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civilisation sumérienne

La dynastie d'Akkad (vers 2310-2160 av. J.C.) eut une influence décisive sur le développement de la culture et du langage de la Mésopotamie. Ce fut la période de formation de la société akkadienne, qu'on pourrait comparer aux âges héroïques grec ou teutonique. Pendant deux millénaires et demi, toute la durée de l'histoire mésopotamienne, les rois d'Akkad apparurent comme des rois idéaux. Leurs statues se trouvaient dans les sanctuaires des grands centres urbains, et on leur offrait des sacrifices. Des pèlerinages à Akkadé furent entrepris par des rois aussi différents que Shamshi-Adad I d'Assyrie (1813-1781 av. J.C.) et Nabonide, dernier roi de Babylone (555-539 av. J.C.) La titulature des rois assyriens (deux d'entre eux portèrent même le nom de Sargon) imitait celle des rois d'Akkad, exprimant le désir conscient d'imitation par les Assyriens du premier empire mondial akkadien. Les derniers Babyloniens s'engagèrent dans des fouilles archéologiques pour exhumer les restes de la période sargonique.

Auteur: Goodnick Westenholz Joan

Info: Legends of the Kings of Akkadem p. 2

[ historique ]

 

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genèse

[Le vocabulaire de la création] Il n'existe pas de terme babylonien qui désigne spécifiquement la création par les dieux, comme le verbe /bara'/ en hébreu biblique, mais une série de mots et de périphrases, dont certains apparaissent dans ces vers [les premiers du Poème de la Création]. Le verbe /banû/ est le plus explicite, on le retrouve aux vers 9 et 12 pour décrire le processus positif qui est décrit. Il se peut qu'il soit associé au sémitique /binu/, le fils, mais les équivalents sumériens de /banû/ et /bunnû/ (SI, SI4, SIG7, MU2, etc) plaident pour un sens intransitif, "croître", et aussi "être beau". Les périphrases sont :
a) /nabû/ appeler et /shuma zakâru/ dire le nom. Le nom est la personne, voir le poème de Gilgamesh en version paléo-babylonienne : "mannum shumka ? -- GIS shumi anaku" ('qui est ton nom ? -- Gilgamesh, mon nom je suis".)
b) /shupû/, rendre visible.
c) /shuzuzu/, faire se tenir droit.
d) /shubshû/, faire être.

Auteur: Wilfred George Lambert

Info: Babylonian Creation Myths, p. 469 W. G. Lambert

[ langage ] [ historique ]

 

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pôle spirituel

Dans la littérature religieuse des Accadiens*, la demeure des dieux était désignée sous le nom de Kharsag ou encore de Khurra, la Montagne céleste où vécurent les Seigneurs Annunaki dans un royaume paradisiaque situé sur les hauteurs et constitué de jardins, de vergers, de temples et de champs irrigués s’élevant sur sept étages ou stations. A la manière des Veilleurs du Livre d’Enoch, l’Annanage était régi par un conseil de sept sages qu’on peut aisément identifier aux sept archanges du judaïsme ou aux six Amesha Spentas, "esprits généreux" qui, en compagnie du dieu suprême Ahura Mazda, présidaient sur les hiérarchies d’anges dans la tradition iranienne. Comment ne pas penser non plus aux "sept Dormants de la Caverne", que mentionne le Coran ou bien encore aux sept Aqtâbs, transfuges des rois de rigueur d’Edom qui régissent le monde dans l’ésotérisme islamique. On raconte aussi dans la cosmogonie hindoue que les sept Rishis ou "gardiens du temps" résident sur les hauteurs enneigées des montagnes du monde. Un symbolisme similaire se trouve dans le "récit de Zozime" et de son voyage vers les "îles des Bienheureux".

Auteur: Anonyme

Info: Dans "Les magiciens du nouveau siècle", page 334. *Du pays d'Akkad en Mésopotamie sumérienne

[ septénaire ] [ mythologie ] [ centre ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

linguistique antique

... l'éblaïte, cette langue conservée sur des tablettes des archives des rois d'Ebla en Syrie du Nord, à placer environ vers 2400 av.J.C. L'éblaïte est très étroitement associé à l'akkadien, mais la nature de cette parenté reste débattue : le problème est de savoir si c'est un dialecte de l'akkadien, ou bien s'il faut le considérer comme une branche du sémitique oriental, une langue-soeur du proto-akkadien. L'éblaïte a un certain nombre de caractéristiques qui l'éloignent de l'akkadien, et à l'inverse, l'akkadien présente des phénomènes qui sont absents de l'éblaïte. Une innovation en éblaïte introuvable en akkadien est la réduction du L, l'affaiblissement apparent du phonème /l/ devenant peut-être /y/ ou /0/ (à moins que ce ne soit qu'un phénomène purement graphique, note 54). L'innovation courante en akkadien, que l'on ne retrouve pas en éblaïte, est la dissimilation du préfixe nominal ma- en na- dans les racines qui ont une labiale. (...) la quantité de différences milite pour l'opinion que l'éblaïte est un langage séparé et non un dialecte de l'akkadien. Je le traiterai donc dans mon étude comme le parent le plus proche connu de l'akkadien, mais comme une branche séparée du sémitique oriental.

 

Auteur: Kouwenberg N. J. C.

Info: The Akkadian Verb and Its' Semitic Background, p. 22

[ sumérienne ] [ occident ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

morale

Dans la vieille Mésopotamie, pour autant que nous en comprenions les demi-mots, la seule ambition de l'homme, compte tenu de son état et de l'idée qu'en donnaient de lui ses représentations religieuses, ce n'était pas de changer sa vie, mais de la réussir. Il est frappant combien la notion de réussite est au fond de tous les efforts que nous constatons et devinons chez ces gens, lorsqu'ils pensent à leur conduite.

Tout un genre littéraire particulier, et hautement significatif, dont les plus anciens témoignages figurent déjà parmi la plus vénérable collection littéraire connue, celle trouvée à Fâra-Abû-Salâbi'h et datable de vers 2600, le font toucher du doigt, à travers les nombreux fragments qui nous en sont restés, d'abord et surtout en sumérien, plus tard en akkadien : les "Conseils d'un père à son fils", à qui il voulait "apprendre la vie" en lui transmettant sa propre expérience et sagesse.

Ne te porte pas garant pour quelqu'un : il aurait prise sur toi !
Ne rôde pas où les gens se querellent : on te prendrait pour témoin !
Ne commets pas de meurtre : ce serait te suicider à la hache !
Ne couche pas avec ta servante : elle t'appellerait canaille.
...

Auteur: Bottéro Jean

Info: La plus vieille religion en Mésopotamie p. 223

[ origine ] [ succès ] [ éthique ] [ historique ]

 

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médicament

L'histoire des plantes ou de la médecine naturelle se trouve associée, sur tous les continents, à l'évolution des civilisations.
Les fouilles effectuées sur le site archéologique du Shanidar (Irak) ont permis de retrouver des graine d'achillée mille feuilles, que notre lointain ancêtre, l'homme de Neandertal, consommait déjà 60 000 ans avant notre ère. Dans toutes les régions du monde, l'histoire des peuples montre l'importance des plantes et de la médecine naturelle. C'est ainsi qu'en Chine, l'empereur Chen-Nong (2800 avant J. C.), médecin érudit, consigne son savoir relatif aux plantes médicinales dans un livre, le Pen Ts'ao, qui relate l'usage de plus de 100 plantes.
Au Moyen-Orient, 4000 avant J. C., les Sumériens utilisaient les plantes médicinales. Sur des plaquettes d'argile de cette époque retrouvées en Syrie (près d'Alep en 1973), figurent les formules des premiers médicaments végétaux connus dans le monde. En Egypte, vers 2700 avant. J. C., le célèbre Imhotep, architecte constructeur de la pyramide de Saggarah, médecin du pharaon Djoser (IIIème dynastie), pratiquait la médecine en utilisant les plantes. La mythologie grecque laisse son empreinte dans le nom des plantes : l'achillée mille feuilles (plante qui servit à panser les plaies d'Achille), la centaurée (qui doit son nom à Chiron le centaure), la pivoine (paeonia, qui doit son nom à Paeon, médecine des dieux)...

Auteur: Internet

Info: Kouawa N. et Tchuempe G., Au commencement était la médecine naturelle

 

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impuissance rhétorique

Comme le racontaient déjà les proverbes sumériens aux premiers temps de l'écrit il y a plus de cinq mille ans, et comme l'a rapporté Ésope au VIe siècle avant J.-C. avec sa fable Le loup et l'agneau, les défenses argumentaires les plus justes ne peuvent rien contre les gens décidés à faire le mal.

L'histoire du loup accusant un agneau de l'empêcher de boire à la rivière car il trouble son eau date de la nuit des temps et nous rappelle à quel point celui qui a une idée fixe ne changera pas d'avis, quand bien même on lui assénerait les plus éclatantes démonstrations lui prouvant sa méprise.

Dans la fable d’Ésope - comme dans celle reprise par La Fontaine - l'agneau aura beau démontrer avec logique au loup qu'il ne pourrait lui nuire, prouver qu'il n'aurait pu être celui qui a insulté son père un an auparavant car il n'était à cette époque pas encore né, tout ce discours logique et rationnel ne lui sera en définitive d'aucune utilité.

La fable, cruelle et sans morale, se termine invariablement de la même façon, c'est-à-dire par la décision du loup de dévorer l'agneau.

Ainsi, depuis les temps les plus reculés, l'homme sait que face aux gens décidés à avoir foi en quelque chose, la plus juste des défenses peut rester sans effet.

Auteur: Bronner Gérald

Info: Crédulité et rumeurs

[ historique ] [ immoralité ] [ injustice ]

 
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mythologie

Quiconque s’intéresse aux pierres dans l’aire culturelle syro-mésopotamienne ancienne consultera avec grand intérêt une édition de l’œuvre sumérienne Lugal-e ("Le roi"). Ce texte littéraire, dont la première tradition écrite en sumérien date manifestement du IIIe millénaire avant notre ère, nous conte le combat de Ninurta, divinité guerrière majeure du panthéon mésopotamien, contre Asag, démon cosmique monstrueux, né de l’union du Ciel et de la Terre. Pendant la bataille, ce dernier est suivi par une armée de pierres révoltées, progéniture d’Asag lui-même et des montagnes ; une fois le démon défait par le Ninurta, celui-ci fixe le sort de ces minéraux, tantôt bénis, tantôt maudits, en passant par un exposé systématique de leurs caractéristiques. En se focalisant sur ces pierres animées on pourra s’interroger sur leur qualification, afin d’analyser leurs usages et leur classification dans le prisme de cette œuvre littéraire de premier plan, tout en corrélant ces informations avec certains documents de la pratique et rituels cunéiformes relatifs aux pierres. La confrontation de sources textuelles de différentes natures permet notamment de réfléchir sur la notion de "pierre précieuse" et d’approcher la compréhension de certaines propriétés physiques et apotropaïques* de ces minéraux, tout en observant de près les arts dans lesquels ces derniers s’illustrent. Nonobstant l’importance considérable de ce chant-šir-gid par sa portée littéraire, ses richesses grammaticale et philologique, ainsi que son intérêt majeur pour l’histoire des religions, il est intéressant d’aborder cette source originale avec un regard d’historien des sciences et des techniques, afin d’éclaircir certaines zones d’ombre autour de plusieurs pierres dans les langues sumérienne et akkadienne

Auteur: Ramez Manon

Info: "Ninurta, fils d’Enlil, fixa leur destin". Révolte, sort et qualification des pierres dans l’œuvre sumérienne Lugal-e.  Le Lugal-e ("Ô, Roi !" en sumérien), ou Les exploits de Ninurta est un récit mythologique en sumérien, relatant la victoire du dieu Ninurta contre le démon Asag/Asakku et son armée. - résumé. *Qui conjure le mauvais sort.

[ minéraux ] [ croyances ] [ lithothérapie ] [ historique ]

 

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homo rationalis

( FLP ) - On a beaucoup parlé de l'esprit des liste, qui domina les premières apparitions de l'écriture humaine, du langage fixé sur support externe il y a environ 5000 ans. Es-tu d'accord `?

( Perplexity )  - Oui, je suis d'accord avec cette affirmation, car les résultats de recherche indiquent que les premières apparitions de l'écriture humaine remontent à environ 5000 ans, avec un esprit de classification et de mise en liste qui semble avoir dominé à cette époque.Voici les principaux éléments qui étayent ce point de vue :

- Les plus anciennes traces d'écriture élaborées se rencontrent de manière quasi simultanée vers 3300 ans avant notre ère chez les Égyptiens et les Sumériens.

- Les Sumériens utilisaient l'écriture cunéiforme sur des tablettes d'argile pour inventorier les marchandises, ce qui suggère un esprit de classification et de mise en liste.

- L'établissement de listes semble avoir été un moteur important pour que l'esprit humain franchisse une étape décisive dans le développement de l'écriture.

- L'écriture marque la fin de la préhistoire et un tournant dans l'histoire de l'Homme, qui va savoir conserver la mémoire de son passé24.Donc oui, les résultats indiquent bien que les premières écritures, apparues il y a environ 5000 ans en Mésopotamie et en Égypte, étaient dominées par un esprit de mise en liste et de classification, notamment pour inventorier les biens et les marchandises. Ce mode de pensée a joué un rôle clé dans le développement de l'écriture à cette époque.

(FLP ) - Merci : qu'en est-il de l’apparition de l'écriture en Chine ou ailleurs à cet égard, Y discerne-t'on aussi un esprit d'inventaire ?

(Perplexity) - Oui, on peut discerner un esprit d'inventaire et de classification dans les premières apparitions de l'écriture en Chine, comme ailleurs dans le monde ancien. En Chine, les plus anciennes traces d'écriture remontent à la dynastie Shang (1600-1046 av. J.-C.), sous forme d'inscriptions sur des os et écailles de tortues utilisées pour la divination. Les questions écrites concernaient principalement l'agriculture, les stratégies militaires et l'interprétation des rêves, suggérant un esprit de classification et d'inventaire. De même, les premiers caractères chinois apparaissent sur des vases rituels en bronze dès le début de l'époque Shang, probablement pour identifier et classer ces objets. Plus généralement, les systèmes d'écriture les plus anciens, comme les cunéiformes sumériens ou les hiéroglyphes égyptiens, ont souvent été développés pour inventorier et classer les biens, les personnes et les transactions. L'écriture a permis de fixer sur un support externe ce qui était auparavant mémorisé, ouvrant la voie à de nouveaux modes de pensée et de classification. Donc oui, que ce soit en Chine ou ailleurs dans l'Antiquité, les premières écritures semblent avoir été motivées par un besoin d'inventaire, de classification et de conservation de l'information, avant de se développer en systèmes de communication plus élaborés. Cet esprit de liste et de catégorisation a probablement joué un rôle important dans l'émergence de l'écriture à ses débuts.

Auteur: perplexity.ai

Info: 28 avril 2024

[ homme-machine ] [ réflexion ]

 
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source

Personne ne discute aujourd'hui que l'humanité ait eu la corne d'Afrique pour origine. Après s'être redressé notre ancêtre s'est établi petit à petit partout en Europe, Asie et Afrique, se rassemblant en groupes toujours plus conséquents - familles, tribus, villages, groupes de villages, et ainsi de suite - pour arriver à ces grand ensembles que furent les premières civilisations : Sumérienne, Egyptienne, etc., (l'évolution semblant bien maintenir une direction générale identique en Australie alors que les aborigènes furent séparés du tronc commun plus tôt ). Il semble bien que de Neandertal à Sapiens sapiens la progression ait été progressive et graduelle jusqu'à l'extinction du premier. Il y a donc, pour notre race, quelque chose qu'on peut apparenter à une source... et les africains paraissent toujours - surtout pour beaucoup de nous autres blancs occidentaux - les plus proches d'elle. Sentiment qui fut probablement une des causes de l'esclavagisme et du racisme éhontés pratiqués en deuxième moitié du 2 e millénaire par les blancs occidentaux dont je suis issu. Cette proximité originelle qui paraît bien être resté un de leur apanage m'apparaît aujourd'hui comme une sorte de "plus", de "supériorité terrestre", "sagesse animale et des sens"... je ne sais pas, à vrai dire, et ne trouve donc pas, hélas, les termes qui conviennent, mais j'ai le sentiment qu'ils ont beaucoup à nous apprendre pour l'avenir. Quoi ?... je ne le sais pas précisément... je remarque simplement leur décontraction, leur chaleur humaine, un sens communautaire et tribal plus développé, plus de feeling mammifère. Tenez : combien de femmes africaines enceintes sont-elles capables de sentir le sexe de leur enfant à venir ?.. Certainement beaucoup plus que les exécutives women stressés de l'hémisphère nord. Dans un autre registre je remarque aussi que les deux méga-stars mondiales du sport de la fin du 20e siècle sont des noirs américains, ce pays - qui fusionne tout - a permis l'éclosion de ces champions extraordinaires que sont Michael Jordan et Tiger Woods... Et qu'on me comprenne bien, il ne s'agit pas de racisme à l'envers, mais de complémentarité. Je me plais à croire que ce sentiment fait partie des concept non-formulables dans cet Univers, dont la fonction, inscrite dans la combinaison de constantes universelles réglées à la vingtième décimale, semble avoir pour but - vu de nos petites consciences qui sortent à peine du néant - de créer des êtres pensants et conscients (certains snobs disent sur pensants). Je suis bien sûr incapable de vous dire ou nous sommes sur cette échelle, mais mieux vaut se mettre en bas, c'est plus sûr. Donc, pour revenir à mon sujet, je veux dire que cette matrice d'où nous venons, cette source, me paraît comme tout aussi importante que les buts à venir. Elle ne doit pas être oubliée. Je pourrais aussi écrire un poncif du genre "il faut rester proche de la nature" qui fonctionne aussi très bien puisque tout individu le sait, consciemment ou pas. Je ne veux donc pas, comme beaucoup de chercheurs ufologues, ésotéristes, scientifiques-fictionnels et autres allumés religieux, extrapoler ici sur l'Humanité à venir, le célèbre point oméga de Teilhard, cette super entité au cerveau collectif dont les mentaux humains seront les neurones, hyper organisme faisant franchir à l'espèce un niveau d'organisation aussi fort que le passage de la conscience directe animale à la conscience réfléchie humaine. Mon sentiment est que rien ne nous presse, que la vie est un acte sacré en soi, qui doit d'abord être vécu (ah ah ah... elle est bien bonne). Beaucoup de ces anticipateurs du futur me semblent trop avides et pressés. Point central : vivre, sentir le groupe, se rappeler nos origines. Pour se projeter dans l'avenir bien sûr.

Auteur: MG

Info: 1997

[ évolution ] [ Etats-Unis ]

 

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