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écrivain-sur-écrivain

Aussitôt que je m'arrête d'écrire, je me mets à lire Shakespeare, alors que mon esprit est encore grand ouvert, rouge et brûlant. À ce moment-là, il me stupéfie. Jamais je n'avais aussi bien compris son étonnante envergure, son agilité, son aisance à manier les mots que lorsque je sens qu'elle dépassent et surpassent mes propres facultés, je le vois ensuite me dépasser et accomplir des prouesses que, fut-ce dans mes plus folles envolées et au plus fort de ma concentration d'esprit, je serai bien incapable d'imaginer. Même ses pièces les moins connues, ou les pires sont écrites à une vitesse qui bat tous les records. Les mots tombent à un tel rythme qu'on arrive pas à les ramasser. Voyez par exemple "...sur un lis à peine cueilli déjà presque fané". Le choix est purement accidentel ; je suis tombée sur cela par hasard. Manifestement la souplesse de son esprit était telle qu'il pouvait polir n'importe quel train de pensée, ou bien, négligemment laisser tomber une pluie de fleurs sans même y songer. Pourquoi, après cela se donner la peine d'écrire ? C'est qu'il ne s'agit même plus d'écriture. J'irais jusqu'à dire que Shakespeare est au-delà de toute littérature, si seulement je savais ce qu'on entend par là.

Auteur: Woolf Virginia

Info: journal, 13 avril 1930

[ éloge ] [ admiration ]

 

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intelligence artificielle

Notre article "Precision Machine Learning" montre que les réseaux neuronaux surpassent l'interpolation simplex uniquement dans plus de 2 dimensions, en exploitant la modularité. Nous développons des astuces de formation pour un ML de haute précision, utiles pour la science et l'interprétabilité.

Résumé : Nous explorons les considérations particulières impliquées dans l'ajustement des modèles ML aux données demandant une très grande précision, comme c'est souvent le cas pour les applications scientifiques. Nous comparons empiriquement diverses méthodes d'approximation de fonctions et étudions leur évolution en fonction de l'augmentation des paramètres et des données. Nous constatons que les réseaux neuronaux peuvent souvent surpasser les méthodes d'approximation classiques pour les exemples à dimensions élevées, en découvrant et en exploitant automatiquement les structures modulaires qu'ils contiennent. Cependant, les réseaux neuronaux dressés-formés avec des optimiseurs courants sont moins puissants pour les cas à basse dimension, ce qui nous motive à étudier les propriétés uniques des zones de déperdition des réseaux neuronaux et les défis d'optimisation qui se présentent et correspondent dans le régime de haute précision. Pour résoudre le problème de l'optimisation en basse dimension, nous développons des astuces d'entraînement-formation qui nous permettent de faire fonctionner les réseaux neuronaux avec une déperdition extrêmement faibles, proche des limites permises par la précision numérique.

Auteur: Tegmark Max

Info: Écrit avec Eric J. Michaud et Ziming Liu, oct 2022

[ mathématiques appliquées ] [ apprentissage automatique ] [ physique computationnelle ] [ machine-homme ] [ affinements mécaniques ] [ sémantique élargie ]

 

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teutons

Je crois qu’un excès d’ambition dans l’âme d’un homme comme dans l’âme d’un peuple détruit des valeurs précieuses, et que le vieux dicton viennois, "vivre et laisser vivre", est non seulement plus humain, mais aussi plus sage que toutes les maximes sévères et les impératifs catégoriques. […]

Pour le peuple allemand, le concept de jouissance est lié à la performance, à l’activité, au succès, à la victoire. Pour se sentir pleinement soi-même, chacun doit surpasser l’autre et le rabaisser dès que possible. Même Goethe, dont la grandeur et la sagesse sont admirées par-delà toutes les frontières, a placé ce dogme dans un poème qui m’a, depuis ma plus tendre enfance, semblé contre nature. Il en appelle aux hommes :

Tu dois dominer et gagner

Ou bien servir et perdre,

Souffrir ou triompher,

Être l’enclume ou le marteau.

[…] Je crois qu’un homme - tout comme un peuple – ne doit ni dominer ni servir. Il doit avant tout demeurer libre et laisser à tous les autres la liberté, il doit, comme nous l’avons appris à Vienne, vivre et laisser vivre et n’avoir pas honte d’être joyeux dans toutes les choses de la vie. La jouissance me paraît être pour l’homme un droit, et même une vertu, du moment qu’elle ne l’abrutit ni ne l’affaiblit.


Auteur: Zweig Stefan

Info: Vienne, ville de rêves

 

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intelligence artificielle

Nous présentons GAIA, un benchmark pour les assistants généraux d'IA qui, s'il était résolu, représenterait une étape importante dans la recherche sur l'IA. GAIA propose des questions du monde réel qui requièrent un ensemble d'aptitudes fondamentales telles que le raisonnement, la gestion de la multi-modalité, la navigation sur Internet et, de manière générale, la maîtrise de l'utilisation d'outils.

