectuelle, de lieutenance.

Auteur: Borella Jean

Info: Dans "Histoire et théorie du symbole", éd. L'Harmattan, Paris, 2015, pages 125-126

[ sourd-muet-aveugle ] [ différence signe-signal ] [ invisible ] [ arrachement sémantique ] [ célèbre anecdote ] [ déclic ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson