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alimentation

La place est devenue un problème dans plusieurs cimetières allemands.
Une quarantaine de cimetières ont ainsi annoncé qu'ils ne pouvaient plus accepter de nouvelles inhumations. C'était à Cologne, à Munich, à Kiel, et dans d'autres villes allemandes. Le problème se présentait également dans plusieurs villes d'Autriche et de Suisse.
La raison ? Les cimetières étaient déjà remplis de cadavres non totalement décomposés !
Il faut savoir que le principe des cimetières est assez simple : on rouvre d'anciennes sépultures pour y placer de nouveaux cercueils, les bières précédentes ayant tendance à s'enfoncer avec leurs contenus désagrégés. Les corps suivent.
Pendant des siècles, les fossoyeurs procédaient donc ainsi, jusqu'à s'apercevoir que pour les corps les plus récents, la décomposition ne se faisait plus aussi bien. Comprenez par là que la décomposition se faisait bien, mais beaucoup plus lentement.
Les corps se décomposaient en huit à dix ans. Le processus de décomposition durait autrefois huit à dix ans. Il est à présent beaucoup plus long. Entendez par là vraiment beaucoup plus longtemps : un tiers des corps enterrés il y a quarante ans en Allemagne ne seraient pas encore totalement décomposés....

Auteur: Internet

Info: 30 octobre 2015

[ évolution ] [ surpopulation ]

 
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consumérisme

Notre vie est peut-être la dernière à se dérouler dans une société technologique. Si le monde continue à se comporter de manière aussi stupide que par le passé, nous assisterons à une augmentation de la population et de la violence. Nous essaierons de soutenir les populations en épuisant les ressources de la terre, en polluant de plus en plus, pour aboutir, peut-être, à une guerre nucléaire. La Terre verra son pétrole brûlé, la plupart de son charbon le plus facilement disponible épuisé, ses métaux répartis de façon éparse sur l'ensemble du globe. Nous n'aurons tout simplement pas la base matérielle nécessaire pour construire une autre civilisation technologique. Plus la population est nombreuse, plus la pression exercée sur la technologie pour produire des choses est forte. En outre, il y a une forte pression pour produire des choses qui ne sont pas directement liées à la quantité de personnes dans le monde, mais qui sont inutiles et gaspillent de l'énergie. On rapporte que Socrate observait un bazar avec émerveillement et disait : "Comme il y a tant de choses dont je n'ai pas besoin !". Il y a effectivement beaucoup de choses dont nous n'avons pas besoin.

Auteur: Clarke Arthur C.

Info: Interview dans le Christian Science Monitor (27 mars 1974), F1.

[ surpopulation ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

misanthropie

Je ne fréquente mes semblables qu’avec parcimonie […], considérant l’amour de l’humanité comme une illusion sentimentale autant que politique, et tentant de comprendre comment l’humanité s’abolit dans l’illégitimité du nombre, par exemple dans la foule que je traversais, ce jour-là, principalement composée de Noirs, de Maghrébins, de Pakistanais, d’Asiatiques, de diverses sortes de métis, et de quelques Blancs, hommes et femmes, dont deux petites lesbiennes se tenant par la main avec défi, suivies d’un nain dandinant son corps pitoyable entre de jeunes beautés tapageuses, et des enfants, des vieillards, laids, mal vêtus, l’ensemble se mouvant dans une puanteur constituée de relents d’égouts, de viennoiseries, de parfums et de produits de chez Mc Donald’s, au sein d’un vacarme dont on ne savait plus s’il annonçait la fin du monde ou s’il la faisait désirer, sur ce quai de la station Châtelet-les-Halles, un samedi après-midi, dans ce qui fut le ventre de Paris, et qui est devenu cette gigantesque gare souterraine, au-dessous des anciens cimetières des Innocents et de Saint-Eustache : des bas-fonds, où je ne descends jamais sans songer qu’à la foule se mêlent les spectres d’innombrables défunts, dont j’avais vu exhumer les os, quarante ans auparavant, et me demandant au milieu des grondements, des rumeurs et des cris, si, plus encore que la lumière, l’air libre n’est pas la première manifestation de la vérité. 

Auteur: Millet Richard

Info: Arguments d’un désespoir contemporain, Hermann éditeurs, 2011

[ mégapole ] [ surpopulation ] [ freaks ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

vingtième siècle

La logique du capitalisme contemporain qui est en cause. Il y a un phénomène mondial caractéristique de cette époque, les bidonvilles. Comme le souligne Mike Davis, sociologue urbain critique, on tend à occulter l'envers de la réussite économique de la Chine, de Singapour, de la Corée du Sud : l'explosion des bidonvilles. D'après certaines estimations, plus d'un milliard d'êtres humains vivraient aujourd'hui dans des bidonvilles.
Leurs habitants sont en passe de devenir le groupe social le plus important à l'échelle mondiale. On pense spontanément aux favelas, mais il ne s'agit pas seulement de cela. La plus grande région de bidonvilles se situe en Afrique centrale, entre Lagos et la Côte d'Ivoire : 70 millions de personnes y vivent dans des bidonvilles. Ces habitants ressemblent à l'"homo sacer" d'Agamben : des exclus de l'ordre civil public, mais plus ou moins intégrés à l'économie, par le travail au noir, les trafics... Pour reprendre des termes marxiens, peut-être s'agit-il là d'un nouveau prolétariat proto-révolutionnaire. Il y a là de larges groupes, des foules immenses qui n'ont pas d'ancrage dans une tradition, auxquels manque une hiérarchie héritée pour organiser leur espace social. Ce sont précisément des exclus véritables. La visée de l'État n'est plus même de les contrôler, mais seulement de les isoler. Cette logique de nouvel apartheid commence à gagner nos sociétés. On ne peut probablement pas l'appréhender en termes de "classes" au sens marxien.

Auteur: Zizek Slavoj

Info: La logique du capitalisme conduit à la limitation des libertés, l'Humanité 4 janvier 2006

[ misère ] [ surpopulation ]

 

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helvète

LEO, etc La politique, dans ce pays, n'existe pas... Ici on gère. Du moins jusqu'à y'pas longtemps. Parce que quand elle pointe le bout de son nez (voir la pantalonnade de la LEO), c'est pour nous présenter les conflits des petits intérêts particuliers. Ceux de magistrats et de fonctionnaires à la vue étroite, dotés de perspectives mentales et de représentation typiques de suisses sourds au monde qui bascule, marinant dans cette certitude "d'avoir de la marge". Alors qu'ils ne sont que de petits robots, façonnés par un système toujours plus nécrosant et nécrosé, au point d'être devenus eux-mêmes les plus aptes à une auto censure au-delà de l'absurde ( Ils ne s'en rendent plus compte de rien, résignés....). La LEO n'est que l'avant garde des réalités grotesques que le futur nous préserve. Dans un monde où le taux de base des banques centrales est quasiment à zéro alors que le rendement du 2e pilier est au-dessus de 6, on se demande où sont passés les cerveaux. Ceux du bon sens et de la prévoyance, car pour ce qui est de cette dernière, dans ce pays, elle est morte : vue de l'esprit. Un esprit ancien, plus capable de s'adapter. Le monde va si vite, ma bonne dame ! Primes perso d'assurances à 320.-/mois, population toujours plus âgée, dans un canton qui a augmenté son cheptel de 14 000 personnes l'an passé. Au-secours, je suis Vaudois, Suisse... Européen.... Sortez-moi de là !

Auteur: Mg

Info: 8 mars 2014

[ finances ] [ inquiétude ] [ surpopulation ]

 

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homme-machine

Nous sommes enfermés-enfumés-désorientés dans le bla bla de l’infobésité, des idées reçues et autres médiatiquement correct/convenable du moment, ressassés ad nauseam par des mammifères (blanc occidentaux décisionnaires encore) parait-il évolués, qui ont bien peine à gérer, tant au niveau subjectif qu’objectif (j’en suis un autre) le gouffre existant entre la rapidité de la pensée articulée (grosso modo le langage consensuel) et la lenteur des processus socio-macro-évolutifs.

Ceci étant, ce qui peut agacer dans tout ce binz, c’est que deux sujets centraux ne sont que trop peu abordés.

a) Le surpeuplement/vieillissement des populations et donc une discussion sur les manières d’aborder/gérer la problématique.

b) Les habitudes de luxe et autres "idées reçues" de bcp d’individus, déresponsabilisés par la démagogie des politiciens aux commandes de démocraties-états-providences, la France étant un exemple frappant. Et autres blanc occidentaux post-coloniaux, ici majoritaires (encore).

Sujets centraux qui, couplés au problème climatiques global, sont directement liés aux diverses emmerdes migratoires.

Tous paramètres qui devraient être au centre d’une réflexion peut-être trop complexe pour qu'on la laisse à des êtres instables, peu sûrs d’eux, limités, intéressés à leur survie propre et donc non neutre.

Ce que certain, comme Paul Jorion tendent à espérer venant d’une AI bien gérée.