Les questions de GAIA sont conceptuellement simples pour les humains mais difficiles pour les IA les plus avancées : nous montrons que les répondants humains obtiennent 92 % contre 15 % pour GPT-4 équipé de plugins. Cette disparité de performance notable contraste avec la tendance récente des LLM (grands modèles de langage) à surpasser les humains sur des tâches nécessitant des compétences professionnelles, par exemple en droit ou en chimie.

La philosophie de GAIA s'écarte de la tendance actuelle des tests d'IA qui suggèrent de cibler des tâches de plus en plus difficiles pour les humains. Nous postulons que l'avènement de l'intelligence artificielle générale (AGI) dépend de la capacité d'un système à faire preuve d'une robustesse similaire à celle de l'homme moyen sur de telles questions.

En utilisant la méthodologie de GAIA, nous avons conçu 466 questions et leurs réponses. Nous publions nos questions tout en conservant les réponses à 300 d'entre elles afin d'alimenter un tableau de classement disponible à cette URL.

Auteur: Internet

Info: GAIA : une référence pour les assistants généraux d'IA Grégoire Mialon, Clémentine Fourrier, Craig Swift, Thomas Wolf, Yann LeCun, Thomas Scialom. Nov 2023 . Thèmes : Calcul et langage (cs.CL) ; Intelligence artificielle (cs.AI) Citer comme suit : arXiv:2311.12983 [cs.CL] (ou arXiv:2311.12983v1 [cs.CL] pour cette version

[ homme-machine ] [ machine-homme ]

 

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humanité

Si nous avions pu refouler plus longtemps derrière nous les foules humaines et l’environnement non humain, nous aurions probablement pu continuer à croire que les temps modernes passaient en effet pour de bon en éliminant tout sur leur passage. Mais le refoulé est de retour. Les masses humaines sont à nouveau là, celles de l’Est comme celle du Sud et l’infinie variété des masses non humaines, celles de Partout. Elles ne peuvent plus être exploitées. Elles ne peuvent plus être dépassées car plus rien ne les surpasse. Il n’y a rien de plus grand que la nature environnante ; les peuples de l’Est ne se résument plus à leurs avant-gardes prolétariennes ; quant aux masses du tiers monde, rien ne les circonscrira. Comment s’en débarrasser, se demandent les modernes avec angoisse ? Comment les moderniser toutes ? On le pouvait, on croyait le pouvoir, on ne peut plus le croire. Comme un grand paquebot freiné puis empêtré dans la mer des Sargasses, le temps des modernes s’est finalement suspendu. Mais le temps ne fait rien à l’affaire. C’est la liaison des êtres qui fait le temps. C’était la liaison systématique des contemporains en un tout cohérent qui faisait le flux du temps moderne. Maintenant que ce flux laminaire est devenu turbulent, nous pouvons abandonner les analyses sur le cadre vide de la temporalité, et revenir au temps qui passe, c’est-à-dire aux êtres et à leurs relations, aux réseaux constructeurs d’irréversibilité et de réversibilité.

Auteur: Latour Bruno

Info: Nous n'avons jamais été modernes. Essai d'anthropologie symétrique. Une contre-révolution copernicienne. p 49

[ isolement ] [ rationalisme impuissant ] [ diversité non syntonisable ] [ égarement ]

 

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citation s'appliquant à ce logiciel

Du sémiotique au sémantique.

Avec comme roche-mère la structuration sémiotique ternaire de CS Peirce et le plus possible en contextualisant, FLP aide à chercher le sens et ses diverses formulations et reformulations. "De où à où" donc, avec une forte volonté de simplification des expressions linguistiques, d'où le classement "par ordre de grandeur" des recherches par défaut. 

Depuis le corps/cerveau/secondéité qui transforme la priméité subjective en une tiercité humaine consensuelle objective c'est à dire l'émergence d'un monde linguistique syntonisé, ici francophone, cet outil/corpus collectif offre trois pistes-quêtes principales : 

- Introspective, réflexive, auto-psychanalytique

- Lexicographique, qui veut préciser/définir, dictionnaire, frontière... même si Internet et Google lui sont infiniment supérieur en ce domaine.

- Extravaguante, au sens étymologique (latin extravagans : extra = "en dehors de, au delà de", et vagans, participe présent de vagari "errer"), avec une volonté de surpassement de nos limites conceptuelles. Dépassement qui passe souvent ici par les nouveaux termes-consensus qui émergent de nos réalités, poussés que nous sommes par la curiosité source, incessante volonté de comprendre et formuler/communiquer. Nouveaus mots - multivers par exemple - qui élargissent peut-être notre niveau de préhension sémantique. 

Tout ceci sans jamais cesser d'indiquer/montrer comment le sens des termes peut se modifier du tout au tout en fonction des époques/situations. La propriété primaire du signe/mot/langage demeurant celle du miroitement, reflet de nos capacités adaptatives d'êtres vivants.

D'où beaucoup de fantaisie et de rigolades itou.


Auteur: Mg

Info: 18 avril 2021

[ langage ] [ classification ]

 
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cosmologie

Notre détecteur de nouvelle physique par réseau neuronal (NNPhD) à automatiquement découvert Neptune à partir de données sur l'orbite d'Uranus. Il décèle aussi le rayonnement gravitationnel à partir de données sur les étoiles à neutrons. Le Machine Learning a un grand potentiel pour la recherche en physique ! 

(La conservation de l'énergie est un principe de base de la physique. Sa rupture implique souvent une nouvelle physique. Cet article présente une méthode de découverte de "nouvelle physique" basée sur des données. Plus précisément : étant donnée une trajectoire régie par des forces inconnues, notre détecteur neuronal de nouvelle physique (NNPhD) vise à déceler une nouvelle physique en décomposant le champ de force en composantes conservatives et non conservatives,  représentées respectivement par un réseau neuronal lagrangien (LNN) et un réseau neuronal sans contrainte, entraînés à minimiser l'erreur de récupération de force, plus une constante de  λ  fois la magnitude de la force non-conservatrice prédite. Nous montrons qu'une transition de phase se produit à   λ  =  1, de manière universelle pour des forces arbitraires. Nous démontrons que la NNPhD détecte avec succès une nouvelle physique via de ludiques expériences numériques, redécouvrant la friction à partir d'un double pendule amorti, Neptune à partir de l'orbite d'Uranus, et les ondes gravitationnelles à partir d'une orbite en spirale. Nous montrons également comment le NNPhD couplé à un intégrateur surpasse à la fois un LNN et un réseau neuronal sans contrainte, pour ce qui est de prédire l'avenir d'un double pendule amorti.)

Auteur: Tegmark Max

Info: Sur son fil FB, 24 déc 2021. En collaboration avec Ziming Liu, Bohan Wang, Qi Meng, Wei Chen et Tie-Yan Liu. Phys. Rev. E 104, 055302

[ pesanteur ] [ interactions ]

 

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femmes-hommes

Les cerveaux des hommes et des femmes sont connectés différemment
Les stéréotypes sur les aptitudes propres aux deux sexes sont confortés par une étude, qui prouve que les cerveaux des hommes et des femmes sont connectés de manière très différente.
Ces cartes de la connectivité cérébrale montrent des différences frappantes et aussi complémentaires dans l'architecture du cerveau humain. Elles aident à fournir une base neuronale potentielle expliquant pourquoi les hommes excellent dans certaines tâches et les femmes dans d'autres", relève Ragini Verma, professeur de radiologie à la faculté de médecine de l'Université de Pennsylvanie.
La recherche a ainsi montré que les femmes sont supérieures aux hommes pour la capacité d'attention, la mémoire des mots et des visages ainsi qu'aux tests d'intelligence sociale mais les hommes les surpassent en capacité et vitesse de traitement de l'information.
CONNECTIVITÉ NEURONALE DIFFÉRENTE
Cette étude montre chez l'homme une plus grande connectivité neuronale entre le devant du cerveau, siège de la coordination de l'action, et l'arrière où se trouve le cervelet, important pour l'intuition.
Les images indiquent aussi un grand nombre de branchements dans chacun des deux hémisphères cérébraux. Une telle connectivité suggère que le cerveau masculin est structuré pour faciliter les échanges d'informations entre le centre de la perception et celui de l'action.
Quant aux femmes, les branchements relient l'hémisphère droit, où siège la capacité d'analyse et de traitement de l'information, à l'hémisphère gauche, centre de l'intuition. La chercheuse Ragini Verma explique que les hommes sont en moyenne plus aptes à apprendre et à exécuter une seule tâche, comme faire du vélo, du ski ou la navigation.
Les femmes, elles, ont une mémoire supérieure et une plus grande intelligence sociale qui les rendent plus aptes à exécuter de multiples tâches et à trouver des solutions pour le groupe.

Auteur: Internet

Info: 5 décembre 2013

[ sciences ]

 

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Préambule pour la chaîne : AI, intelligence artificielle ou bêtise humaine ?