En faisant gaffe à ce que peuvent générer les solutions. Que ce soit le modèle chinois, avec son système cybernetico big-brother. Ou Suisse, (attractive encore ?) qui, ne cessant de voir sa population augmenter sur un espace non extensible (la croissance, mais oui, encore et toujours ma chère), génère petit à petit un système cybernetico-organisationnel qui ressemble toujours plus à une sur-organisation auto-étouffante… kafkaïenne, incompréhensible, etc…

Auteur: Mg

Info: 23 juin 2023

[ macroéconomie ] [ question ] [ glocalisation ] [ intelligence artificielle ] [ surpopulation ]

 

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inconnaissance

Cette poussée du fluide vital, de la vie... ce stress... angoisse du vide qui fait bouger... qui amène le singe humain - gamins jaloux en incessante compétition avec ses semblables - à un constant dépassement... vers on ne sait quoi. Dépassement motivé par des "valeurs" étranges : l'homme le plus réconfortant, la plus belle femme... voiture... la meilleure situation. Envies comparatives constamment attisées par des pubs clinquantes qui poussent surtout à la frustration... 

Processus qui aboutissait ici à la floraison de retraités dubitatifs, parfois bonhommes, souvent donneurs de leçons. Singularités humaines destinées à passer le plus "long temps" à vieillir, à légumer... et faire trainer tout ça sur quarante années... Ainsi voyait-il une Suisse émolliée, EMS en plein bon air des montagnes, nation heureusement soutenue par les forces vives d'immigrés moins exigeants sur le bien-être - mais vite convertis quand-même. Au total un surencombrement absurde puisque ce niveau de vie, ramené à l'échelle du monde aurait nécessité au moins six planètes en terme de ressources.

Et, comme beaucoup d'autres occidentaux, chaque helvète conservait malgré tout ses habitudes de voyage à l'étranger, qualité de la vie... droit à "manger dehors" deux fois par semaine dans des bistrots où l'addition pour un repas de deux personnes aurait permis à une famille soudanaise de vivre une année...

Il admettait que tout ceci ne pouvait que vous dépasser et demeurer incompréhensible. Qu'aurait été le libre arbitre individuel sans celà ?  Juger est inutile, on se retrouve dans une boucle géo-temporelle mystérieuse, la sienne. Malgré tout son vécu, le moi-incarnation - miroir du monde et de l'univers - hormis son éventuel rôle d'enfanteur passeur de vie - reste incertain. Celui de l'espèce humaine idem.

Cependant le mental fureteur conserve ouvertes toutes les possibilités concernant un éventuel au-delà...  possibilités du futur... et autres idées sur une prédestination quelconque. 

Et plus l'âge avance, plus s'évase et se dilue l'insondable l'énigme.


Auteur: Mg

Info: 10 juin 2022

[ limitation ] [ zéro et infini ] [ surpopulation ]

 

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cité imaginaire

Chaque année, lors de mes voyages, je m'arrête à Procopia et pour séjourner dans la même chambre de la même auberge. Dès la première fois, je me suis attardé à contempler le paysage que l'on voit en déplaçant le rideau de la fenêtre : un fossé, un pont, un muret, un sorbier, un champ de maïs, un buisson de ronces avec des mûres, un poulailler, une colline jaune, un gros nuage blanc, un morceau de ciel bleu en forme de trapèze. Je suis sûr que la première fois on ne voit personne ; ce n'est que l'année suivante qu'à un mouvement parmi les feuilles, j'ai pu distinguer une face ronde et plate rongeant un épi. Au bout d'un an, ils étaient trois sur le petit mur, et à mon retour, j'en ai vu six, assis en rang, les mains sur les genoux et quelques sorbets dans un plat. Chaque année, dès que j'entrais dans la pièce, je soulevais le rideau et comptais quelques visages de plus : seize, dont ceux du fossé ; vingt-neuf, dont huit perchés sur le sorbier ; quarante-sept, sans compter ceux du poulailler. Ils se ressemblent, ils semblent gentils, ils ont des taches de rousseur sur les joues,  sourient, certains la bouche pleine de mûres. Bientôt, j'ai vu tout le pont rempli de gars aux visages ronds, serrés les uns contre les autres parce qu'ils n'avaient pas de place pour bouger ; ils mâchaient les épis, puis rongeaient les trognons. Et ainsi, une année après l'autre, j'ai vu le fossé, l'arbre, le buisson disparaître, cachés par des haies de sourires tranquilles, entre des joues rondes qui bougent en mâchant des feuilles. Vous n'avez pas idée, dans un petit espace comme ce champ de maïs, du nombre de personnes qui peuvent y tenir, surtout si elles sont assises, les bras autour des genoux, sans bouger. Elles doivent être beaucoup plus nombreux qu'il n'y paraît : j'ai vu la crête de la colline couverte d'une foule de plus en plus dense ; mais depuis que ceux du pont ont pris l'habitude de se chevaucher les épaules, je ne peux plus pousser mon regard aussi loin. Cette année, enfin, quand je lève le rideau, la fenêtre n'encadre qu'une étendue de visages : d'un coin à l'autre, à tous les niveaux et à toutes les distances, on voit ces visages ronds, fermes, plats, avec un soupçon de sourire, et au milieu beaucoup de mains, qui s'accrochent aux épaules de ceux qui sont devant. Même le ciel a disparu. Je pourrais aussi bien m'éloigner de la fenêtre. Non pas que le mouvement soit facile pour moi. Dans ma chambre, nous sommes vingt-six : pour bouger mes pieds, je dois déranger ceux qui sont accroupis par terre, je me fraie un chemin entre les genoux de ceux qui sont assis sur la commode et les coudes de ceux qui se relaient pour s'appuyer sur le lit : tous des gens sympathiques, heureusement.