Devant l'hyper complexité, la puissance et la versatilité du monde, l'humanité apparait comme bien peu sage et fragile. Nous autres primates retors et pleins d'astuces sommes embringués dans un processus général d'affaiblissement de la race, dégénérescence commencée dès l'usage du premier outil - la première béquille, stigmate de notre éloignement et de notre différenciation égoïste au sein du système Gaïa. Ou de notre spécialisation.
Ce tropisme anthropomorphe toujours plus techno dépendant a apporté au vingtième siècle des résultats étonnants : surpopulation, démolition des biotopes et de la diversité des espèces animales, pollution, épuisement des ressources, réchauffement climatique...
En début de 3e millénaire, plutôt que réagir vigoureusement, les humains semblent entraînés sur une pente trop inclinée et glissante pour pouvoir stopper cette chute sans gros dégâts.
Dans ce tableau, heureusement, un certain optimisme reste de mise, on espère beaucoup des technosciences pour nous en sortir. Dépendance toujours.
C'est ici, vitesse de l'esprit et du développement des inquiétudes, qu'informatique et intelligence artificielle viennent autant nourrir nos espoirs que nos peurs. Il est avancé d'un côté que l'AI permettra de gérer (résoudre?) nos problèmes. De l'autre on prédit la "singularité", ce moment T où les machines surpasseront l'homme pour prendre le pouvoir. Une troisième tendance, mieux balancée peut-être, prévoit que l'humanité virus sera sous la coupe d'une petite oligarchie sur-argentée, installée dans quelque paradis "prévus pour", un peu comme dans le film Elysium, oligarchie tenant les commandes d'un système big brothérien en regard duquel celui d'Orwell fera figure d'aimable gag.
Voici donc l'état d'esprit du concepteur de cette chaîne - le surplomb. Les extraits, contradictoires parfois, sont disposés de manière à tenter d'informer au mieux, avec les meilleurs spécialistes, pour séparer le bon grain de l'ivraie. D'y voir un peu plus clair. N'hésitez pas à en proposer, à nourrir le débat.
Ou proposer une chaîne à la thématique mieux précisée.

Auteur: Mg

Info: On pourra aussi nourrir sa réflexion en cherchant directement dans la base de données avec des termes comme "homme-machine" et bien sûr "intellige" et "artifici", entre autres exemples.

[ machine learning ]

 
Mis dans la chaine

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homme-machine

Pourquoi l’IA commence à devenir un serpent qui se mord la queue ?

Il est fascinant de constater combien l’avancée technologique influence le paysage numérique. L’IA se tient à la proue de cette révolution contemporaine. Mais, à mesure que l’IA progresse, elle semble devenir le reflet de l’ouroboros, ce serpent antique qui se mord la queue.

Le monde virtuel subit une transformation. Partout sur Internet, le contenu généré par l’IA gagne du terrain. Cette évolution peut sembler une menace pour les futurs modèles d’IA. Pourquoi ? Parce que des modèles comme ChatGPT se basent sur des informations glanées en ligne pour se former. Si cette source est polluée par du contenu " synthétique ", cela peut entraîner ce que l’on appelle un " effondrement du modèle ".

Le danger est tel que le filtrage de ces données synthétiques est devenu un champ de recherche crucial. Les experts s’y penchent, car l’ampleur du contenu de l’IA ne cesse de grandir.

L’IA, la queue qu’elle poursuit sans cesse

L’ouroboros, serpent ancien se dévorant lui-même, devient le symbole par excellence de l’IA actuelle. L’émergence massive du contenu éditorial produit par l’IA alarme de nombreux spécialistes. Mais le problème central, c’est la potentialité des erreurs qui s’insèrent dans ces contenus.

En se nourrissant de l’Internet, l’IA, telle un serpent mordant sa propre queue, risque d’intégrer des erreurs, créant une spirale infinie d’imperfections. Une récente étude met en exergue ce phénomène : après plusieurs cycles de formation sur du contenu synthétique, les résultats devenaient incompréhensibles.

Par ailleurs, une autre recherche montre que les images générées par l’IA, lorsqu’elles sont uniquement basées sur des données d’IA, finissent par être floues et non identifiables. Ces erreurs, bien qu’apparemment bénignes, pourraient amplifier des biais discriminatoires, rendant la tâche encore plus ardue.

Pour contrer cela, nous devons miser sur des données non corrompues par du contenu synthétique. Comme l’évoque Alex Dimakis de l’Institut national de l’IA, la qualité intrinsèque des modèles est tributaire de la qualité des données. Même une modeste quantité de données de haute qualité pourrait surpasser un vaste ensemble synthétique.

Ainsi, les ingénieurs restent sur le front, veillant à ce que l’IA ne s’entraîne pas sur des données qu’elle a elle-même produites. Car, malgré les prouesses de l’IA, la touche humaine demeure irremplaçable. 

 

Auteur: Internet

Info: https://www.lebigdata.fr, Nirina R., 24 octobre 2023

[ intelligence artificielle ] [ générative ] [ cercle vicieux ] [ sophisme ] [ logique hors-sol ] [ tri nécessaire ] [ épuration ] [ savoirs ]

 

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