Auteur: Calvino Italo

Info:

[ surpopulation ]

 

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vingt-et-unième siècle

Le XXIe siècle invente une nouvelle territorialité : le camp de réfugiés,
Qui peut croire que les flux migratoires vont se réduire dans les prochaines décennies ? Et nous, que ferions-nous si nous résidions dans un espace social et économique sans issue, dévoyé par la violence, comme en Syrie, en Irak, en Érythrée, en Libye, en Palestine, en Afghanistan, au Soudan, en République Centrafricaine, en Somalie, en République Démocratique du Congo, au Pakistan, au Nigeria, au Yemen, en Colombie... ?
Pour répondre à ce défi, le XXIe siècle est en train d'inventer une nouvelle territorialité : le camp de réfugiés. Les camps "officiels", répartis à travers le monde, sont mis en place, financés et gérés par le HCR (Haut commissariat pour les réfugiés), émanation des Nations-Unies siégeant à Genève. 17 millions d'hommes, de femmes et d'enfants y sont nourris, "logés" et souvent enfermés, comme dans beaucoup de pays où les autorités locales interdisent aux populations "accueillies" d'en sortir. Ces camps, dont certains abritent jusqu'à 400.000 personnes, n'apparaissent sur aucune carte, bien qu'ils soient parfois pérennisés par nécessité durant des décennies. On y constate aussi la disparition d'autres droits fondamentaux, comme celui de travailler pour sa subsistance.
La journaliste Anne Poiret, dans son documentaire sur le sujet, établit à 17 années la durée moyenne de résidence dans un camp. On a le temps d'y naître et d'y grandir, ou d'y vieillir et d'y mourir, sans droit, sans liberté, sans "chez-soi".
Mais l'innovation n'y est pas en reste : on teste des formes d'auto-organisation entre les réfugiés, la distribution des aides alimentaires en argent et non en nature, l'installation de campements "verts" (éoliennes, panneaux solaires, financés par des ONG dédiées), et même l'accès à son compte en banque par un distributeur de billets mobile à reconnaissance digitale et rétinienne (il va de soi que tout le monde est fiché). C'est un mode de vie en développement, et comme toute courbe qui monte, il est porteur d'opportunités, sujet à ce "progrès" qui fait tellement défaut dans les pays riches. Les camps de réfugiés font objectivement partie de l'avenir.
Notons que la notion de camp de réfugiés peut être appliquée sans abus de langage aux bidonvilles qui grossissent continûment les villes, impasses sociales et humanitaires qui aspirent les "migrants" de tous ordres, les expropriés des campagnes, les sans-terre, sans-eau, sans-récoltes ou sans-emploi, ceux qui décident que l'insécurité de l'inconnu est au moins porteuse d'une possibilité de numéro gagnant, même à un cent contre un. C'est à ce niveau qu'ils mettent en jeu leur existence. Les migrants sont des "espérants".
Les Occidentaux et les riches des centre-villes leur brandissent des statistiques : scientifiquement, votre espoir est fou, votre espoir est vain. Ne venez pas. Les migrants sourient d'un air gêné, comme tous les humains qui ont une faveur à obtenir. Ils préfèrent un asservissement qu'ils croient provisoire à l'enfermement par le dénuement ou la violence dans leur communauté d'origine. C'est un raisonnement qui ne vaut pas de l'autre côté de la grille : le rapprochement physique des riches et des pauvres est malsain, souvent dangereux. "Incertain", comme dirait la bourse. La présence de ces foules compactes et déracinées dans des contrées plus pacifiées fait tache. L'abordage désordonné des pauvres dans les quartiers riches n'est pas convenable.
Ça, tous les Européens le disent, maintenant, de "gauche" comme de droite : Ça fait des Brexit, après.
Vous savez, le Brexit : cet "événement historique" dont on a tant parlé.

Auteur: Gaufrès Stéphane

Info:

[ guerre ] [ surpopulation ] [ nord-sud ]

 

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